Ces mauvais résultats sont à mettre au compte de plusieurs facteurs. Tout d'abord, le japonais explique que la concurrence sur le marché des infrastructures Télécoms et des smartphones s'est intensifiée. Nec a également admis que ses activités ne s'étaient pas développées aussi bien que prévu hors de son territoire. Enfin, le géant de l'électronique a expliqué que la demande mondiale a subi un arrêt considérable suite aux inondations en Thaïlande.
Nec a donc annoncé qu'il agira en conséquence et prévoit de supprimer environ 10 000 emplois, ce qui représente environ 10 % de ses effectifs. Dans une note, le groupe précise que 7 000 postes pourraient être supprimés au Japon.