Le spectre couvert par ces documents est plutôt vaste puisqu'ils concernent la gestion des e-mails, la sauvegarde de serveurs, l'e-commerce, la publicité (notamment sur le Web mobile), la messagerie instantanée, la gestion des bases de données, les calendriers en ligne... Il est donc difficile d'estimer dans quelle mesure ces technologies seront implémentées dans de futurs services.
Pour rappel, en juillet dernier Google avait déjà racheté pas moins de 1 000 brevets à IBM. Une seconde salve avait suivi au mois de septembre avec la cession de 1 000 nouveaux brevets. Cette dernière vente de fin d'année par IBM sonne donc comme une finalisation des échanges entre les deux firmes.