Sony n'en finit plus de nous proposer des netbooks au format surprenant. Après le Vaio VGN-P11Z que nous testions récemment, le japonais nous propose cette fois une machine à mi-chemin entre le netbook et l'ultraportable.
Le Vaio X est un portable extrêmement fin, concurrent direct du Dell Adamo que nous n'avons pu lui opposer, faute de l'avoir obtenu de la part de Dell. C'est donc un test du seul Vaio X (en l'occurrence, du VPCX11S1E) que nous vous proposons ici, même si ses performances seront évidemment comparées à d'autres netbooks testés précédemment dans nos colonnes.
Que vaut donc le Vaio X ? Comment Sony a-t-il démarqué son produit de la concurrence ? Quel matériel se cache sous la fine coque du Vaio X ? Toutes les réponses dans notre test.
Sommaire :
- Prise en main, ergonomie
- Quel équipement pour le Vaio X ?
- Tests synthétiques
- Tests applicatifs, autonomie
- Conclusion
Une machine très fine et ultralégère
Le Vaio X est attrayant, c'est un fait. Son design séduira la plupart d'entre vous et mis à part le connecteur VGA qui détonne quelque peu, l'ensemble est très réussi. Le châssis mêlant fibre de carbone et aluminium est des plus agréables, à l'œil comme au toucher. La robe noire qui encadre clavier comme l'écran est sobre, tandis que Sony a ajouté une petite touche d'originalité en parant la surface inférieure de son portable d'un plastique chocolat.Présenté à l'IFA l'an dernier comme le portable le plus léger du monde, il est aussi l'un des plus fins (la palme revient au Dell Adamo). Les dimensions du Vaio X sont surprenantes : un peu moins de 14 mm d'épaisseur et 760 grammes sur la balance !
Cette prouesse de construction est due à plusieurs facteurs, comme l'utilisation d'un SSD (nous y reviendrons) ou celle de la fibre de carbone pour le châssis. Pour avoir un aperçu plus vivant de ce portable, voici une vidéo que nous avions tournée à l'époque :
Une ergonomie gâchée par un clavier très moyen
Un portable pourvu d'un écran 11 ou 12 pouces possède un espace suffisant pour fournir un bon clavier, nous l'avons observé avec le Dell Mini 12 par exemple. Las, Sony manque ici complètement son coup et nous propose un clavier aux touches trop étroites en longueur, mais surtout en hauteur, alors que le fort espacement entre ces dernières aurait pu être réduit. Pourquoi également avoir placé le clavier aussi haut sur le portable ? Les touches sont trop éloignées du bord inférieur de la machine, et si les mains reposent bien sur le châssis, la frappe n'est pas très agréable et le touchpad devient complètement inaccessible.C'est d'autant plus dommage que ce dernier bénéficie de l'espace laissé libre par le positionnement du clavier, avec une hauteur confortable. En revanche, il manque cruellement de largeur. Dommage là encore, car le touchpad est réactif, et le système de défilement horizontal et vertical est tout à fait convaincant. Pas de gestion du multitouch en revanche.
On reste donc sur un sentiment très mitigé au niveau de l'ergonomie, Sony gâchant par des choix malencontreux un certain nombre de bons points. Les touches du clavier par exemple sont agréables au toucher et bénéficient d'un positionnement cohérent et de tailles bien proportionnées... pour un portable 10 pouces !
Le choix d'un bouton poussoir pour la mise en fonctionnement du Wi-Fi et le positionnement de ce dernier est en revanche une vraie bonne idée : ainsi placé en haut du clavier, vous êtes certain de ne pas l'actionner par erreur.
Parlons également de l'écran 11,1 pouces de ce Vaio X : retroéclairé par système LED, il est relativement lumineux, mais n'est pas épargné par quelques reflets dus à la dalle brillante utilisée par Sony. Sa résolution WXGA de 1 366 par 768 pixels autorise un affichage plus confortable que celui d'un modèle 10 pouces, qui se limite souvent à la résolution 1 024 x 768.
