Si d'autres titres avaient déjà été critiqués pour avoir employé la protection SecuROM, c'est sans doute après le lancement de Spore que la grogne a pris une ampleur considérable. Rappelons qu'en plus d'obliger les joueurs à se connecter à Internet pour authentifier leur installation, cette protection peut s'accompagner d'un nombre maximum d'installations.
Ce nombre atteint, il est alors nécessaire de le désinstaller pour récupérer au moins une activation. C'est ce processus de « désautorisation » qui a particulièrement fait grincer des dents : il est possible de perdre très facilement des « autorisations », lorsque la désintallation du jeu se passe mal notamment. Du coup, les joueurs ont vivement protesté, des actions en justice ont été lancées aux États-Unis et Spore a remporté la palme du jeu le plus piraté de l'année.
Electronic Arts et d'autres éditeurs ont commencé à prendre conscience du problème et pour l'éditeur américain cela passe aujourd'hui par la mise à disposition des joueurs d'un outil de « désautorisation » de Spore. Un outil que l'on récupère sur
cette page et qui doit donc permettre de récupérer des activations malencontreusement perdues.
Par Nerces
Spécialiste PC & Gaming
Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.