Lancée en début d’année avec des cartes aussi musclées qu'indisponibles à la vente (GeForce RTX 5090 et 5080), la génération Blackwell n’a pas connu un démarrage en fanfare. Les choses s’améliorent toutefois nettement en ce début de printemps et la sortie des GeForce RTX 5060 et RTX 5060 Ti pourrait bien marquer un tournant pour NVIDIA comme pour les joueurs.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les nouveautés matérielles et logicielles de l'architecture NVIDIA Blackwell, nous vous invitons à (re)lire notre test de la GeForce RTX 5090 Founders Edition.
- La magie du multi-frame generation
- Faible surcoût des 16 Go (vs 8 Go)
- NVIDIA override de + en + efficace
- Écosystème NVIDIA très complet
- Refroidissement efficace et discret
- Prix et disponibilité à vérifier
- Pourquoi 30 cm de long ?
- Gains un peu faibles en rasterisation
- Le DLSS 4 encore trop rare
À la manière de ce que NVIDIA a fait au lancement des GeForce RTX 5070 Ti, il n’est pas question de proposer de Founders Edition pour accompagner la sortie des GeForce RTX 5060 Ti. NVIDIA s’en remet donc une fois encore à ses partenaires et, notamment, à Gainward qui a été notre fournisseur pour ce test. Sa RTX 5060 Ti Python III est la carte retenue par NVIDIA pour la presse française, mais nous aurons à cœur de creuser un peu les choses… si nous en avons les moyens bien sûr.
Pourquoi « creuser un peu les choses » ? Parce que pour cette cinquième partie du lancement des cartes Blackwell, NVIDIA ne s’est préoccupé que du modèle le plus puissant. Il faut effectivement savoir qu’à côté des GeForce RTX 5060 Ti dotées de 16 Go de mémoire vidéo (VRAM), NVIDIA lance aussi les GeForce RTX 5060 Ti avec 8 Go de VRAM ; lesquelles devraient logiquement être plus en difficulté lorsque l’on grimpe en définition d'affichage.
Notez comme le radiateur déborde nettement du PCB de la carte. ©Nerces pour Clubic
Refroidissement à trois ventilateurs, vraiment ?
Notre Gainward RTX 5060 Ti Python III est donc conçue autour du GPU GB206, une petite puce si on la compare aux précédents modèles de Blackwell. Sur une surface de 181 millimètres carrés, NVIDIA a tout de même casé 4 608 cœurs CUDA ce qui autorise un total de 144 cœurs Tensor, 36 cœurs RT et 48 ROP. Le GPU profite de 32 Mo de cache L2 et est donc associé à 16 Go de GDDR7 sur un bus d’interface 128-bit. La version 8 Go devrait conserver les mêmes spécifications.
Bien sûr, les caractéristiques principales de Blackwell se retrouvent sur ce GB206 avec les mêmes générations de cœurs Tensor (5e) et RT (4e) ainsi qu’un décodeur vidéo de 6e génération et un encodeur de 9e génération. Notons en revanche que si la Gainward RTX 5060 Ti Python III exploite le PCI Express Gen 5, elle n’exploite que 8 lignes PCIe contre 16 pour tous les autres modèles de GeForce RTX série 50. Reconnaissons que cela ne fera pas une grande différence.
Rien à signaler du côté des connecteurs d'affichage : du classique. ©Nerces pour Clubic
Du côté de la conception de la carte et puisque nous ne pouvons pas parler de design de référence, retenons que Gainward a opté pour un carénage particulièrement long de presque 30 centimètres (292 mm), et ce, alors que le PCB en lui-même n’atteint pas 15 cm. On se demande un peu pourquoi une carte aussi longue ? C’est tout l’intérêt des modèles moins haut de gamme : on doit pouvoir économiser autant sur le budget que sur l’encombrement. Heureusement, la carte compense par sa relative finesse.
