Sur ce thème, le ministère de la Culture estime qu'il « y a tous ceux qui s'arrangent. Ceux-là, il faut leur faire comprendre que véritablement ce temps-là est terminé, que la défense des auteurs, de la création est une priorité absolue. Il n'y a que comme ça que l'on pourra continuer à avoir une offre plurielle et riche. Plus personne ne nie maintenant les dangers du piratage, et plus personne ne pirate avec la conscience totalement tranquille. On s'aperçoit que manifestement après cette prise de conscience il y a eu une baisse du piratage ».
Si on peut comprendre le message contenu derrière ces positions, on peut également douter des « chiffres du piratage » évoqués. Il faudra donc attendre encore avant d'avancer quelconque bilan de la lutte contre le téléchargement illégal. A moins que la peur du gendarme ne soit tenace...