© Hisense
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Sans être révolutionnaire sur le papier, la série A7GQ a d’excellents arguments à un tarif plancher où peu de fabricants s’aventurent avec de telles fonctionnalités. Oui, l’A7GQ est un téléviseur QLED à rétroéclairage Full LED proposé au prix d’un téléviseur LED classique, le tout accompagné par une belle compatibilité HDR et par l’HDMI 2.1 recherché des joueurs. Et dans la réalité, ça donne quoi ?

Les plus
  • Vidaa OS est meilleur que l'an passé ...
  • Bonne expérience de jeu ...
  • Image convaincante en SDR
  • Du mieux sur l'upscaling
  • Rétroéclairage homogène
  • Image agréable pour le sport
Les moins
  • ... malgré l'absence d'un paquet d'applications
  • ... limitée à 60 Hz
  • Manque de détails dans les zones sombres
  • Gestion de mouvements en retrait
  • HDR sans grand intérêt
  • Angles de vision médiocres (dalle VA)

Petit à petit, l’oiseau fait son nid. Hisense a su bâtir une solide réputation au fil des années, celle d’un fabricant qui casse les prix et vient rebattre les cartes sur un marché dominé par des acteurs qui semblent indétrônables. Les lignes bougent cependant et Hisense s’appuie sur une année 2020 record en Europe pour continuer de renforcer son offre. La gamme A7GQ est taillée pour être parmi les plus populaires du fabricant. Comme indiqué en introduction, il s’agit de téléviseurs QLED particulièrement abordables, qui ne trouvent une réelle concurrence que du côté de chez TCL, l’autre acteur chinois qui a pris beaucoup d’envergure ces dernières années.

Il y a toutefois plusieurs choses à savoir avant de débuter ce test. Tous les téléviseurs de la gamme A7GQ ne sont pas logés à la même enseigne. Notre exemplaire de test est en effet équipé d’une dalle VA, c’est le cas pour les diagonales de 43" et 50", là où celles de 55" à 75" sont livrées avec une dalle IPS ; angles de vision, contraste et temps de réponse des pixels vont forcément différer entre ces dalles. Deux autres éléments sont à souligner histoire d’éviter la confusion. Tout d’abord, si un rétroéclairage Full LED, ou Direct LED, équipe bien ce téléviseur, il ne dispose pas de fonction de local dimming. Enfin, la présence de l’HDMI 2.1 ne signifie pas que l’A7GQ peut fonctionner à 120 Hz. Cette fonctionnalité est proposée sur une dalle qui ne dépasse pas les 60 Hz, nous y reviendrons dans la section dédiée.

Prix et disponibilité

Le téléviseur Hisense 50A7GQ a été lancé à 599 €, mais a déjà vu son prix descendre légèrement depuis sa sortie. Le modèle de 55 pouces a quant à lui été lancé à 699 € ; le plus onéreux n’est autre que le 75A7GQ qui s’affiche à 1 299 € avec sa large diagonale. Soulignons que Hisense a déjà formulé plusieurs ODR sur cette série.

Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde X-Rite i1 Display Pro Plus et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.

Fiche technique Hisense 50A7GQ

Résumé
Diagonale50 pouces
Résolution d'écran3840 x 2160 pixels - 4K UHD
Technologie d'écranLCD
Compatibilité HDRHLG, HDR10, HDR10+, Dolby Vision
Puissance des haut-parleurs (watts)20
Système d'exploitationVidaa
Affichage
Diagonale50 pouces
Résolution d'écran3840 x 2160 pixels - 4K UHD
Technologie d'écranLCD
Type de dalleTFT
Type de rétroéclairageDirect LED
Processeur vidéoQuad Core
Compatibilité HDRHLG, HDR10, HDR10+, Dolby Vision
Fréquence de rafraîchissement60Hz
Audio
Puissance des haut-parleurs (watts)20
Nombre de haut-parleurs2
Dolby AtmosOui
DTS:XNon
Connectique
Nombre de ports HDMI3
Standard HDMIHDMI 2.1
ARC / eARCeARC
ALLMOui
Synchronisation dynamiqueVRR
Autres entrées2x USB-A, 1x composite, 1x Ethernet, 1x CI+
Autres sorties1x optique (SPDIF), 1x HDMI ARC/ eARC, 1x casque
Connectivité
Système d'exploitationVidaa
BluetoothOui
Wi-FiOui
Assistant vocalAlexa, Vidaa Voice
ChromecastNon
Airplay 2Non
HomekitNon
Caracteristiques physiques
Hauteur (sans pied)647m
Largeur (sans pied)1,117m
Profondeur (sans pied)77m
Poids (sans pied)11.2kg
Compatibilité VESAOui
Images en sortie de carton avec le mode "Standard" © Matthieu Legouge pour Clubic

