Ne tournons pas trop longtemps autour du pot : le Moto G Pro est ni plus ni moins qu'un Moto G8 à peine remanié.
Au jeu des sept différences, on pointera un passage sous Android One et, surtout, la présence d'un stylet intégré qui tend à en faire un smartphone intéressant pour ceux qui font les yeux doux aux Galaxy Note de Samsung depuis plusieurs années.
Moto G Pro : la fiche technique
On l'a dit plus haut : il ne faut pas chercher trop longtemps pour s'apercevoir que le Moto G Pro reprend tout ou partie de la fiche technique de ses prédécesseurs de la gamme G8.- Le Moto G Pro, c'est :
- Écran : LCD IPS de 6,4 pouces (19,17:9) affichant une définition Full HD+ de 2300 x 1080 pixels (399 ppi, 60 Hz) et couvrant environ 83% de la surface avant
- SoC: Snapdragon 665 (11 nm) avec processeur octo-core (4x 2,0 GHz + 4x 1,8 GHz) et GPU Adreno 610 (625 MHz)
- Mémoire vive : 4 Go LPDDR4X
- Stockage interne : 128 Go (extensible) en eMMC 5.1
- Batterie : 4 000 mAh, recharge rapide jusqu'à 18 W en filaire
- Étanchéité : non certifié
- Prise jack 3,5 mm : oui
- Audio : haut-parleurs stéréo
- Appareils photo arrière :
- grand-angle 48 MP (1/2.0", 0,8 µm, ƒ/1.7) équivalent 26 mm
- ultra grand-angle 16 MP (ƒ/2.2)
- macro 2 MP
- Vidéo : 4K@30fps, 1080p@30/60/120, gyro-EIS
- Appareil photo avant : 16 MP (1/3.0" ƒ/2.0), vidéo 1080p30fps
- Capteur d'empreintes : Oui, au dos
- Recharge inversée : Non
- Double SIM : Oui
- Compatible 5G : Non
- Connectivité : Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/ac, Bluetooth 5.1, NFC
- Dimensions : 158.6 x 75,8 x 9.2 mm pour 192 grammes
- OS : Android 10 + Android One
- Coloris : Indigo mystique
- Prix : 329€
- Disponibilité : Disponible
Même processeur, même écran, même batterie que le G8... Outre l'intégration d'un stylet, on note malgré tout le passage à un capteur photo principal de 48 mégapixels et l'ajout d'une focale ultra grand-angle dédiée à la vidéo.
Dans sa boîte, le smartphone s'accompagne d'un adaptateur secteur 15W, d'un câble USB-C, d'une paire d'écouteurs filaires intra-auriculaires et d'une coque en silicone transparent.
Design : la patte à Moto
Le Moto G Pro reprend non seulement la fiche technique des autres modèles de la gamme, mais aussi leur esthétique. Le design n'évolue pas d'un iota, même si on remarque que le smartphone est très légèrement plus grand que le G8 Power.On retrouve donc toujours cet écran de 6,4 pouces poinçonné dans l'angle supérieur gauche, et doté d'épaisses bordures (5 mm au plus épais). Parfaitement plat, celui-ci offre une belle surface d'affichage, quand son format très particulier de 19,17:9 permet une bonne prise en main globale de l'appareil.
Au dos, rien ne change non plus. Le Moto G Pro est proposé dans un unique coloris bleu indigo, lequel se pare de jolis reflets multicolores quand les rayons du soleil le touchent. Tout en plastique, le revêtement retient assez facilement les traces de doigt.
Le capteur d'empreintes loge toujours dans le logo Motorola, et fonctionne toujours à merveille. Très légèrement concave, notre index le trouve instinctivement, et le déverrouillage est instantané. Un choix bien plus judicieux que sur le Redmi Note 9, dont le scanneur d'empreintes ne dispose d'aucun relief particulier.
Les différents modules photo sont quant à eux alignés sur la gauche. Ils dépassent à peine du châssis et ne gêne pas la pose à plat du téléphone.
