Les NVIDIA GeForce GTX 760M et 765M en test

Frédéric Cuvelier
Publié le 25 juillet 2013 à 17h17
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Lors de l'annonce de ses GeForce 700M, le 1er avril dernier, NVIDIA n'avait pas dit un mot de sa gamme GTX. Il aura fallu attendre près de deux mois pour découvrir la seconde partie de la famille des GeForce 700M, les GTX 760M, 765M, 770M et 780M.

Si les deux dernières référence sont réservées aux portables gamer haut, voire très haut de gamme, les GTX 760M et 765M sont censées prendre place dans des machines au prix abordables, comme l'un de nos exemplaires de test, l'Acer Aspire V3-772G. Un modèle polyvalent, dont le GPU doit permettre de jouer dans de bonnes conditions. Voilà pour la promesse. Qu'en est-il dans la réalité ? C'est tout l'objet de ce test : les GeForce GTX 760M et 765M de NVIDIA sont-elles suffisamment performantes ?

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Les GeForce GTX 700M, quelles nouveautés ?

La famille GTX des GeForce 700M compte 4 références : les GTX 760M, 765M, 770M et 780M. La GTX 765M vient donc renforcer la base du haut de gamme de NVIDIA au détriment d'une hypothétique GTX 775M, et ce n'est pas un hasard : le caméléon cherche à renforcer sa présence sur les PC gamers abordables.

Quelles sont les évolutions depuis la famille des GTX 600M ? Elles sont surtout à chercher du côté des fréquences, puisque tous ces GPU sont basés sur l'architecture Kepler : GK106 pour les GTX 760M, 765M et 770M, GK104 pour le GTX 780M, comme pour les GTX 670MX et 680MX.

Comptez ainsi un gain de 211 MHz sur les cœurs CUDA du GTX 770M par rapport au GTX 670MX, alors que la fréquence mémoire augmente elle aussi, de 600 MHz. Le gain est plus modéré encore pour le GTX 780M, puisque seuls les cœurs d'exécution grimpe en fréquence (de 720 à 823 MHz), alors que la mémoire stagne à 1 250 MHz.

Le cas du GTX 760M est plus complexe, puisque le passage du GK107 du GTX 660M au GK106 du GTX 760M implique une redistribution des unités d'exécution. De 384 cœurs CUDA, on passe ainsi à 768 unités, ces dernières disposant naturellement d'une fréquence de fonctionnement moindre. NVIDIA a décliné ce GTX 760M en un GTX 765M dont seule la fréquence de base change, puisqu'elle passe de 657 à 850 MHz.

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Ces deux GPU, qui nous intéressent aujourd'hui, sont à rapprocher du GeForce GTX 650 Ti, une puce pour PC de bureau qui dispose d'une structure équivalente (même nombre de cœurs CUDA, d'unités de texture et de ROP, bus mémoire identique). Est-ce à dire que les performances vont être similaires ? Pas vraiment, puisque les fréquences sur le GTX 650 Ti sont significativement plus élevées que sur les puces mobiles qui nous occupent (928 MHz pour les cœurs d'exécution, 1 350 MHz pour la mémoire). Cependant, les fréquences des GTX 760M et 765M fournies dans ce tableau sont les fréquences de base. Le caméléon a plus d'un tour dans son sac et nous promet des performances supérieures de 15% grâce à son GPU Boost 2.0.

GPU Boost 2.0, quel intérêt ?

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NVIDIA n'est pas vraiment loquace quand il s'agit d'évoquer sa technologie, dont la seconde mouture est apparue la première fois sur son GTX Titan. Les informations apportées par le constructeur se résument à la phrase suivante : GPU Boost est un algorithme visant à optimiser les performances du GPU en adaptant sa fréquence de fonctionnement non plus par rapport à une consommation, mais par rapport à une température : plus votre GPU est conservé au frais, plus ses performances sont importantes, nous dit le caméléon.

Explications. Dans la première version de GPU Boost, le programme augmentait la fréquence de la puce tant que la consommation électrique de cette dernière demeurait sous une valeur limite. D'après le constructeur, cette limite pouvait contraindre de manière trop importante des GPU capables d'assumer un TDP plus important, notamment grâce à un refroidissement plus efficace.

Le caméléon a donc revu sa copie et recentré l'algorithme de son GPU Boost 2.0 sur la température. Le programme est désormais censé augmenter tension et fréquence tant qu'une température limite n'est pas atteinte. Avec un gain pouvant atteindre 15%, dixit NVIDIA.

