Carpathia Hosting parviendra-t-il à se délester du contenu des 1 103 serveurs utilisés par feu Megupload ? La réponse pourrait être donnée dans les prochains jours, puisque les représentants du service et du gouvernement des Etats-Unis, principal attaquant dans cette affaire, se réuniront jeudi en virginie pour tenter de trouver un compromis. Les discussions seront chapotées par un magistrat et si aucun compromis satisfaisant n'est trouvé, se sera à la cour fédérale de trancher.
Pour le moment, la justice n'a pas approuvé la demande de déblocage de fonds - 1 million de dollars - demandée par Megaupload en vue de racheter les serveurs à son compte, mais elle n'a pas non plus validé la destruction des données hébergées par ces derniers. Carpathia Hosting, le prestataire initialement chargé de stocker les fichiers hébergés par Megaupload, a de son côté décrété qu'il ne supprimera pas les fichiers sans qu'une décision de justice valide la démarche. Néanmoins, l'entreprise perd énormément d'argent dans l'affaire, puisqu'elle estime les coûts d'entretien de l'infrastructure à 9000 dollars par jour.
L'Electronic Frontier Foundation (EFF) a de son côté déposé une requête auprès du tribunal fédéral, au nom des utilisateurs du service, qui s'en servaient pour partager des fichiers légaux. La fondation demande à la justice la mise en place d'un système permettant aux personnes lésées par la fermeture de Megaupload de récupérer leurs fichiers.
De nouveaux vices de procédure ?
En fin de semaine dernière, le juge en charge de l'affaire Megaupload a laissé entendre qu'un nouveau vice de procédure pourrait rendre toute la procédure non recevable : en effet, selon le juge O'Grady, le fondateur du site Kim Dotcom aurait dû être accusé d'infractions pénales avant d'être arrêté, ce qui n'a pas été fait : une situation qui pourrait invalider tout le dossier. Par ailleurs, le New Zealand Herald explique que les biens de Kim Dotcom auraient été saisis avant que les documents soient en règle pour valider cette démarche.
Reste que la conservation des données s'avère quant à elle tout de même en danger, et l'enjeu est d'autant plus grand que les poursuites à l'égard de Megaupload pourraient éventuellement être abandonnées alors que les données, elles, pourraient avoir été préalablement supprimées.
Petite faute d’orthographe verbale dans le titre
Hum exact, je ne l’avais pas choisi, je viens de modifier. Merci pour l’attention @Cirdan
Je ne comprends pas pourquoi chaque pays a besoin de sa propre application.
J’entends bien que l’interface doit être traduite, et que certains contenus doivent êtres localisés (adresses de centres de soins etc.) mais pour les fonctionnalités elles-mêmes, ça devrait être les mêmes non ?
(/!\ PARANO ALERT /!)
Ou alors c’est que les états y incorporent quelque chose de spécial, qui n’a rien de médical…
Croire que l’informatique va sauver le monde tient du fantasme, vouloir suivre des malades alors qu’un pays comme le notre, dans les 10 meilleurs mondiaux dans presque tout les domaines est totalement incapable de tester toute sa population, ils font comment les 100 derniers les plus pauvres?
Bon quitte à faire tomber le coq tricolore dans la fange de sa basse cour, dans la riche et considérable quantité d’études d’études sur les covid, on trouve le nom de savants de toutes les nations du monde sauf les notres: ils y étaient tous, nous n’y étions pas et nous partons avec 18 ans de retard.
Bien sur aucunes en Français, la preuve!
Le vaccin humain arrivera peut être à dérouter miraculeusement, les cellules T helper multifonctionnelles pour déclencher les cellules T mémoire, (je sais pas ce que ça veut dire, mais ça fait classe dans un forum.)
Tiens pourquoi aucun savant « clubic » ne nous explique pas le procédé ELISA, ça nous ferait avancer sur la connaissances des virus.
j’espère que la Belgique suivra, parce que connaissant mon pays, on aura une préversion bêta buguée quand tout sera fini depuis dix ans