Pour rappel, Kim Schmitz a récemment expliqué que son service permettant de stocker des fichiers puis d'y accéder via une application dédiée et une clé de chiffrement sera accessible le 19 janvier en tapant simplement Me.ga. Outre une offensive menée ce mercredi par le ministère gabonais de la Communication et de l'Economie numérique, l'adresse me.ga semble décidément être l'objet de bien des convoitises.
Toutefois, la véracité de ce piratage reste à démontrer. Si l'adresse IP ne semble pas avoir changé, le fil d'actualités du groupe Omega s'avère plutôt fantasque. En effet, le groupement affirme que Kim Schmitz leur a offert 1 % des recettes générées par Megabox, le service de partage en ligne maison, en échange de la cession des droits sur le domaine me.ga. Ce dernier dont le même Kim Dotcom revendiquait la paternité en fin de semaine dernière.
@kimdotcom offered us 1% of Megabox in exchange of me.ga that is 1% of nothing in exchange of the almighty Me!
— Ω (@O) Novembre 7, 2012
Toujours est-il qu'Omega indique que son propre service musical reversera l'intégralité des fonds générés par son activité aux artistes. Un peu à l'image du modèle proposé par Megabox dans lequel la société reversera 90% des revenus générés par les ventes de musiques ou d'album aux artistes. La régie publicitaire (voire l'instauration d'un service Premium) pourrait alors servir de moyen de financement à la galaxie Mega.