Ainsi, une joint-venture composée par Marubeni et TD Mobile (Toyota Tsusho et Denso) pourrait rapidement s'engager à prendre 51% du capital de la filiale, composée notamment d'une chaîne de magasins vendant des téléphones mobiles pour l'opérateur NTT DoCoMo. De son côté, le groupe n'a pas prêté d'oreille attentive à ces informations, se contentant de préciser qu'il ne commenterait pas les rumeurs.
Pour rappel, le constructeur nippon est dans une période très délicate. Concurrence sur le marché des infrastructures Télécoms et des smartphones, NEC a également admis que ses activités ne s'étaient pas développées aussi bien que prévu hors de son territoire. Ainsi, début 2012, il avait annoncé la suppression de 10 000 emplois, ce qui représente environ 10% de ses effectifs. La firme précisait également que 7 000 postes pourraient être supprimés au Japon.