L'intérêt est double : les start-up disposent d'un lieu peu coûteux pour une durée plus ou moins courte, et le particulier, lui, touche une compensation financière. Un plus pour payer le loyer.
Dans l'immédiat, OfficeRiders est toujours en développement : les concepteurs du projet cherchent à susciter l'intérêt, et, idéalement, recueillir des financements par le biais de KickStarter, où une campagne a été récemment lancée. Mais lancer un service via la plateforme de financement participatif est plus compliqué que lancer un produit. « L'intérêt est d'ores et déjà au rendez-vous » assure Thomas Leblanc, même si atteindre la somme de 50 000 dollars sera probablement un défi.
Néanmoins, si ce dernier n'est pas atteint, cela ne devrait pas empêcher OfficeRiders de voir le jour : la plateforme devrait, en premier lieu, connecter particuliers et entreprises de la région de San Francisco, avant de s'intéresser à d'autres villes, dont la capitale française.