Le Syntec Numérique a annoncé mercredi l'arrivée de Google France parmi ses membres : une façon pour le moteur de recherche d'étendre ses capacités en matière de lobbying.
Le Syntec Numérique, qui réunit quelque 1 200 entreprises des industries numériques, a accueilli le 13 juin dernier un nouveau membre : Google France. Déjà membre de l'Association des services Internet communautaires (Asic), le moteur de recherche y voit sans doute l'opportunité d'améliorer l'efficacité de son lobbying dans l'Hexagone. Benoît Tabaka, récemment recruté par Google France à cette fin, le confirme d'ailleurs sans guère d'équivoque
via Twitter.
Le Syntec, passé d'« Informatique » à « Numérique » sous l'impulsion de son président actuel, se réjouit quoi qu'il en soit de l'arrivée de ce nouvel entrant. «
L'expérience et les savoirs-faire de Google dans le développement de ses produits, services et applications Web sont un apport très enrichissant pour Syntec Numérique, qui ambitionne d'offrir à ses adhérents une synergie d'actions collectives afin de mettre en valeur et consolider l'ensemble de l'écosystème de l'industrie du numérique », commente ainsi Guy Mamou-Mani.
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