La RTX 5060 Ti Python III occupe certes deux emplacements PCI Express, mais il ne sera pas question de déborder sur un troisième comme c’est trop souvent le cas. La longueur trouve aussi une certaine logique. Elle permet à Gainward d’assurer une ventilation généreuse : trois ventilateurs dont le flux d’air peut traverser le radiateur sur une bonne moitié de la carte (cf. photos).
Enfin, notons que Gainward a fait dans la sobriété en éliminant toute LED et se contente d’un port d’alimentation classique à 8 broches.
Protocole de test
On ne change pas une équipe qui gagne, et notre protocole de test ne bouge donc pas le moins du monde depuis le test de la première carte Blackwell, la GeForce RTX 5090 Founders Edition. Nous retrouvons donc notre configuration à base de processeur Intel de 12e génération et de DDR5. Bien sûr, le Resizable BAR est activé dans le BIOS.
Les multiples onglets de CPU-Z. ©Nerces pour Clubic
Configuration de test
- Carte mère : ASUS ROG Strix Z790-E Gaming WiFi II
- Processeur : Intel Core i9-12900K
- Mémoire : G.Skill Ripjaws S5 DDR5-6000 CL28 (2x 16 Go)
- SSD « système » : Crucial T500 2 To
- Refroidissement : ASUS ROG Ryujin III 360 ARGB
- Alimentation : be quiet! Pure Power 12 M (1 000 watts)
Côté logiciel, nous utilisons Windows 11 Professionnel 64-bit 24H2 10.0.226100. De manière on ne peut plus logique, NVIDIA nous a livré ses derniers pilotes, les GeForce 575.94, accompagnés de la NVIDIA APP en 11.0.2.312. Notre plateforme Z790 exploite les pilotes chipset Intel 10.1.19600.8418 alors que les cartes concurrentes sont en 25.3.2 (AMD) ou en 32.0.101.6734 (Intel).
Ce bon vieux connecteur d'alimentation 8 broches. ©Nerces pour Clubic
Qu’en est-il des performances ?
Dans sa communication, NVIDIA ne cherche pas à survendre sa GeForce RTX 5060 Ti en la comparant au très haut de gamme des générations précédentes. Elle préfère, à raison, se focaliser sur l’intérêt d’évoluer quand on est détenteur d’une RTX 3060 Ti, voire d’une RTX 4060 Ti. Notons également que NVIDIA fait complètement abstraction de ses concurrentes AMD et Intel qui, pourtant, ont régulièrement prouvé qu’elles avaient des atouts à faire valoir si on écarte le haut de gamme, en particulier du côté du rapport performances/prix.
3DMark
Même protocole, même ordre des tests, et c'est donc avec l'incontournable 3DMark que nous démarrons les mesures de performances. Time Spy Extreme représente la scène de référence, Port Royal est là pour la prise en charge du ray tracing, alors que Speed Way constitue la séquence la plus lourde.
Si les trois scènes ont des « objectifs graphiques » assez différents, nos conclusions restent globalement les mêmes. La Gainward RTX 5060 Ti Python III s’en sort très honorablement en prenant un large avantage sur la génération précédente, la Gainward RTX 4060 Ti OC, mais ne peut pas le moins du monde se comparer à la GeForce RTX 5070 FE. Notons l’avantage plus important pris par la RTX 5060 Ti sur la concurrence AMD/Intel sur la scène la plus exigeante, SpeedWay.
Blender Benchmark
Comme souvent, Blender Benchmark est à l’avantage des cartes NVIDIA et la Gainward RTX 5060 Ti Python III en profite pour encore plus nettement s’éloigner de la concurrence que représenteraient la Intel Arc B580 LE et la Sapphire RX 7700XT. Nous parlons au conditionnel, car de concurrence, il n’y a pas vraiment sur ce test. Cela dit, l’écart avec la Gainward RTX 4060 Ti OC est plus faible qu’attendu et cette dernière l’emporte même sur la scène Monster. Étonnant.
