L'agence Reuters évoque des discussions entre Blackberry et plusieurs grandes firmes high-tech, dont Google, SAP Cisco System, qui seraient intéressées par le rachat de la firme ou de certaines de ses activités. Blackberry a également appelé d'autres entreprises potentiellement intéressées à manifester leur intérêt : parmi elles se trouveraient Intel, LG et Samsung, selon une source proche.
Si de grands noms sont évoqués, le doute plane encore sur les réels acheteurs potentiels. Pour rappel, Blackberry a établi un accord de principe avec le groupe Fairfax Capital, qui valorise l'entreprise à 4,7 milliards de dollars. Si Blackberry ne trouve pas d'autres acheteurs capables de faire une proposition de rachat supérieure avant le 4 novembre prochain, l'accord avec le groupe Fairfax sera définitivement conclu.
Aucune des entreprises citées par Reuters n'a désiré faire de commentaires sur les informations dévoilées par l'agence de presse. Les analystes estiment que le portefeuille de brevets de l'entreprise, ainsi que son système de messagerie considéré comme bien sécurisé pourraient attirer de nouveaux acheteurs.
La semaine dernière, c'est un autre fonds d'investissements, Cerberus Capital Management, qui entrait dans la danse. Mais la volonté de Blackberry de multiplier les propositions laisse penser que les discussions sont moins engageantes qu'espérées.
Mise à jour du 28 octobre : SAP ne veut pas de BlackBerry
Finalement, le géant des progiciels allemand ne s'est pas dit intéressé par BlackBerry. Par la voix de son directeur financier, Werner Brandt, dans un entretien au magazine allemand Euro am Sonntag, et rapporté par Reuters, celui-ci a déclaré que « BlackBerry ne convient pas à la stratégie de SAP ».
Le représentant de SAP a également ajouté que son entreprise « proposait déjà des solutions mobiles et n'avait nullement besoin de combler le moindre manque en la matière ».
Finalement, le géant des progiciels allemand ne s'est pas dit intéressé par BlackBerry. Par la voix de son directeur financier, Werner Brandt, dans un entretien au magazine allemand Euro am Sonntag, et rapporté par Reuters, celui-ci a déclaré que « BlackBerry ne convient pas à la stratégie de SAP ».
Le représentant de SAP a également ajouté que son entreprise « proposait déjà des solutions mobiles et n'avait nullement besoin de combler le moindre manque en la matière ».
Article initialement publié le 07/10/2013