Le consortium Rockstar Bidco s'était porté acquéreur de cette masse de technologies concernant les connexions sans-fil, les réseaux optiques ou encore la communication vocale et les semi-conducteurs. Toutefois avant de valider ce mouvement estimé à 4,5 milliards de dollars, le ministère américain de la justice devait déterminer si ces achats pouvaient nuire à la concurrence.
En effet, après s'être déjà penché sur ces ventes, le DoJ avait été saisi par l'American Antitrust Institute. L'organisme estimait que le passage de ces technologies dans les mains de géants comme Apple, RIM ou encore Sony et Microsoft pouvait être de nature à entraver la concurrence dans leurs secteurs respectifs.
Cette fois, le consortium a les mains libres et une fois l'opération finalisée, chaque groupe pourra décider de l'opportunité de mettre ces brevets en application.