Intel avait alors annoncé pour sa défense que ces pratiques étaient justes et n'étaient pas hors la loi. La "Japan Fair Trade Commission" qui demande à Intel d'éliminer ces éléments anti-concurrentiels de ses contrats avait laissé 10 jours à Intel pour répondre à cet avertissement.
On apprend aujourd'hui que cette période de "reflexion" a été étendue. Intel dispose d'un sursis supplémentaire de deux semaines. La firme de Santa-Clara devra, le 1er avril prochain, soit accepter les nouvelles conditions imposées par la FTC, soit faire face à un nouveau procès.
Pour rappel, Intel est également sous la surveillance de la commission européenne qui a repris son enquète, lancée il y a trois ans, contre le numéro un mondial des processeurs (voir cette brève).