Design et connectique

Hisense poursuit ses efforts en matière de design et continue de proposer un téléviseur à l’esthétique et à la fabrication convaincante sur cette fourchette de prix. Certes, il ne s’agit pas du modèle le plus fin et élégant du marché ; son châssis est intégralement en plastique, tout comme son pied, tandis que l’on mesure 77 mm à son point le plus épais.

Les finitions à l’arrière font bel effet et rappelle le Sony X90J que nous avons testé récemment. Néanmoins, malgré son esthétique sobre et ses bonnes finitions, son design reste ancré dans ce milieu de gamme et ne se passe pas des compromis inévitables pour conserver le tarif au plus bas.

© Matthieu Legouge pour Clubic
© Matthieu Legouge pour Clubic

Le pied est contraignant et assez imposant dans la mesure où il n’offre que peu d’espace sur la largeur, ainsi qu’en hauteur entre le meuble et le téléviseur, si bien que toutes les barres de sons n’y trouveront pas leur place. Hisense a toutefois pensé à un passage de câble original avec ce pied ; deux caches en plastiques viennent se clipser sur les deux extrémités du support, ce qui permet de faire fuir les câbles à l’abri des regards.

La série A7GQ se distingue par la présence de trois connecteurs certifiés HDMI 2.1, dont un eARC. C’est assez rare pour être souligné sur cette fourchette de prix. On retrouve également deux ports USB, une sortie audio optique, une prise casque et une entrée composite, deux prises antennes, et enfin un connecteur RJ45. Toute la connectique est située sur la tranche droite et se connecte de manière parallèle aux téléviseurs, à l’exception des ports Ethernet et S/PDIF. Seul le câble d’alimentation arrive sur le côté gauche.

© Matthieu Legouge pour Clubic

Expérience connectée, interface et télécommande

En 2021, les téléviseurs Hisense arrivent avec Vidaa U 5.0, le système propriétaire de la marque qui est entré dans sa 5e déclinaison. On profite de quelques nouveautés par rapport à l’an passé et une interface légèrement remaniée, qui se rapproche quelque peu de ce que propose Android TV.

Le premier constat qui nous vient à l’esprit en parcourant cette nouvelle version de l’OS, c’est un confort un peu plus prononcé à l’usage. La fluidité est au rendez-vous, tandis que l’interface est agréable à utiliser chaque jour. On trouve rapidement ce que l’on cherche, tandis que les menus de paramétrages sont facilement accessibles, bien que l’on ne trouve pas de bouton dédié pour changer de mode d’image ou directement ajuster les paramètres d’image sur la télécommande.

© Matthieu Legouge pour Clubic

L’expérience connectée se veut simple et intuitive, grâce à Vidaa Voice, l’assistant vocal du fabricant, ainsi qu’une compatibilité avec Alexa et Google Assistant, via les enceintes connectées de ces deux géants du numérique. En revanche, on est loin de profiter d’autant de fonctionnalités que sur des téléviseurs plus onéreux. L’A7GQ n’offre pas de Chromecast intégré, ni de compatibilité AirPlay et HomeKit, par exemple.

Les services les plus populaires sont présents, on pense bien sûr à Netflix et Prime Video, Molotov, Deezer ou RMC Sport. Plus récemment, il y a eu l'ajout de MyCanal et Disney+. On espère que Vidaa continuera sur cette lancée avec l'ajout d'Apple TV+ et OCS.

