L'ayants-droit a ainsi retrouvé la trace de cet acquéreur grâce à un code chiffré contenu sur chacune de ses œuvres. De plus, Flava avait précisé que toute copie de ses films est illégale, clause qu'avait signé l'internaute condamné. Pourtant, selon le producteur, ce partage a permis à l'œuvre d'être téléchargée « plusieurs centaines de fois » par la suite.
Pensant être de bonne foi, l'internaute s'est défendu seul au tribunal et a donc été condamné à une lourde amende (soit 150 000 dollars par film). De son côté, Flava n'en est pas à sa première attaque judiciaire. En août dernier, le cyberlocker FileSonic avait été attaqué par ce même producteur. Depuis cette initiative, le service ne répond plus visiblement victime de son programme de fidélisation récompensant les internautes ayant mis à disposition des fichiers très sollicités.