Mega : une interface Web mobile finalement disponible

Publié le 29 mars 2013 à 13h24

Deux mois après un lancement tonitruant, le service de stockage en ligne Mega refait parler de lui avec l'annonce d'une version mobile du site Web.

C'est à nouveau sur Twitter et par la voie de son charismatique fondateur qu'on a appris la disponibilité du site Web mobile de Mega. Kim Dotcom a effectivement annoncé hier que « la nouvelle interface mobile de Mega était en ligne ». Il s'est immédiatement assuré que le service fonctionnait sur une grande variété d'appareils en réclamant et en relayant les retours de nombreux internautes.

Ce site Web mobile comble tardivement l'absence d'applications natives, promises depuis le lancement du service fin janvier. L'application Web permet certes d'accéder à la quasi-totalité des fonctions du site Internet standard, de la création d'un compte à la souscription d'une offre payante. Mais certaines innovations comme la sauvegarde automatique de photos ne sont possibles qu'avec une véritable application.

Selon nos constatations, le service fonctionne sur terminal iOS et Android. Dans ce dernier cas, le navigateur Chrome est nécessaire. Notons enfin que le chiffrement des fichiers, effectué sur le terminal avant l'envoi, met à genou de nombreux appareils.

Quoi qu'il en soit, la version mobile de Mega est disponible dès à présent et rend le service de stockage en ligne plus attrayant.

Retrouvez ci-dessous l'avis de la rédaction concernant Mega lors de son lancement :

Par Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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