© Matthieu Legouge pour Clubic

Pour terminer, la télécommande rompt clairement avec ce que l’on a vu ces derniers temps, il est vrai, sur des téléviseurs autrement plus coûteux. Pas de rétroéclairage en vue, et un design quelque peu daté, pour une télécommande somme toute fonctionnelle qui remplit parfaitement son rôle.

Qualité d'image

Hisense ne déploie pas un arsenal aussi important que d’autres marques avec sa puce Quad Core. Pas de double processeur, de traitement à l’intelligence artificielle, de capteur de luminosité ambiante ou autres « privilèges » ici, mais un processeur qui tient la route à ce tarif.

© Matthieu Legouge pour Clubic

Le fabricant semble avoir amélioré pas mal de points avec cette puce. Elle s’est notamment bonifiée au niveau de l’upscaling, avec des performances correctes lorsqu’il s’agit de mettre à l’échelle des contenus Full HD vers la 4K UHD. Le traitement est suffisamment doux pour être apprécié, même si l’on ne retrouve pas la « magie » et le niveau de détails offerts par certains processeurs ; le traitement reste perceptible sur l’A7GQ. Avec des sources de bonne qualité, cela ne posera pas de problème, mais ça se corse avec des sources plus délicates à traiter, en SD notamment.

À droite, une vidéo en Full HD mise à l’échelle en 4K, à gauche en 4K natif © Matthieu Legouge pour Clubic

On obtient des performances du même acabit avec le moteur de gestion de mouvements. Loin d’être aussi bon que ce que l’on a pu observer chez Panasonic, Sony et Philips, le traitement à l’œuvre respecte bien les contenus cinématographiques, mais non sans que l’on observe, ponctuellement, quelques saccades sur certains plans. Il faudra s’en contenter, car le paramètre « Ultra Smooth Motion » laisse à désirer lorsqu’il est activé et induit un effet Soap Opera que les amateurs de cinéma n’apprécieront guère. On peut néanmoins ajuster ce paramètre sur une échelle de 0 à 10, les traitements les plus légers réduiront certes les saccades, mais non sans induire des artefacts indésirables dans certaines scènes, notamment les plans les plus rapides. On le désactivera dans la majorité des cas, et notamment pour visionner du sport au risque, par exemple, d’observer des traînées sur le suivi du ballon lors d’un match de football. N’oublions pas que Hisense présente régulièrement ses téléviseurs lors des grandes compétitions du ballon rond, avec l’A7GQ, visionner du sport est très agréable notamment grâce à une bonne uniformité de la dalle et à l’absence de tout effet d’écran sale – Dirty Screen Effect.

© Matthieu Legouge pour Clubic

Enfin, précisons une nouvelle fois, pour ceux qui auraient passé l’intro, que notre exemplaire de test est équipé d’une dalle VA, et non d’une dalle IPS comme c’est le cas avec les diagonales supérieures de cette gamme A7GQ. Alors oui, on peut s’attendre à un contraste (largement) plus élevé, ce qui est une bonne chose, comme nous le verrons lors de nos mesures. Cette dalle est toutefois relativement mauvaise en ce qui concerne les angles de vue, ce qui est problématique si vous visionnez du contenu en étant excentré par rapport au téléviseur. La perte en couleur et dans les niveaux de gris est bien visible dès que nous nous déportons légèrement sur un côté. Malgré tout, puisque cette dalle équipe les modèles de 43 et 50 pouces, on imagine qu’elles ne sont pas vraiment adaptées aux plus grandes pièces dans lesquelles nous avons la possibilité de placer fauteuils et autres assises de manière excentrée.

À propos du filtre antireflet, celui-ci parvient à bloquer correctement les reflets indirects ; bien sûr les reflets directs (une fenêtre bien exposée) restent dérangeants, mais largement moins qu’avec un téléviseur OLED avec lequel il est généralement bien difficile de visionner un film en journée. L’efficacité du filtre antireflet est d’autant plus importante que l’A7GQ n’offre pas une luminosité très élevée, comme vous allez pouvoir le constater avec nos mesures.

