La crise financière affectera logiquement toutes les formes de publicité, a expliqué Eric Schmidt, qui ne s'attend toutefois pas à une baisse du chiffre d'affaires de Google, du fait de la diversification des supports propices à l'affichage de ses formats, à commencer par la montée en puissance du Web mobile.
Google resterait toutefois ouvert à de potentielles acquisitions, mais investira « très, très prudemment ». Le paroxysme de la crise pourrait ne pas avoir encore été atteint, a estimé E. Schmidt, et la valorisation de candidats à un potentiel rachat ne serait pas encore au plus bas.
Début février, le moteur a par ailleurs manifesté le désir de récupérer la mise correspondante aux 5% qu'il détient d'AOL.