Sur les trois premiers mois de l'année, Toshiba enregistre un bénéfice de 1,25 milliard de yens (7,6 millions d'euros), en baisse de 82% sur un an, une chute directement liée à l'abandon du HD DVD. L'aventure aurait finalement coûté 108,5 milliards de yens, soit 662 millions d'euros, un montant conforme aux prévisions réalisées par les analystes.
Actuel numéro deux mondial de la mémoire Flash, Toshiba cède le pas à son grand rival et actuel leader, le sud-coréen Samsung, qui affiche quant à lui un bénéfice trimestriel en hausse de 37% à 2.190 milliards de wons, soit 1,39 milliard d'euros.