Baptisé AWS Import/Export, cette nouvelle initiative est actuellement en phase bêta. Sur son blog officiel, l'équipe explique que la capacité des disques durs augmente plus rapidement que la bande passante des connexions Internet, d'où la difficulté croissante de migrer ses données sur les serveurs de la société. La mise en ligne d'un téraoctet de données via une connexion haut-débit à 1,5 Mbits/s prendrait plus de 80 jours expliquent les ingénieurs.
Une fois le disque dur envoyé, les fichiers sont copiés, puis le disque est retourné à son expéditeur. L'équipe précise que les disques durs envoyés devront disposer d'un port USB 2.0 ou d'un connecteur eSata et être formatés au système de fichiers en FAT32, ext2, ext3 ou NTFS.
Pour cette période d'évaluation les fichiers supérieurs à 5 Go ne seront pas acceptés. Notons également que si les documents chiffrés seront transférés, les systèmes de chiffrage ne sont pas compatibles.
A l'avenir, AWS Import/Export devrait également être disponible en Europe.