Une suite logicielle un peu réduite pour un Vaio
Sony nous a habitués à offrir avec ses portables un certain nombre de logiciels, particulièrement adaptés à un usage multimédia. Sur le Vaio X, le logiciel MediaGo n'est par exemple pas installé : seul un lien pour le télécharger vous est proposé. De même, le fameux InstantOn, ce pré-OS qui permet d'effectuer quelques opérations basiques sans allumer Windows et présent sur le Vaio P entre autres, est ici aux abonnés absents.Finalement, Sony n'a conservé que deux logiciels orientés sur le traitement de photos : un programme d'importation de contenu multimédia à partir de différentes sources (cartes SD, APN, webcam, caméscope...) et un programme de conversion.
Signalons également la présence du Vaio Smart Network, un gestionnaire de connexion qui permet par exemple d'activer le Wi-Fi sans activer le Bluetooth ou la connexion 3G (nous y reviendrons).
Enfin, c'est Windows 7 Pro 32 bits qui est livré avec le Vaio X. Petit bémol : alors que cette version autorise le fameux mode de compatibilité Windows XP, il se trouve que Sony a la fâcheuse habitude de désactiver sur nombre de ses portables la gestion matérielle de la virtualisation. S'il est possible de passer outre cette limitation (au prix de manipulations complexes et dangereuses), le choix de Sony reste très discutable.
Un couple chipset / processeur déjà vu
Au début du printemps dernier, nous testions le petit frère du Vaio X, à savoir le Vaio P, et en remontant encore le temps, c'est le Mini 12 de Dell qui passait entre nos mains il y a tout juste un an. Ces deux machines étaient (et sont) toutes deux pourvues de la plate-forme Intel Menlow (nom de code Pouslbo), la même qui est présente dans le Vaio que nous testons aujourd'hui. Autant dire qu'à l'heure des NVIDIA ION et autre Intel Pinetrail, les entrailles du portable de Sony paraissent un peu dépassées. Relativisons toutefois en rappelant que le constructeur japonais avait annoncé sa machine au dernier IFA et que cette dernière est commercialisée depuis novembre dernier. Les choses bougent vite en la matière...Pour rappel, la plate-forme Intel Menlow regroupe en une puce de 22x22 mm les northbridge et southbridge. En découle un TDP très réduit, de l'ordre de 2,3 Watts. La puce graphique associée à ce chipset est l'Intel GMA 500, intégrant une puce XD370 chargée de décoder matériellement des flux vidéo HD de 1080 lignes, soit bien plus que ne peut en afficher l'écran du Vaio X. Et comme il ne dispose pas de sortie DVI ou HDMI, on se contentera donc du 720p.
Côté processeur, c'est toujours un Intel Atom qui se charge des calculs ; le modèle choisi ici est un Atom Z540, cadencé à 1,86 GHz. C'est donc l'Atom le plus puissant après les N450, qui équipe les nouveaux netbooks Pinetrail, et N330, l'Atom double-coeur. Il est donc plus véloce que le traditionnel N270 placé dans bon nombre de netbooks depuis début 2008. Cette fréquence et le confinement poussé qui est imposé aux composants occasionnent un dégagement de chaleur que le portable Sony peine à évacuer. Conséquence : un bourdonnement assez désagréable qui intervient en charge, et parfois même au repos, après plusieurs heures de travail tout de même.
Ce processeur est accompagné de 2 Go de mémoire vive de type DDR2. Malgré cette quantité confortable, l'activation d'Aero sous Windows 7 occasionne de gros ralentissements, la faute au GMA embarqué, dont les performances sont nettement insuffisantes.