V-Ray Benchmark
V-Ray est un outil de mesure spécifiquement conçu pour le ray tracing. Il ne permet pas aux GeForce RTX série 50 de briller de manière particulièrement éclatante et notre Gainward RTX 5060 Ti Python III est nettement devancée par la plupart des cartes que nous avions à disposition au moment de ces mesures. Des cartes qui, il faut le reconnaître, sont nettement supérieures en gamme. Ne soyons pas trop durs, après tout, elle n’est d’ailleurs pas si loin de la GeForce RTX 3090 FE.
Performances ludiques
Le GPU GB206 intégré à la Gainward RTX 5060 Ti Python III n’est pas conçu pour le 2 160p (4K). De fait, nos tests vidéoludiques font abstraction de cette définition d’image. De la même manière, le Full HD (FHD, 1080p) étant une cible possible pour cette carte, il fait son retour sur nos graphiques. Bien sûr, le Quad HD (QHD, 1440p) est également de la partie. Nos tests sont toujours réalisés de la même manière avec le plein écran activé, mais la synchronisation verticale comme le G-Sync inopérants. Voici le détail des réglages pour chacun des titres retenus.
- Cyberpunk 2077 : preset RT Overdrive, path tracing ON, ray reconstruction ON, DLSS qualité avec le nouveau modèle Transformer, frame generation MAX (OFF sur la RTX 3090, 2X sur la RTX 4090 et 4X sur la RTX 5090) ;
- Avatar: Frontiers of Pandora : preset ultra, FSR équilibré, FSR frame generation ON (fixe) ;
- Black Myth: Wukong : preset cinématique, DLSS équilibré (60%), frame generation ON ;
- Forza Motorsport : preset ultra, DLSS équilibré ;
- Red Dead Redemption 2 : preset ultra, DLSS OFF ;
- Total War: Warhammer III : preset ultra.
Vous en avez maintenant l’habitude, nous débutons nos tests vidéoludiques avec Cyberpunk 2077, l’un des titres les plus à même de faire briller les GeForce RTX série 50 grâce à l’utilisation de DLSS 4 et de sa multi-frame generation. Forcément, la Gainward RTX 5060 Ti Python III fait forte impression venant laminer la concurrence qu’il s’agisse des cartes NVIDIA de génération précédente ou les produits signés AMD et Intel.
De manière assez logique, sur les autres jeux retenus – sans multi-frame generation donc – ce n’est pas la même histoire. Vous le savez sans doute déjà, le résultat dépend grandement des technologies utilisées et, par exemple, un passage sur Avatar: Frontiers of Pandora permet aux cartes Radeon de briller : sans DLSS, nous sommes contraints d’activer le FSR d’AMD sur toutes les cartes et NVIDIA est, bien sûr, moins à la fête.
La Gainward RTX 5060 Ti Python III fait toutefois bonne figure sur la plupart des jeux en prenant un avantage certain sur la Gainward RTX 4060 Ti OC. On ne peut cependant pas parler de formidable domination : la série 40 n’est pas ridiculisée et la GeForce RTX 3070 lui donne également du fil à retordre, comme quoi la mise à jour ne sera pas une évidence pour tout le monde. Notons enfin que même sans DLSS, la RTX 5060 Ti peut parfois briller : c’est par exemple le cas sur Red Dead Redemption II.
Nous nous y attendions, le passage au Full HD n’est pas l’occasion de venir complètement changer les conclusions tirées sur l’étude du QHD. Pour autant il est intéressant de noter que, malgré la publicité de NVIDIA autour du 1440p, la Gainward RTX 5060 Ti Python III sera parfois plus à son aise en 1080p, en particulier si vous êtes un aficionado des vitesses d’animation les plus élevées possibles.
