L'action du géant américain va principalement porter sur la conception de graver des puces sur silicium à 7 nm. IBM entend même aller plus loin en dépassant cette limite. Second point, Big Blue se donne les moyens de réfléchir aux futurs remplaçants des transistors actuels en silicium. Plusieurs voies seront étudiées comme l'usage du graphène ou de nanotubes de carbone.
IBM tente d'anticiper les besoins des prochains systèmes informatiques. Dans cette tâche, le groupe utilisera ses propres centres de recherche mais nouera également des partenariats avec plusieurs universités ou encore des groupements tels que la NanoElectornics Research Initiative, STARnet ou encore le Global Research Consortium.