Un SSD pour le stockage
Si le couple chipset / processeur est tout sauf innovant, l'introduction d'un SSD de 128 Go comme disque système est relativement intéressante. De marque Samsung (PB22-J), ce SSD au format 2,5 pouces est composé de puce MLC. Un tel choix implique inévitablement un coût plus élevé pour le consommateur, mais le gain en terme d'encombrement, de consommation et de poids est réellement conséquent. Nous verrons plus loin si les performances sont également à la hauteur.Un équipement intéressant
Toujours dans une optique de gain de place, Sony n'a volontairement pas inclus dans son portable de batterie haute capacité. Qu'à celui ne tienne, Sony annonce fièrement 8 heures d'autonomie, ce que nous ne manquerons pas de vérifier. La compacité du Vaio X a certes des avantages, mais également quelques inconvénients : Sony n'a pas trouvé le moyen d'inclure des enceintes dignes de ce nom dans son portable, qui ne dispose que d'un petit haut-parleur placé sous le PC. Conséquence : un son qui manque de puissance, sans aucun relief. Toutefois, le Vaio X n'est clairement pas destiné à un usage multimédia et la sortie casque suffira à la plupart des utilisateurs.Nous l'évoquions plus haut : seule une sortie VGA est présente sur le Vaio X, et cette dernière fait d'ailleurs tache dans le design travaillé du Vaio X. Nous aurions clairement préféré trouver à sa place une sortie HDMI, plus fine et surtout plus intéressante. Placée à côté de la prise VGA, on trouve un port Ethernet que Sony a astucieusement modifié pour, cette fois, ne pas rompre l'harmonie de son produit. À l'opposé de la machine, on trouve 2 ports USB 2.0, tandis qu'un lecteur de cartes SD est présent à l'avant du Vaio X. Vous l'aurez deviné, aucune place n'est laissée pour un lecteur optique, alors qu'une webcam est quant à elle bien présente en haut de l'écran.
La partie la plus intéressante de cet équipement concerne la connectique sans fil : le Vaio X propose la prise en charge du Wi-Fi 802.11n et du Bluetooth. La présence d'un emplacement pour puce 3G complète brillamment le tableau terni par l'absence d'une puce GPS pourtant incluse dans le Vaio P. Notez enfin que le transformateur livré avec le Vaio X est particulièrement discret.
Pour appréhender les performances offertes par le portable Sony, nous l'avons mis face à trois autres modèles : le Samsung NC10 et son bon vieux couple Atom N270 / 945GSE, le Poulsbo du Dell Mini 12 et son Atom Z530 fonctionnant, comme le N270, à 1,6 GHz, et enfin le HP Mini 311, équipé de la plate-forme NVIDIA ION et d'un Atom N270.
Test sur le processeur
ScienceMark 2 Primordia
ScienceMark 2 est un utilitaire de test utilisant le processeur pour effectuer toute une batterie de calculs scientifiques. Ici, c'est le fameux Primordia qui va mettre à l'épreuve notre portable en se basant principalement sur la fréquence du processeur. C'est donc sans surprise que le Sony Vaio X et son Z540 cadencé à 1,86 GHz sort vainqueur de ce test qui voit les autres portables offrir des performances logiquement très proches.Cinebench 10
Cinebench 10 est basé sur le moteur de l'application professionnelle Cinema4D. Pour évaluer les performances du Vaio X, le logiciel effectue le rendu 3D de la scène en question de manière logicielle uniquement et nous donne un indice final sur la rapidité de la machine sans faire intervenir les performances des contrôleurs graphiques. Même constat que précédemment, avec le Vaio X qui devance de près de 14% les performances d'un peloton groupé de poursuivants.Test sur le contrôleur graphique - 3DMark 06
Nous avons utilisé le module destiné aux tests GPU de la suite 3DMark 06. Il est clair ici que le GMA 500 des Dell Mini 12 et Vaio X est clairement à son avantage face au GMA 950 du NC10 de Samsung, mais le champion en la matière reste le Mini 311 et sa plate-forme ION : bien que le modèle de chez HP soit équipé d'un processeur moins rapide, il conserve l'avantage sur le portable Sony. Ce dernier devance par ailleurs celui de Dell grâce à la meilleure vélocité de son CPU. L'écart de près de 20% dû à cette simple différence de fréquence CPU donne une idée encore plus précise de la domination de la solution de NVIDIA sur le GMA 500 d'Intel.Test sur la mémoire vive
La mémoire vive est un autre élément essentiel dans un ordinateur. Pour évaluer les capacités du Sony Vaio X en la matière, nous avons utilisé le fameux Memory Benchmark de Sandra 2010. Les résultats sont retranscrits dans ces deux graphiques représentant la faculté des plates-formes à travailler sur des nombres entiers pour le premier, à virgule flottante pour le second.La bande passante mémoire offerte par le Sony Vaio X est faible comparé à celle du Dell Mini 12, pourtant équipé d'une plate-forme équivalente. La raison de cette contre-performance est à aller chercher du côté de la mémoire utilisée.
