Megabox toujours plus près du lancement

Frédéric Cuvelier
Publié le 12 février 2013 à 09h31
0096000005294642-photo-kim-dotcom.jpg
Initialement prévu en 2012, le nouveau service du très médiatique Kim Schmitz « Dotcom », Megabox, semble toutefois bien avancer. Pour preuve, cette capture de l'écran d'accueil postée ce week end sur son compte Twitter.

Après la vidéo, la capture d'écran. Kim Dotcom aime le teasing, on commence à le savoir. A peine son Mega sur les rails, Dotcom ne relâche pas la pression et distribue, ça et là, quelques informations sur ce que sera son prochain service, Megabox.

A ce jour, nous savions que l'objectif du développeur allemand était d'ouvrir un site destiné à l'autoproduction d'artistes, qui seraient rémunérés à hauteur de 90% du prix de vente de leur musique sur Internet. Pour fonctionner, le site s'appuyerait sur la sa régie publicitaire, Megaclick. La promesse est intéressante pour les artistes, qui pourraient se passer des maisons de disques. En résumé, Megabox serait, selon son créateur, un mélange entre un site de musique en streaming (à l'image de Spotify) et une plateforme de financement d'artistes (comme MyMajorCompany).

Une révolution pour le marché musical dans le monde ? Certains y croient, à l'image de Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple, qui compare le service Megabox à « une locomotive à vapeur » que le le gouvernement américain n'arrêtera pas.

0190000005711802-photo-megabox.jpg

Annoncé désormais pour cet été, Megabox permettra, d'après la capture, de stocker de manière illimitée ses morceaux dans le cloud, de partager sur les réseaux sociaux ou encore de pouvoir écouter sa musique depuis n'importe quel appareils, mobiles ou non. Et pour entretenir la flamme, Dotcom a pris soin de dissimuler un « secret element » bien placé en milieu de page et dont on ne sait évidemment rien mais dont on peut être certain qu'il sera l'objet de prochaines annonces de la part du prolixe Dotcom.
Vous êtes un utilisateur de Google Actualités ou de WhatsApp ?
Suivez-nous pour ne rien rater de l'actu tech !
Avertissement :

Bien que le téléchargement (direct ou en P2P) ne soit pas illégal en soi, il est interdit de télécharger des œuvres protégées par le droit d'auteur ou d’autres droits de propriété intellectuelle sans l’autorisation des titulaires de ces droits. Clubic recommande expressément aux utilisateurs de son site et aux tiers de respecter scrupuleusement ces droits ; étant rappelé qu’en France la violation des droits d’auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d’une peine de 300 000 euros d’amende et de 3 ans d'emprisonnement (art. L. 335-2 s. CPI) et qu’il existe également des sanctions spécifiques en cas de contournement de mesures techniques de protection (art. L. 335-3-1 et L.335-3-2 CPI). En outre, le titulaire de l’abonnement à internet doit veiller à l’usage licite de sa connexion, sauf à s’exposer au risque de contravention de négligence caractérisée sanctionnée par une peine d’amende de 1 500 € pour les personnes physiques. En cas d’utilisation d’un logiciel P2P pour télécharger ou mettre à disposition des œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation, le titulaire de la connexion à internet pourra être destinataire de recommandations de l’Arcom et, en cas de constats répétés, être poursuivi sur le fondement de la contravention de négligence caractérisée. Plus d'informations sur le téléchargement illégal
Commentaires (0)
Rejoignez la communauté Clubic
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur expertise quotidiennement.
Abonnez-vous à notre newsletter !

Recevez un résumé quotidien de l'actu technologique.

Désinscrivez-vous via le lien de désinscription présent sur nos newsletters ou écrivez à : [email protected]. en savoir plus sur le traitement de données personnelles