Le son est géré par deux grilles de haut-parleurs : l'une intégré à l'oreillette d'appels, en haut de l'écran, l'autre situé à côté du port USB-C et de la prise jack 3.5 mm, sur la tranche inférieure du téléphone.
Une tranche inférieur qui, nous y venons, intègre donc aussi ce fameux stylet. Première (petite) déception : celui-ci est plutôt difficile à retirer de son logement. On aurait espéré un bouton pressoir à la Galaxy Note, mais il faut ici user de son ongle pour tirer le crayon vers soi.
Mesurant 9,8 cm, le stylet ne démérite pas, esthétiquement, face aux modèles de Samsung. Il pèse 5 grammes et grâce à son centre de gravité positionné près de la pointe, offre une bonne tenue. Nous reviendrons dans la partie logiciel de ce test sur les différentes fonctionnalités disponibles le concernant.
Écran : lumineux, mais très mal calibré
Motorola n'a jamais été très à son aise côté image. Même son Motorola Edge, pourtant vendu 599€, ne permet pas d'obtenir des couleurs correspondant à la norme attendue. Nous ne sommes donc pas particulièrement surpris des (très) mauvais résultats obtenus via notre sonde.Par défaut, le smartphone et son écran IPS 6,4 pouces affiche le mode de couleurs "Naturel". Par son biais, nous avons calculé une température de la dalle oscillant entre 8095 et 8116K (à 50 et 100% de luminosité). C'est évidemment beaucoup trop froid comparé aux 6500K attendus.
L'espace colorimétrique sRGB est couvert à 90,5%, et le delta E 2000, qui mesure l'écart d'une couleur affichée par rapport à sa référence Pantone, est de 4,92 (nous attendons 3 ou moins). Bref : nous n'y sommes pas du tout.
Le mode "Contrasté" n'offre hélas pas de meilleur compromis. Pour tout dire, nous avons récupéré peu ou prou les mêmes valeurs qu'avec le mode "Naturel". Même constat avec le mode "Saturé", le dernier de la liste, qui nous a néanmoins permis de passer à une température de 7989K... mais à un delta E de 5,15. Décevant, à tous les niveaux donc. D'autant que l'interface du téléphone ne permet pas, via une roue chromatique, de réchauffer quelque peu l'affichage pour récupérer des couleurs plus proches de la norme.
Néanmoins, il faut reconnaître à l'écran du G Pro une bonne luminosité pour un smartphone de son rang. En désactivant l'adaptation de la luminosité, nous avons calculé 466 cd/m2, ce qui est plutôt correct. En laissant activée l'adaptation en revanche, nous avons obtenu un pic à 731 cd/m2 : c'est excellent, et vous permettra de profiter du smartphone sans souci, même en plein soleil. Le taux de contraste a quant à lui été calculé à 1488:1 ce qui, pour un écran LCD, n'est pas si mal.
Du reste, la définition Full HD+ de 2300 x 1080 nous apparaît suffisante, tout comme la résolution de 399 ppp. Et si le constructeur n'en fait nullement étalage sur sa fiche technique, le Moto G Pro est parfaitement capable de lire des vidéos HDR sur YouTube.
Audio : un son stéréo, et une prise jack de qualité
Comme le Moto G8 Power - et contrairement au G8 classique -, le Moto G Pro profite d'un duo de haut-parleurs.Leur placement n'est pourtant pas idéal. L'un n'est autre que l'oreillette normalement dévolue aux appels, et l'autre est disposée près du port USB-C. Autrement dit, la projection sonore part dans deux directions différentes.
Qu'à cela ne tienne, le smartphone est capable de jouer de la musique à un niveau plutôt élevé, mais aura tendance à saturer une fois le seuil des 70% franchis. De plus, l'équilibre sonore n'y est pas : les basses sont aux abonnées absentes, et l'accent a clairement été mis sur les médiums.