Quoi de plus rageant en effet que de disposer d’un écran capable de 144 Hz voire 240 Hz, mais de ne pouvoir en profiter, car la carte graphique « se traîne » à 70 ou 80 images par seconde de moyenne ? Notons ainsi que même en Full HD, un jeu comme Forza Motorsport peine à maintenir une vitesse d’animation de 100 images par seconde en DLSS « équilibré ». Bien sûr, la Gainward RTX 5060 Ti Python III n’est pas particulièrement en cause : ses concurrentes directes font beaucoup moins bien.
De l’efficacité /watt et/euro
Avant de lancer Blackwell, NVIDIA avait promis des optimisations en matière d’efficacité énergétique grâce, notamment, à une gestion plus fine de la consommation. Le test de la RTX 5090 Founders Edition n’avait toutefois pas permis de mettre en évidence de très nets apports. Sans activation de DLSS 4 en tout cas.
Consommation électrique
Peu importe le modèle de GeForce RTX série 50 considéré, nous avons pu noter une inflation certaine des blocs d’alimentation recommandés par les fabricants, et ce, malgré les optimisations promises par NVIDIA que nous venons d’évoquer. C’est le cas pour cette RTX 5060 Ti Python III, Gainward recommande un bloc de 600 watts, rien que ça !
Au repos, même si ce n’est pas la valeur la plus intéressante, notons une consommation de 12 watts ce qui semble coller avec ce que nous observions précédemment malgré un surprenant 19 watts sur le test de l’ASUS TUF Gaming RTX 5070 Ti OC. En charge, la Gainward RTX 5060 Ti Python III est un poil plus sobre que sa devancière, également signée Gainward. Reconnaissons que nous ne nous y attendions pas. Attention cependant, par souci de comparaison entre les articles, nous gardons les mesures sur 3DMark Time Spy Extreme, mais les écarts se resserrent sur 3DMark Port Royal, par exemple.
Efficacité et « rentabilité »
Nos tests de consommation et d'efficacité à une seule scène d'un seul logiciel ont leurs limites et il convient de tempérer un peu nos conclusions. Pour ce test, nous avons décidé d'utiliser 2 scénarios pour calculer l'efficacité énergétique sur un test utilisant le ray tracing, mais aussi sur un jeu compatible avec le DLSS 4 et la multi-frame generation, technologie phare de cette génération Blackwell, hélas encore trop peu présente dans les jeux actuels.
Lors des précédents tests de cartes Blackwell, nous disions que « malgré un bond générationnel limité sur les performances brutes, les RTX série 50 proposent la meilleure efficacité énergétique ». Cet avantage pour les petites nouvelles de NVIDIA se retrouve sur la Gainward RTX 5060 Ti Python III qui, sur ce segment du marché, est tout simplement la carte la plus efficace passée entre nos mains. Elle devance même les RTX 5070 et RTX 5070 Ti qui signaient pourtant déjà de belles performances.
Sur le rapport performances/prix, ce n’est pas tout à fait la même chose, car il faut maintenant faire avec l’agressivité tarifaire d’Intel au lancement de l’Arc B580 LE. Ainsi, alors que NVIDIA a fait un (léger) effort sur le surcoût du modèle 16 Go par rapport à la RTX 5060 Ti 8 Go (+50 euros, quand il était de +100 euros avec les RTX 4060 Ti), c’est bien la carte Intel qui conserve le meilleur rapport performances/prix. La Radeon RX 9700 est également devant notre cobaye du jour qui pourra se consoler en se disant qu’il domine nettement les générations précédentes de GeForce.
Comme les autres cartes de la série 50, la Gainward RTX 5060 Ti Python III compte évidemment sur la multi-frame generation pour s’imposer. Nous avons donc décidé de nous pencher sur cette technologie et son impact sur les performances/watts, performances/prix.
Nous avons repris les mesures réalisées sur Cyberpunk 2077 en 1 440p avec les réglages sur ray tracing overdrive (path tracing), DLSS 4 activé en mode qualité et frame generation à son maximum (4X). Merci DLSS 4 donc, la Gainward RTX 5060 Ti Python III profite ici d’un énorme avantage sur les générations précédentes et sur ses concurrentes actuelles. Le graphique parle de lui-même : en performances/watt comme en performances/euro, il n’y a de match qu’avec les autres RTX série 50.
