Pour rappel, en janvier dernier, la direction avait présenté son plan visant non seulement à se séparer de 7% de ses effectifs (environ 900 postes) mais également à vendre certains actifs désormais jugés non-stratégiques. En ce sens, la vente de WaveMaker est donc la conséquence directe de cette politique.
De son côté, Pramati ne dévoile pas le montant de son acquisition mais précise dans un communiqué que la solution sera intégrée au portefeuille actuel de services que propose la société. Cette dernière étant également un incubateur, elle devrait améliorer le service afin d'implémenter de nouvelles fonctionnalités.
« WaveMaker permet d'améliorer nos capacités en matière de développement Java pour le cloud. Au fil des années, les observateurs ont reconnu nos compétences en la matière. C'est pourquoi cette acquisition nous permet d'étendre notre champ de compétence puisque nous pouvons désormais toucher de simples utilisateurs ou des développeurs non-spécialistes en Java », précise Vijay Pullur, président de Pramati.