Dans la pratique, tout n'est pas si simple. Le premier souci concerne la fameuse limitation par la température. Lors de nos tests, que les températures de nos puces aient été de 40 ou 60°C, la fréquence ne variait pas, car elle avait atteint une valeur limite, probablement une tension à ne pas dépasser. On revient sur le fonctionnement du GPU Boost première version.

Devant cette constatation, NVIDIA nous a répondu que le résultat serait différent si nous avions mené cette expérience « au milieu du désert ». Soit. Mais l'intérêt de cette version 2.0 du GPU Boost semble tout de même limité. De plus, pour maintenir des fréquences élevées avec une limite de température, la ventilation doit s'activer davantage. Ce GPU Boost 2.0 occasionne donc un surplus de nuisances sonores, particulièrement sur mobiles. Du moins en théorie. En pratique, le système de refroidissement (ou la limitation par la tension maximale) de nos deux portables s'est montré suffisamment efficace pour que le bruit soit supportable.

Quoi qu'il en soit, il semble que le GPU Boost 2.0 soit assez peu adapté au PC portable, et NVIDIA ne peut franchement pas, à notre sens, revendiquer un quelconque intérêt pour la version 2.0. Il n'en reste pas moins que sur nos puces, les fréquences atteintes sont effectivement supérieures à celles annoncées par NVIDIA : quand le GTX 760M est, selon le constructeur, cadencé à 628 MHz, le Boost l'amène à 719 MHz. Pour le GTX 765M, la technologie de NVIDIA implique un gain de 66 MHz, en passant la fréquence de 797 à 901 MHz, sur notre portable de test.

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En utilisant l'outil PrecisionX de eVGA (pourquoi NVIDIA n'intègre-t-il pas ces fonctionnalités dans ses propres pilotes ?), nous sommes parvenus à imposer 135 MHz de plus à nos deux puces, c'est-à-dire le maximum autorisé par le logiciel. Les GTX 760M et 765M semblent donc tout à fait à même de monter en fréquence, et on peut se poser la question de la pertinence de la fréquence de base indiquée par NVIDIA.Tester un GPU mobile n'est pas la chose la plus aisée qui soit. Pourquoi ? Tout simplement parce que cette puce est un des composants du tout qu'est l'ordinateur portable qu'elle équipe. Pour réaliser un comparatif correct de puces graphiques mobiles, il est nécessaire que les autres composants soient proches, voire identiques, afin de ne pas biaiser les résultats qui ne devront être déterminés que par le GPU.

En jeu, outre le GPU interviennent également le processeur et la mémoire vive, principalement. Nous devions donc réunir des machines dont les performances dans ces deux domaines étaient proches. Nous avons donc réuni les trois PC portables suivants :

Acer Aspire V3

Acer semble s'intéresser au marché du portable gamer. C'est en tous cas ce que laisse penser cette référence, dotée d'un Core i7-4702MQ et d'un GeForce GTX 760M. Le processeur, un modèle à 4 cœurs de génération Haswell et gravé en 22 nm, est cadencé à 2,2 GHz (et 3,2 GHz en Turbo) et dispose de 6 Mo de mémoire cache.

Cet Aspire V3-772G possède 8 Go de mémoire vive de type DDR3-1600. Son GPU, le GTX 760M qui nous intéresse aujourd'hui, dispose de 2 Go de GDDR5 fonctionnant à 2 GHz, tandis que ses 768 cœurs CUDA fonctionnent à des fréquences comprises en 135 MHz (lorsque le GPU est au repos) à 718 MHz grâce au Boost, soit 61 MHz de mieux que la fréquence initiale indiquée par NVIDIA.

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MSI GE70

Sur le MSI GE70, on trouve le plus puissant des GPU mobiles que nous testons aujourd'hui, à savoir le GeForce GTX 765M. Ce dernier compte le même nombre de cœurs CUDA que son petit frère le GTX 760M, mais la fréquence de ces derniers est supérieure de près de 200 MHz (850 MHz au lieu de 657 MHz pour le GTX 760M). La fréquence de GPU de ce portable atteint 901 MHz grâce au Boost de NVIDIA, c'est-à-dire un gain de 51 MHz. Ce qui représente 6 % de la fréquence initiale.

Pour épauler ce GPU, MSI a prévu dans son GE70 un Intel Core i7-4700MQ. Un processeur semblable au Core i7-4702MQ : seuls 200 MHz sur la fréquence de base et sur le Turbo (en faveur du 4700MQ) les séparent. La quantité de mémoire cache reste similaire (6 Mo), tout comme le nombre de cœurs, évidemment.

