Le ministère admet donc sa faute à demi-mot puisqu'il évoque un « problème technique d'affichage du crédit de photo » et présente également ses excuses à l'auteur de la photographie en question. Un message au bas de la page concernée fait donc office d'excuses. Il explique qu': « à présent ce défaut d'affichage est résolu et la photo a retrouvé son crédit d'origine ».
Bien que cette affaire soit close selon l'auteur de la photographie, elle montre également le décalage entre un discours protecteur des droits d'auteurs et une application parfois hasardeuse. Sans non plus jeter la pierre sur cette photographie, le logo Hadopi, les plusieurs chansons utilisées par l'UMP lors de campagnes (MGMT, Daft Punk...) sans autorisation, ces organismes pourraient choisir d'adopter un « code de bonne conduite ». Histoire de donner l'exemple...