C'est bien en utilisant la prise casque que l'on obtient les résultats les plus convaincants. Remarquons d'ailleurs que Motorola fourni ici des écouteurs intra-auriculaires de bonne facture, et non plus un kit mains libres bas de gamme comme sur ses autres smartphones G8. Ceux-là véhiculent un son de bonne qualité, forcément porté sur les graves, mais qui n'oublient pas d'être précis sur le haut du spectre. À défaut d'avoir du bon matériel audio, ils font largement l'affaire.
Pour les amateurs du sans-fil, le Moto G Pro prend en charge toute la panoplie de codecs habituels : SBC, AAC, LDAC, aptX, aptX HD, aptX Adaptative et aptX TWS+ audio.
Logiciel : Android One à la barre
La partie logicielle du Moto G Pro est probablement ce qui la différencie le plus des autres smartphones de la gamme. Propulsé par Android One, le smartphone jouira d'un suivi exemplaire de la part de Google, et profitera d'au moins 2 mises à jour majeures sur 3 ans. Seuls les Pixel de Google peuvent en dire autant.Sur notre exemplaire de test, le Moto G Pro intégrait les mises à jour de sécurité de mai 2020. Un tout petit mois de retard par rapport au calendrier. Le smartphone est certifié Widevine L1, et peut donc lire les contenus HD sur les plates-formes SVoD.
L'interface ? Il s'agit ni plus ni moins que d'Android Stock, auquel Motorola a greffé ici et là quelques petites particularités très peu envahissantes. Il y a bien entendu l'application Moto, qui intègre de nombreux raccourcis et gestes permettant de couper le son du téléphone en le retournant, de prendre une capture d'écran en effectuant une rotation du poignet (tout sauf pratique), ou encore le mode Game Turbo qui améliore légèrement les performances en jeu.
Mais l'essentiel des nouveautés du G Pro tient bien entendu dans son stylet. Que permet-il de plus exactement ?
Dès que le stylet est retiré de son logement, une barre de raccourcis apparaît en transparence sur l'écran. Par défaut, vous pourrez ouvrir vos notes ou Google Keep, créer une nouvelle note ou prendre une capture d'écran. Bien entendu, libre à vous de choisir les raccourcis qui vous sont le plus utiles.
Lorsque l'appareil est verrouillé et que vous retirez le stylet, l'application Notes se lance automatiquement. Pratique pour ne pas laisser s'échapper ses idées.
Le Moto G Pro vous propose également d'enregistrer l'heure et l'emplacement du dernier retrait du stylet. L'intérêt ? En cas de perte, vous saurez au moins où commencer vos recherches. Attention : l'option est désactivée par défaut.
Alors, une vraie valeur ajoutée ce stylet ? Potentiellement, si vous pensez en avoir l'usage. Toujours est-il que le modèle proposé par Motorola est précis, et offre assurément un petit supplément de confort, ne serait-ce que pour naviguer sur le Web. Va-t-il vous rendre plus productif pour autant ? Cela dépendra essentiellement de vous. Mais n'oubliez pas que ce stylet se paie : si vous ne pensez pas en avoir l'usage, rabattez-vous sur le Moto G8 Power qui, pour 80€ moins cher, offre les mêmes prestations que ce Moto G Pro.
Performances : pas au niveau de la concurrence
La fiche technique avait vendu la mèche : le Moto G Pro n'est ni meilleur, ni moins bon que les Moto G8 Power et G8. Par contre, il est vendu 329€, ce qui devrait le faire passer dans une tout autre tranche. En tout cas, cela l'oppose à des smartphones bien plus performants que lui.Sur AnTuTu, le Moto G Pro enregistre 175 719 points. Un score assez proche du Redmi Note 9. Mais ce dernier est vendu à partir de 199€. Les scores Geekbench, 3D Mark, PC Mark et Androbench dressent le même constat : le Moto G Pro n'est clairement pas un foudre de guerre.