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Enfin, on trouve sur ce portable les mêmes 8 Go de mémoire vive que sur nos deux autres machines de test, les deux modules étant, là aussi, cadencés à 1 600 MHz.

Samsung Serie 7 Chronos

Pour comparer les deux puces NVIDIA à la concurrence, nous avons demandé à Samsung de nous envoyer un Serie 7 Chronos équipé d'une Radeon HD 8870M de chez AMD. Ce portable est, à notre connaissance, équipé de ce qui existe de mieux à l'heure actuelle en GPU AMD.

Ce Serie 7 est doté d'un processeur Intel Core i7-3635QM de génération Ivy Bridge. Gravé en 22 nm et doté de 4 cœurs fonctionnant à 2,4 GHz (et même 3,4 GHz lorsque le mode Turbo s'enclenche), il est pourvu de 6 Mo de Smart Cache et dispose d'une enveloppe thermique de 45 W. Il est accompagné de 8 Go de mémoire vive cadencé à 1 600 MHz.

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Le GPU qui équipe ce portable est donc un Radeon HD 8870M, les HD8900M brillant pour le moment par leur absence. Un GPU gravé en 28 nm et basé sur l'architecture Graphic Core Next, doté de 640 unités de calculs cadencées à 725 MHz. Il dispose d'un bus mémoire de 128 bits et d'une quantité de GDDR5 (ou DDR3) pouvant aller jusqu'à 2 Go. Une mémoire dont la fréquence atteint les 1 125 MHz.

Comme nous le précisions plus haut, avant de comparer les performances de nos trois GPU, il convenait de vérifier que les autres composants (processeur, mémoire vive) affichaient des scores comparables. Nous avons donc utilisé le Primordia de ScienceMark 2.0, qui juge des performances des processeurs, et le test de bande passante mémoire de Sandra.

D'après ces tests, le GPU AMD ne sera pas trahi par les composants qui l'entourent : le Samsung Serie 7 sort premier sur nos deux graphiques. Reste que globalement, les résultats de nos trois portables sont suffisamment proches pour que l'on puisse comparer les trois GPU qui les équipent.

En revanche, impossible pour nous de donner un chiffre significatif au niveau de la consommation des GPU : avec un Core i7-4702MQ disposant d'un TDP de 35 W et des Core i7-4700MQ et 3635QM affichant une enveloppe thermique de 45 W, difficile de comparer nos trois portables.Pour évaluer les performances de nos trois puces graphiques, quoi de mieux que quelques titres de référence dans le domaine du jeu vidéo ? Pour rappel, les différents tests ont été réalisés dans la définition native de nos portables, à savoir 1 920 par 1 080 pixels. Tous nos tests sont répétés à trois reprises, les résultats donnés étant une moyenne de ces trois mesures.

Battlefield 3 - Réglages sur Elevé

Benchmark : 272-3156

On commence par Battlefield 3, avec lequel nous utilisons FRAPS, puisqu'il n'existe pas de module de benchmark intégré à ce jeu. Grâce à ses 200 MHz supplémentaires, le GTX 765M propose des performances meilleures que le GTX 760M, alors que le Radeon HD 8870M se montre encore moins véloce. Quoi qu'il arrive, ces trois GPU permettent de jouer dans de bonnes conditions à Battlefield 3.

Crysis 2 - DX11, HR, réglages Haut

Benchmark : 272-3158

Sous Crysis 2, même combat, il faut en passer par FRAPS. Et les résultats sont proches de ceux observés sur BF3, même si l'écart se resserre entre nos deux GTX 700M. Le Radeon HD 8870M reste à la traîne.

F1 2012 - 4X MSAA, réglages sur Élevé

Benchmark : 272-3162

F1 2012 met à mal le GPU AMD, dont les performances sont loin d'égaler celles des deux GPU NVIDIA : le score GTX 765M est quatre fois supérieur à celui du Radeon HD 8870M.

Mafia II - Anisotropy 16x, détails sur Élevé

Benchmark : 272-3182

Mafia II est un jeu qui sollicite de façon importante le processeur. Les écarts se resserrent donc naturellement, puisqu'entre le GTX 765M et le Radeon HD 8870M, l'écart n'est que de 17%. Bien loin des 400% sous F1 2012. Globalement, on est ici à la limite de la jouabilité dans ces conditions de détails.

