L'idée n'est pas nouvelle mais elle est le symbole que chaque partie du secteur tient à mettre la pression sur l'autre pour payer la facture attribuée au téléchargement illégal. Mais cette fois, les ayants-droit sont plus précis et estiment que cette « compensation » serait fixée en fonction du volume de données illicites disponible sur leur réseau.
Pourtant, le débat est loin d'être résolu outre-manche. En avril dernier, le gouvernement d'alors souhaitait voter le Digital Economy Bill. Le texte devait toucher l'ensemble de la sphère numérique, de l'enregistrement des noms de domaine au téléchargement illégal en passant par la classification PEGI des jeux vidéo, tout devrait passer à la moulinette des élus britanniques.