© Turag Photography/Unsplash
© Turag Photography/Unsplash

Après Google ou encore Amazon, ce serait au tour de Microsoft de licencier nombre de ses employés.

Après avoir appris récemment que Microsoft souhaitait révolutionner l’expérience Windows grâce à l’IA, voilà une moins bonne nouvelle qui vient de tomber au sujet de l’entreprise…

Licenciements massifs : le monde de la tech dans la tourmente ?

En tout début d’année, Amazon annonçait le plan de licenciement le plus massif de son histoire en prenant la décision de supprimer pas moins de 18 000 postes. Après Twitter, Meta ou encore Salesforce, les grands acteurs de la tech ont indéniablement pris un grand coup et annoncent successivement des suppressions de postes conséquentes. Et comme vous l'aurez compris, cela est loin d'être terminé.

Selon les informations du média Sky News, Microsoft se préparerait à son tour à annoncer la réduction de ses effectifs. Et malheureusement, plusieurs milliers de postes seraient une fois de plus concernés…

Microsoft : plus de 10 000 emplois sur la sellette ?

Le 24 janvier prochain, Satya Nadella, le P.-D.G. de Microsoft, informera les investisseurs des résultats financiers de son entreprise. Mais avant cette prise de parole, la société américaine devrait annoncer la suppression de 11 000 postes, ce qui représenterait alors près de 5 % de ses effectifs. En effet, pas moins de 220 000 employés composent à l’heure actuelle les locaux de la firme de Redmond. Toujours selon Sky News, 6 000 d'entre eux sont situés au Royaume-Uni (bien que nous ignorons encore si oui ou non ces postes seront concernés par la vague de licenciements à venir).

Durant la pandémie, les grandes entreprises technologiques ont pour beaucoup d’entre elles procédé à des recrutements massifs. Mais près de trois ans plus tard, ces dernières doivent maintenant faire face à un ralentissement économique mondial. Bien que les rapports soient (regrettablement) fiables, espérons tout de même que ce plan de licenciements ne sera pas finalisé. Dans le cas contraire, nous ne devrions pas tarder à le savoir…

Source : Sky News