Concrètement, Nominet souhaiterait disposer du pouvoir de fermer un site si son activité est considérée comme criminelle. Elle bénéficierait ainsi d'une extension importante de ses pouvoirs et agirait à la manière d'une police du Web. Pour sa défense, Nominet plaide également pour qu'il existe des « Conditions générales d'enregistrement » plus claires et plus précises lors de l'enregistrement d'un nom de domaine.
Bien qu'il ne s'agisse pour l'instant que d'un avis pour information de la part de Nominet, des consultations ont été menées en Grande-Bretagne sur le sujet. Elles devraient aboutir sur un débat public à partir du 23 février prochain.