SCO estimait en effet que le jury n'avait pas correctement interprété les différentes preuves présentées dans le cadre du procès, et cherchait à obtenir l'abrogation du verdict formulé en mars (voir l'article et consulter un historique de l'affaire).
« Le jury a estimé que la version des faits présentée par Novell était plus convaincante. Cette conclusion est correctement étayée par les preuves. Il y avait des preuves tangibles d'une décision intentionnelle, de la part de Novell, de conserver la propriété des droits (associés à Unix) », a finalement conclu le juge Stewart, en charge de ce énième rebondissement. De ce fait, les poursuites engagées par SCO à l'encontre d'IBM pourraient se révéler caduques, puisque celles-ci partaient du principe que la propriété d'Unix revenait au plaignant.