Le couple franco-allemand vise à la création d'un partenariat stratégique global, pour devenir ni plus ni moins qu'un acteur européen majeur sur les services informatiques. Conséquence directe du rapprochement : une réduction du personnel de 1750 personnes, dont 650 en Allemagne. Thierry Breton, le PDG d'Atos Origin, a annoncé cependant qu'une campagne de recrutement aurait lieu en 2011, pour embaucher 8 000 personnes au global.
Le chiffre d'affaires du résultat de la fusion est estimé à 8,7 milliards d'euros, contre 5,1 milliards d'euros enregistrés en 2009. Ce qui met la nouvelle entité au niveau d'un Capgemini, avec ses 8,4 milliards d'euros annuels de chiffre d'affaires.
L'accord final est attendu pour juillet prochain, une fois que les différentes autorités de régulation auront donné leur accord.