Malgré son bannissement sur Blackberry, Kik reste confiant

Olivier Robillart
Publié le 25 novembre 2010 à 16h15
Le 15 novembre dernier, la firme RIM avait décidé de retirer de son magasin en ligne l'application de messagerie instantanée baptisée Kik. Développée par un ancien de la firme canadienne, l'application subissait la rançon de son succès. Pourtant, ses responsables restent confiants.

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Kik est une simple application de messagerie instantanée gratuite qui permet à des utilisateurs Android, BlackBerry et iPhone de dialoguer entre eux. Lancée le 19 octobre dernier, Kik a déjà été téléchargée pas moins de 2,5 millions de fois. De bons résultats malgré le bannissement.

Sur son blog, la société qui développe l'application explique donc qu'elle souhaite vivement que RIM modifie sa politique à son égard. En effet, Rim a désactivé la fonction push pour les utilisateurs de Kik sous Blackberry. Du coup, les messages envoyés parviennent aux destinataires avec une heure de retard, rendant l'application inutile.

Pour autant, le patron de Kik, Ted Livingston, confie qu'il reste « confiant sur la stratégie de RIM ». De même, il note que le choix de la firme n'a aucun rapport avec le fait qu'elle propose déjà des services très ou « trop similaires comme la messagerie instantanée BB. Nous serions très déçus de savoir que cette décision a été motivée par ce choix ».

Livingstone garde donc la tête haute même si RIM n'a communiqué aucune date pour le retour de l'application sur le BlackBerry AppWorld.
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