Test sur le stockage
L'unité de stockage est un élément également très important dans l'évaluation des performances d'une machine. Pour effectuer nos mesures, nous avons utilisé l'utilitaire dédié de la suite PCMark05 ainsi que le très connu HDTach.HDTach
L'utilitaire HDTach est très utile pour en savoir un peu plus sur un disque dur. Il précise les taux de transfert en lecture ainsi que le temps d'accès au disque, un critère crucial dans les performances d'un ordinateur.Nous attendions beaucoup de la part du SSD Samsung présent dans ce netbook. Et la déception est à la hauteur de nos attentes. Le taux de transfert en lecture est à peine supérieur à celui d'un disque fonctionnant à 5 400 tours par minute comme celui du HP Mini 311, et même inférieur à celui du disque du Dell Mini 12. Une réelle déception qui se confirme au niveau du temps d'accès : alors que l'écrasante majorité des SSD propose un temps d'accès disque de 0,1 ms, les performances du SSD du Sony Vaio X sont 5 fois moins bonnes. Certes, l'écart avec les disques durs classiques reste très important, mais la qualité du disque choisi par Sony est clairement discutable. Pour en avoir le cœur net, nous avons effectué ces tests à plusieurs reprises et utiliser CrystalDisk Mark, qui nous a fournit des résultats similaires. Ces résultats sont d'autant plus étonnant que le contrôleur qui équipe ce SSD Samsung est réputé pour ces performances. La plate-forme Poulsbo, par laquelle ce SSD est utilisé, semble davantage à mettre en cause.
PCMark05 - HDD Test
Le test de l'unité de stockage réalisé par PCMark05 diffère sensiblement de celui effectué par HDTach. Ici, le score reflète l'impact des performances du disque sur une batterie d'applications, venant relativiser les résultats vus précédemment. L'écart est en effet extrêmement important entre le Sony Vaio X et les autres modèles, ce score étant principalement dû à un temps d'accès bien meilleur pour le SSD du portable de Sony.Tests applicatifs, autonomie
Si les tests synthétiques (qui éprouvent les différents composants de manière à donner une vision globale des performances de l'ordinateur) sont intéressants, rien ne vaut quelques applications classiques pour apprécier de quoi est capable notre Vaio X dans une utilisation « normale ». Ces tests incluent notamment l'autonomie de la machine et sa consommation.Compression de fichiers
Winrar est une application traditionnellement utilisée pour apprécier les performances d'une machine au moyen d'un test se rapprochant des conditions normales d'utilisation. Notre test consiste ici à compresser un dossier de près de 270 Mo par la méthode standard du logiciel. Le Sony est ici à la peine, handicapé à la fois par un SSD assez peu performant et une bande passante mémoire réduite.Autonomie - BatteryMark
Evoquons maintenant les performances en matière d'autonomie. Elles dépendent fortement de la consommation du netbook (que nous étudierons plus avant), mais aussi de la batterie qui l'équipe. Pour effectuer ce test d'autonomie, nous nous sommes servis du logiciel Battery Mark, qui simule une activité bureautique. Durant le test, nous avons placé la luminosité au milieu de sa puissance et désactivé les liaisons sans fil.Equipé d'une batterie dont la capacité est sensiblement la même que celle du Samsung NC10, le Sony Vaio X surpasse ce dernier avec une autonomie de 7h54, soit quasiment les 8h annoncés par Sony. Il faut dire qu'avec un SSD, une plate-forme économe et un écran 11,1 pouces rétroéclairé par LED, tous les ingrédients sont réunis pour offrir une autonomie record.
