Le groupe de travail entend également réfléchir sur l'efficacité des dispositifs actuels de contrôle des ondes. Ce travail revient actuellement à l'Agence nationale des fréquences radio. Dans sa tâche, cette dernière pourrait être épaulée par la ville de Paris, dans des modalités dont il reste encore à définir les contours.
Dans la capitale, une charte lie d'ores et déjà les opérateurs avec la municipalité. De l'aveu des élus, ce document serait trop contraignant et doit être revu par l'ensemble des parties concernées. D'autant qu'il arrive à échéance en décembre prochain. A l'image d'AirParif (qualité de l'air), un baromètre devrait être édité et mis à disposition des habitants.
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