H.A.W.X 2 - DX11, AA 4x, détails à fond

Benchmark : 272-3164

Hawx 2 rapproche les deux GPU NVIDIA, qui ne sont séparés que de 6%. En revanche, la puce AMD est une nouvelle fois à la peine. Reste que malgré le niveau important de détails, nos trois GPU s'en sortent parfaitement bien.

Dirt 3 - 4x MSAA, réglages sur Elevé

Benchmark : 272-3166

Dirt 3 donne encore une fois le GTX 675M vainqueur, assez loin devant le GTX 760M, et très, très loin devant la puce AMD, qui réalise un score quasiment moitié moindre.

Metro 2033 - DX11, MSAA 4X, AF 16x, réglage sur « Haut »

Benchmark : 272-3168

Avec Metro 2033, on repasse sous FRAPS et on observe, comme souvent, une limitation du processeur. Résultat, tous nos portables réalisent le même score, un score particulièrement faible à ce niveau de détails.

Borderlands 2 - FXAA, Anisotropy 16x, toutes options activées

Benchmark : 272-3170

Sous Borderlands 2, pour lequel nous usons une nouvelle fois des fonctionnalités de FRAPS, les résultats sont bien meilleurs. La puce la moins véloce, c'est-à-dire le Radeon HD 8870M, réalise tout de même 35 FPS. Ce qui reste tout de même éloigné des 52 FPS du GTX 765M.

Max Payne 3 - DX11, MSAA 4x, Anisotropy 16x, tesselation normale, détails sur Elevé

Benchmark : 272-3172

Comme Borderlands 2, Max Payne est dépourvu d'un module de mesure de performance intégré. Nous jouons donc du FRAPS et obtenons une différence très significative entre les GPU NVIDIA et celui d'AMD. Le GTX 765M parvient à un score trois fois plus important que celui du Radeon HD 8870M.

3DMark 11 - Extreme

Benchmark : 272-3174

Les jeux ont leur vérité, les tests synthétiques aussi. Impossible donc de faire l'impasse sur 3DMark 11, utilisé ici en mode Extreme, et qui place le GTX 765M assez loin devant son petit frère le GTX 760M. Sans surprise, le Radeon HD 8870M est bon dernier, la différence avec le GTX 760M atteignant 13%.

Unigine Heaven - Tesselation modeste, Anisotropy 16x, Shaders High, AA off

Benchmark : 272-3176

On termine cette série de tests avec Unigine qui place de nouveau en tête les deux GPU du caméléon. Le Radeon HD 8870M ne soutient pas la comparaison et affiche un score plus faible de 36%.Jadis réservé à une niche fortunée, le PC portable pour joueur tend à se démocratiser. L'offensive que mène MSI depuis quelques mois n'y est pas étrangère. Et d'autres constructeurs commencent à comprendre que si le marché du PC portable s'enlise encore et toujours, certains segments, comme le portable pour joueur, conserve la tête hors de l'eau.

Un acteur important comme Acer cherche à s'immiscer dans ce domaine, avec la politique bien connue de la marque : cassez les prix pour séduire le plus grand nombre. A moins de 850 euros, l'Aspire V3 se veut un portable polyvalent, mais surtout capable d'offrir une expérience de jeu convenable. Le GeForce GTX 760M l'aide-t-il en cela ?

La réponse est oui. Malgré l'utilisation d'une définition Full HD et d'un niveau de détails élevé, rares sont les jeux qui ont réellement mis à mal nos deux GeForce GTX 700M. Sur un titre phare comme Battefield 3, les GTX 700M parviennent à afficher entre 50 et 70 FPS avec un niveau de détails élevé. Les performances sont donc tout à fait convaincantes, même pour un joueur un peu exigeant.

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Il convient toutefois de souligner que les évolutions apportées par cette famille des GTX 700M sont peu importantes : une simple montée en fréquence sur l'ensemble des puces, et surtout un GPU Boost qui n'a de 2.0 que le nom.

Toutefois, NVIDIA a le mérite d'adapter son offre gamer à l'arrivée d'un nouvel acteur comme Acer sur le segment des portables pour joueurs d'entrée de gamme, avec des puces au demeurant performantes, que ce soit le GTX 760M ou le GTX 765M. Une stratégie qui pourrait payer, et qui constitue quoi qu'il arrive l'une des seules à l'heure actuelle pour étendre son marché. En face, la concurrence semble aphone : les performances du Radeon HD 8870M, qui n'est disponible que sur une machine du commerce, sont insuffisantes, alors qu'on attend toujours l'arrivée des Radeon HD 8900M.
Frédéric Cuvelier
Par Frédéric Cuvelier

Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.

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