Consommation
L'autonomie d'un ordinateur est une chose,mais la notion de consommation est tout aussi importante. Pour évaluer les performances des netbooks en la matière, nous avons tout d'abord mesuré leur consommation au repos, la luminosité de l'écran réglée au milieu de sa capacité, le tout grâce à un wattmètre. On voit ici l'effet du faible TDP du couple Intel Menlow / Atom Z540 en comparant les performances du Sony Vaio X avec celles du Mini 311 d'HP ou le NC10 de Samsung, équipé de la plate-forme ION pour le premier et du vieillissant 945GSE d'Intel pour le second.La comparaison avec le Dell Mini 12, doté de la plate-forme Poulsbo lui aussi, apporte l'information sur les économies d'énergies réalisées grâce à l'introduction du SSD.
Consommation en mode économie d'énergie, luminosité à la moitié de sa puissance. Le plus petit est le meilleur.
Pour cette seconde mesure, nous avons chargé le processeur grâce à deux sessions de Prime95 et poussé la luminosité à fond. Les résultats sont similaires avec les précédents, le Sony Vaio X restant largement en tête en la matière.
Consommation en mode ordinateur de bureau, luminosité à fond, en charge. Le plus petit est le meilleur.
Un mot sur la température
Avoir son portable sur les genoux est une chose très commune. C'est pourquoi un appareil qui chauffe de façon excessive est à proscrire. Pour vous éviter ce désagrément, nous avons donc fait quelques relevés de températures grâce à Speedfan, au repos tout d'abord, puis lors de sessions de Prime95. Là encore, les résultats sont excellents. Ici, les bénéfices des faibles TDP des éléments de la plate-forme Poulsbo ne sont pas visibles pour deux raisons : la fréquence plus élevée du processeur et le confinement poussé appliqué aux composants du Vaio X.Lors de notre récent test du Sony Vaio P, nous nous demandions si le portable de Sony était à ranger dans la catégorie des netbooks ou des notebooks. La question pourrait se poser également ici, si les netbooks étaient encore une catégorie à part entière. En effet, ce marché est en train de subir un ralentissement assez important. Les constructeurs comme Acer ou Asus, fers de lance dans le domaine durant les deux dernières années, préfèrent désormais se consacrer à des portables ultralégers comme ce Vaio X et ils pourraient bien que 2010 soit l'année qui verra s'amorcer le déclin des ventes de netbooks.
Concernant ce notebook donc, que dire ? Que son design séduit, sans aucun doute : toutes les personnes amenées à l'approcher ont eu envie de le manipuler, s'exclamant devant sa légèreté indéniable. Il n'empêche que les composants présents dans ce portable sont tout simplement ceux présents dans un netbook et si les performances du processeur sont légèrement supérieures à la moyenne, les performances graphiques sont loin d'égaler celles d'autres solutions, comme le ION de NVIDIA. Le SSD ? Ses performances sont bridées par la plate-forme et il ne peut en l'état constituer un réel attrait, même si sa consommation réduite et sa légèreté constituent des atouts indéniables.
Les principales forces de ce portable sont donc son design, sa légèreté, mais aussi son autonomie : avec près de 8h, elle dépasse tout ce que nous avions pu tester jusqu'à présent. Pour ceux qui se moquent des performances, c'est finalement la machine idéale, à un détail près : son prix.
Sony a tout récemment levé le voile sur son Vaio Z et la sortie d'un nouveau modèle implique souvent une baisse de prix significative du modèle précédent (nous en avons eu la preuve avec le Dell Adamo de première génération, voir Dell Adamo : le prix de l'ultraportable divisé par deux). Alors, à quel prix seriez-vous prêts à acheter ce Sony Vaio X ? Probablement pas pour les 1 400 euros qu'en réclament les marchands à l'heure actuelle.
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