Pour sa part, Pandora (disponible via une application) ne s'estime pas concerné par cette enquête mais considère que d'autres éditeurs ont également été questionnés sur les modes de fonctionnement des deux OS mobiles.
Bien qu'on ne connaisse pas encore la nature réelle de cette enquête, certains semblent en défendre le bien-fondé. C'est notamment le cas aux Etats-Unis de l'ACLU (American Civil Liberties Union of Northern California) qui considère que : « la majorité des personnes qui téléchargent des applications n'ont même pas une petite idée du nombre d'informations auxquelles ces programmes peuvent accéder ».
Pour rappel, en février dernier, la FTC avait demandé aux éditeurs de navigateurs d'implémenter un réglage baptisé Do not track. Cette fonction devait permettre à un utilisateur, s'il le souhaite, de ne pas voir ses paramètres stockés au sein d'un cookie. Pandora a expliqué que si cette fonction devait être appliquée aux mobiles, elle les gênerait considérablement dans leur manière de collecter des données.