Un bémol toutefois, car si DLSS 4 se déploie petit à petit, la sauce ne prend pas encore complètement auprès des développeurs. Heureusement, NVIDIA a mis en place le système override qui permet, via la NVIDIA App, de forcer la multi-frame generation sur les titres compatibles DLSS 3. Une solution encore imparfaite, mais qui a le mérite d’exister.
Gainward GeForce RTX 5060 Ti, l’avis de Clubic
À la manière des précédentes cartes Blackwell, la Gainward RTX 5060 Ti Python III prend un malin plaisir à souffler le chaud et le froid. En effet, il faut d’abord reconnaître que le gain en rastérisation n’est pas formidable par rapport à la RTX 4060 Ti preuve que les seuls progrès d’architecture et de gravure ne permettent plus une révolution sur une seule génération.
Cela dit, NVIDIA parvient à nettement compenser cette « faiblesse » en introduisant DLSS 4 et la multi-frame generation ainsi que des améliorations dans la prise en charge du ray tracing. Lorsque de telles technologies entrent en scène, la génération Blackwell domine largement la concurrence. C’est à nouveau le cas avec la Gainward RTX 5060 Ti Python III qui domine nettement la RTX 4060 Ti comme les modèles d’AMD ou Intel.
Pour enfoncer le clou, NVIDIA a opté pour un prix public conseillé en légère baisse d’une génération sur l’autre et ne facture plus aussi cher le passage de 8 Go à 16 Go (+50 euros). Si la RTX 5060 Ti 8 Go nous semble être une mauvaise option, cette Gainward RTX 5060 Ti Python III 16 Go se justifie à condition, bien sûr, que les prix annoncés se confirment en boutiques. Enfin, n’oublions pas que l’apport de ce type de carte n’est pas forcément à mesurer d’une génération sur l’autre : il s’agit plutôt d’une évolution sur trois ou quatre générations.
- La magie du multi-frame generation
- Faible surcoût des 16 Go (vs 8 Go)
- NVIDIA override de + en + efficace
- Écosystème NVIDIA très complet
- Refroidissement efficace et discret
- Prix et disponibilité à vérifier
- Pourquoi 30 cm de long ?
- Gains un peu faibles en rasterisation
- Le DLSS 4 encore trop rare
Fiche technique Gainward GeForce RTX 5060 Ti Python III 16 Go
Mémoire vidéo | 16Go |
Type de mémoire | GDDR7 |
Technologie(s) d'affichage compatible(s) | V-Sync, G-Sync |
Sorties vidéo | HDMI 2.1, DisplayPort 2.1 (x3) |
Fréquence de base | 2,407Hz |
Fréquence Boost | 2,572Hz |
Processeurs de flux | 36 |
Mémoire vidéo | 16Go |
Interface mémoire | 128 bits |
Type de mémoire | GDDR7 |
Consommation | 180mW |
Technologie(s) d'affichage compatible(s) | V-Sync, G-Sync |
VR Ready | Oui |
Définition d'affichage maximale | 8K |
Sorties vidéo | HDMI 2.1, DisplayPort 2.1 (x3) |
Nombre d'écran(s) | 4 |
Connecteur(s) d'alimentation | PCI Express 8 Broches |
Bus | PCI Express 5.0 16x |
Longueur | 291.9mm |
Largeur | 116.5mm |
Epaisseur | 41.3mm |
LED | Non |
Type de refroidissement | Actif (fansink) |
Les alternatives à la carte graphique NVIDIA GeForce RTX 5060 Ti :
- Design et finitions remarquables
- Chauffe et bruit très limités
- Fonctions RTX (DLSS, Reflex)
- Bien placée pour le jeu en 1440p
- Nets progrès sur la 6700XT
- Écosystème logiciel en progrès
02 mars 2025 à 13h15