L'« Hitachi Z7K500 » s'en tient pour ce faire à un seul plateau et ne mesure que 7 mm d'épaisseur, contre 9,5 mm en standard pour le format 2,5 pouces, et revendique notamment une grande résistance aux chocs (400 G), à défaut de fonction de détection de chute entrainant le parcage des têtes de lecture.
Si les spécifications Ultrabook ne requièrent pas spécifiquement de SSD, la totalité des machines du marché en embarquent un malgré tout. Un disque dur traditionnel, même avec la densité record de 500 Go par plateau et la vitesse de rotation de 7200 tr/min du « Z7K500 », n'assure effectivement pas la sortie de veille profonde en moins de 7 secondes, ce qui est en revanche un prérequis.
Obligatoirement associé à un SSD
Hitachi est donc convaincu que la meilleure solution est d'associer un « Z7K500 » à un SSD de faible capacité faisant office de mémoire cache, de quoi offrir un bon compromis entre capacité et performance. Interrogé sur l'écart de prix qui se réduit entre les deux technologies en raison des inondations en Thaïlande, le directeur des ventes EMEA d'Hitachi, Nicolas Frapard, répond que « l'augmentation des prix s'est tassée et (que) le coût au Go des SSD reste jusqu'à 12 fois supérieur à celui de (leur) nouveau disque dur ».
Sur le plan technique l'« Hitachi Z7K500 » adopte par ailleurs l'interface Serial ATA à 6 Gbps, embarque 32 Mo de mémoire cache, consomme 0,8 W pour 23 dB au repos et 1,8 W pour 24 dB en activité.
L'« Hitachi Z7K500 » entrera en production de masse en mars. Nicolas Frapard a indiqué qu'il ne pouvait pas révéler si de futurs modèles d'Ultrabook l'avaient déjà adopté, il ne fait donc aucun doute que c'est le cas !