Pour rappel, face à de nombreux procès et à la colère de nombreux titulaires de droits sur les contenus vidéos, YouTube avait introduit un système de tatouage sur ses contenus. A l'époque, des sociétés comme TF1, l'INA, Mediaset ou encore la Premier League, le championnat anglais de football, avaient en effet attaqué la plateforme pour la diffusion de contenus de manière illicite.
Baptisé Content ID, le dispositif de protection similaire à un DRM a donc permis aux labels de savoir où sont leurs vidéos. Chaque contenu dispose alors d'une empreinte unique et le titulaire des droits peut contrôler sa diffusion et bloquer toute publication pirate.
Le Financial Times rappelle que YouTube peut également bloquer certaines vidéos ou couper le son, si un ayant droit n'autorise pas sa diffusion. Toutefois, la monétisation des contenus reste la voie la plus employée par les détenteurs de droits, selon un porte-parole.
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