Quelques précisions ont été données quant aux pays qui seront « attaqués » par Deezer. L'Allemagne, l'Italie, l'Espagne, la Turquie et la Russie seraient en ligne de mire. Par contre, les Etats-Unis et le Japon ne sont pas concernés.
Le dirigeant précise qu'il compte dupliquer à d'autres opérateurs l'accord passé entre Deezer et Orange en France. Pour rappel, l'opérateur a pris une participation dans le capital de la start-up. Depuis la signature de ce partenariat, Orange intègre l'offre Deezer Premium à certains de ses forfaits sous forme d'option, ce qui permet à l'intéressée de revendiquer un total de 1,2 million d'abonnés payants...
Grâce à ce mécanisme, Deezer serait donc sur la voie de la rentabilité et pourrait atteindre, selon Axel Dauchez, ses objectifs d'équilibre d'ici la fin de l'année en réalisant 50 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Les futurs accords devraient donc être formés sur l'exemple du contrat récemment passé en Grande-Bretagne. Deezer ne proposera pas un accès gratuit financé par la publicité mais l'utilisateur sera en mesure d'écouter une sélection de radios ou quelques extraits de chansons limités à 30 secondes. Ensuite il sera invité à faire son choix parmi deux abonnements payants (dont l'un contient l'option smartphone en mode déconnecté).