Il s'agit pour l'une des branches de ce standard de fournir un système de gestion commun permettant à ces technologies distinctes d'utiliser au mieux les fréquences disponibles à un moment donné, en fonction notamment de l'emplacement géographique et des réglementations qui en découlent ainsi que des besoins en débit et donc en bande passante. Ceci permettra en outre à ces technologies de fonctionner en parallèle sur un seul dispositif sans interférer les unes avec les autres. La seconde branche du standard permettra quant à elle aux terminaux et aux réseaux de rester interopérables.
Poussé notamment par France Telecom et ses Orange Labs, ce standard tombe à point nommé, à l'heure où une nouvelle génération de réseaux de télécommunication (WiMax et LTE) est sur le point de rejoindre ses aînées sur les terminaux mobiles. Reste à rêver d'un standard de télécommunication unique et polyvalent, adapté aux données comme à la voix, sur courte ou longue portée.