Et cela se ressent, parfois. Notamment lorsque vous cliquez sur des notifications. Il peut se passer plusieurs secondes avant que l'application choisie apparaisse, ou du moins fasse apparaître le message escompté. On finit par s'y habituer, mais il faut reconnaître que, si l'on n'a pas l'usage du stylet, 329€ est vraiment cher payé pour un smartphone aussi mou du genou.
Il est néanmoins possible de jouer sur le Moto G Pro. Même à des titres gourmands, comme Call of Duty : Mobile, qui a pu se lancer en qualité Moyenne à 60 images par seconde. Attention toutefois aux sessions de jeu prolongées : la chauffe a tendance à se faire rapidement. Après une petite demi-heure de jeu, le dos de l'appareil affichait 38°C, et une partie de l'écran commençait à nous réchauffer les pouces.
Autonomie : un smartphone endurant
Il y a bien un domaine dans lequel Motorola roule sa bosse, c'est l'autonomie. Et s'il n'est pas aussi endurant que le Moto G8 Power, ce Moto G Pro donne aussi d'excellents résultats.Deux bonnes journées d'autonomie. C'est grosso modo ce que vous pourrez tirer du Moto G Pro avant qu'il ne s'essoufle. Pendant notre test, le smartphone est resté éveillé durant exactement 37 heures, et l'écran allumé pendant 9h31.
Comme sur les autres modèles, cette excellence n'est malgré tout pas conjuguée à une recharge rapide. Avec le chargeur inclus, comptez exactement 2h30 pour passer de 0 à 100%. En 30 minutes, le smartphone n'avait récupéré que 21% de batterie.
Photo : un manque flagrant de polyvalence
Nous sommes un peu perdus. Si la fiche technique du téléphone (et nos yeux) nous confirme bien qu'il y a plusieurs modules photo au dos du téléphone, l'application photo ne vous laissera utiliser que e capteur principal de 48 mégapixels.L'ultra grand-angle ? Il n'est utilisé qu'en vidéo, via le mode "action cam" dédié. Une décision étonnante plus que regrettable (les photos ultrawide des G8 et G8 Power ne sont pas extraordinaires), qui peut néanmoins porter préjudice à de futurs acheteurs. Soulignons-le une nouvelle fois : le Moto G Pro ne permet pas de faire des photos avec le capteur ultra grand-angle.
« Le Moto G Pro ne permet pas de faire des photos avec le capteur ultra grand-angle »
Un grand-angle bien équilibré
Le Moto G Pro ne profite donc finalement que d'un capteur. Mais celui-ci fournit heureusement de bons résultats en pleine journée.Utilisant le pixel binning, le Moto G Pro sortira des clichés de 12 mégapixels : 4 pixels sont combinés en un afin d'augmenter la taille des photosites. En d'autres termes, les images ressortent plus détaillées, mieux exposées ; plus nettes.
Et il faut bien avouer qu'en plein jour, on est plutôt satisfaits de ce que l'on voit. Bien sûr, on évite de trop zoomer ; nous n'avons presque aucune latitude pour recadrer sous peine de voir le vernis s'écailler. Mais en tant que tel, les instantanés proposés par le G Pro sont bien exposés, les couleurs sont réalistes et le contraste justement dosé.
Le piqué, notion que l'on pourrait traduire grossièrement par "sensation de netteté", est plutôt bon au centre. En revanche, le Moto G Pro semble avoir en horreur les scènes à la haute dynamique. Même avec le mode HDR activé, il aura toutes les peines du monde à récupérer des détails dans les ombres.
Contrairement à d'autres modèles de ce genre, le Moto G Pro ne permet pas d'utiliser les 48 mégapixels du capteur pour obtenir une image en pleine résolution.
Un zoom numérique seulement
Le module ultra grand-angle n'est pas disponible en photo, mais le Moto G Pro est également dépourvu d'un téléobjectif. Si vous voulez zoomer, ce sera donc numériquement.Le smartphone permet un grossissement 8x qui, sans surprise, ne fait pas beaucoup de bien à l'image.
