Le ministère de la défense se contente d'ajouter que le Centre est paré à toute éventualité depuis le 21 mai dernier. Son chef, le général Keith Alexander s'estime « confiant envers le personnel civil et militaire présent dans l'unité de cyber-commandement. Le cyberespace est essentiel pour notre manière de vivre c'est pourquoi nous allons synchroniser les actions de la Défense et de l'Intérieur ». Des interactions avec les agences gouvernementales pourront également être programmées.
Pour autant, le Congrès américain devra encore préciser le rôle de chacun. Certains députés militent déjà pour que le Centre puisse déclarer l'Etat de cyber-crise et que le président Obama prenne alors le commandement des opérations. Il pourrait alors prendre en charge une partie du réseau privé des professionnels.