Cette rafle a été organisée à l'occasion du Cyber-monday, journée consacrée aux achats en ligne outre-Atlantique. Le DoJ rappelait alors que les « infractions aux lois sur le copyright sont un crime fédéral passible de cinq ans de prison et 250 000 dollars d'amende ». Le site torrentfreak avait d'ailleurs publié la liste des domaines concernés.
Pourtant, certains sites visés comme Torrent-Finder.com ont rapidement fait leur réapparition sous un autre suffixe comme en .info. Du coup, on peut imaginer que l'initiative, bien que d'envergure, n'a pas eu totalement l'effet attendu puisque l'administration judiciaire américaine ne peut exercer un contrôle que sur les .com...
L'opération peut donc être apparentée à un « nettoyage cosmétique » avant le Cyber-Monday. Torrentfreak explique que ce type de mesure, contre des annuaires de torrents, n'a qu'une portée relative puisqu'elle ne s'attaque qu'à des cibles « faciles »...