On perd énormément de détails, les textures deviennent baveuses : tout bonnement inexploitable.
Des portraits... aléatoires
En mode portrait, le G Pro offre des résultats mi-figue, mi-raisin. Dans le cadre de la photo proposée ci-dessous, nous avons dû nous y reprendre à 3 fois pour que le t-shirt ne soit pas flouté et donc oublié lors du détourage du sujet...Ceci étant dit, les couleurs restent naturelles et aucun excès de lissage n'est à déplorer. Le détourage, néanmoins, est perfectible.
À l'avant, le lissage est déjà plus présent. Les couleurs restent bonnes, et le détourage ne donne pas matière à s'offusquer, à moins d'y regarder dans le détail. Le bokeh est peut-être un poil trop prononcé, mais l'appareil nous permet de le régler davantage à notre goût.
Enfin le module dédié à la macro ne fait pas plus de miracles. Avec ses seuls 2 mégapixels, inutile d'espérer des résultats fourmillant de détails.
Médiocre de nuit
Les Moto G8 et G8 Power ne nous avaient pas convaincus en basse lumière. Aussi nous ne nous attendions pas à un miracle ici.En intérieur, dès que la lumière se fait rare, la montée en ISO se fera dans la douleur pour le petit capteur de 1/2.0". Le cliché ci-dessus, capturé à 4896 ISO, grouille de bruit numérique que l'algorithme tente de minimiser au prix de nombreux détails dans l'image.
En extérieur, vous l'imaginez, ce n'est guère plus reluisant. Les hautes lumières sont cramées, les ombres opaques, et une fois encore le bruit numérique omniprésent. Le mode nuit dédié permet de rééquilibrer l'histogramme, mais malheureusement pas de rendre l'image plus exploitable. Dommage.
Vidéaste volontaire mais imparfait
C'est l'une des particularités de ce Moto G Pro : la disponibilité d'une "action cam" qui mobilise donc le capteur ultra grand-angle du smartphone, et qui permet de filmer en tenant son smartphone en orientation "portrait".Résultat ? Si l'on apprécie la possibilité de tourner en n'inclinant pas son téléphone, le capteur ultrawide de 16 mégapixels n'offre pas franchement une qualité optique renversante. La stabilisation électronique reste de qualité, même si l'on regrette que le moindre changement d'orientation se paie par d'importants à-coups à l'image.
La stabilisation est d'ailleurs utilisable uniquement en 1080p à 30 images par seconde. En 4K, ou dans les modes à 60 ips, l'utilisation d'un stabilisateur externe est de rigueur si vous souhaitez compenser les mouvements de vos pas.
Motorola Moto G Pro : l'avis de Clubic
Soyons concis. Le Moto G Pro a deux gros atouts pour lui. Le premier est son stylet qui, si vous êtes sûr qu'il vous sera utile, est une chouette addition. Deuxièmement, la présence d'Android One qui garantit au moins 3 ans de support logiciel sur le téléphone, et en fait donc un produit durable.Ceci étant dit, il faut remettre les choses dans leur contexte. À 329€, le Moto G Pro est probablement surévalué par Motorola. Difficile d'y voir autre chose qu'un Moto G8 Power à peine remanié. Et plus difficile encore de lui accorder quelque crédit (autre que les deux cités dans la paragraphe précédent) face au tout récent Xiaomi Mi 10 Lite qui, pour 379€, fait absolument mieux dans toutes les catégories, en plus d'être compatible 5G.
Le Moto G Pro n'est pas un mauvais bougre, mais les concessions qu'il demande à faire sur la vitesse, la qualité de l'écran et surtout la photographie nous paraissent trop importantes au regard de son positionnement tarifaire. À réserver à celles et ceux qui veulent absolument un stylet, sans craquer pour un Galaxy Note.
Testé réalisé sur un smartphone prêté par le constructeur
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