Le manque de détails dans les scènes sombres est flagrant, ci-dessus avec Tenet, et ci-dessous dans Premier Contact © Matthieu Legouge pour Clubic

Nos mesures

Nous avons sélectionné le mode « ciné nuit » pour nos mesures. Il n’y a que peu de différence entre les modes « ciné jour » et « ciné nuit », si ce n’est que dans le second cas la luminosité de la dalle est quasiment divisée par deux. L’A7GQ n’est pas un téléviseur très lumineux, avec 239 cd/m² en mode « Standard », et un pic lumineux qui ne dépasse pas 226,1 cd/m² et 139,8 cd/m² dans ces deux modes dédiés au cinéma.

SDR

Les valeurs relevées en sortie de carton dans ce mode « ciné nuit » sont assez éloignées de nos références. Certes, le contraste est excellent avec un taux de 9037:1 qui dépasse, sans nul doute, ce qu’est capable de produire la dalle IPS qui équipe les diagonales supérieures. Malgré des noirs intenses, on perçoit un certain manque de détails dans les basses luminosités, et une image qui manque globalement de dynamisme. Un voile semble recouvrir l’image dans les scènes sombres et la dalle a quelque peu de mal à ajuster sa luminosité à certains moments. On observe notamment des baisses, ou des hausses, flagrantes de luminosité lors de changement de plans sur la totalité de la dalle.

La température de couleurs est bonne avec une moyenne de 6 438 K, mais sa courbe manque de stabilité. Le gamma ne parvient pas à suivre un seul instant la courbe de référence, certains gris sont surexposés, d’autres sous-exposés. Modifier le réglage de gamma par défaut n’a pas vraiment permis d’obtenir de meilleurs résultats.

Le Delta E moyen s’établit à 4,59, c’est relativement fidèle, mais des dérives chromatiques sont perceptibles, par exemple sur les couleurs de peau qui surpassent toutes le seuil de 3, au-delà duquel les dérives sont visibles par l’œil. Pour un mode censé respecter les exigences du 7e art, on repassera.

Forcément, l’absence d’un mode Filmmaker se fait ressentir, sur la question de la fidélité avec un étalonnage d’usine assez mauvais sur notre exemplaire de test, également car les modes « ciné jour » et « ciné nuit » ne désactivent pas l’ensemble des traitements vidéo mais en conservent certains comme la réduction de bruit numérique ajusté sur « faible ».

La couverture sRGB est bonne, cet espace colorimétrique est affiché à 98,1 %.

HDR

Nous avons vu que l’A7GQ offre une expérience « passable » en SDR, disons que sur cette fourchette de prix, nous n’attendions pas de miracles. En HDR, le rendu n’est pas étincelant et n’apporte que peu d’atouts supplémentaires.

Le pic lumineux ne dépasse pas 242,2 cd/m² en « HDR jour », soit à peu près la même chose que sur le mode « ciné jour » en SDR. L’absence de gradation locale n’aide pas, le manque de dynamisme est palpable et l’écrêtage se fait sans aucune progressivité. Cela résulte sur une image sans grande profondeur, seuls les contenus Dolby Vision semblent apporter un petit quelque chose avec ce téléviseur.

La colorimétrie est similaire à que nous avons relevé précédemment. En HDR, le Delta E moyen s’établit à 5,39, une nouvelle fois bien au-dessus de nos attentes.

Les espaces WCG sont correctement couverts, avec 92,62 % pour le DCI-P3 et 69,15 % pour le Rec.2020.

DCI-P3
Rec. 2020

Jeux vidéo

Trois ports estampillés « HDMI 2.1 » équipent ce téléviseur. Ils vont de pair avec le « mode jeu » qui permet de profiter de l’ALLM et du VRR, sur une plage de 48 à 60 Hz. La fréquence de rafraîchissement maximale de cette dalle est plafonnée à 60 Hz, là où la majorité des téléviseurs avec HDMI 2.1 affiche un taux de 120 Hz.

À l’aide de Nvidia Pendulum, nous avons pu constater que le VRR fonctionne correctement, quand bien même le téléviseur n’est pas reconnu comme étant compatible G-Sync. L’expérience de jeu est bonne, nous observons tout de même un flou de mouvement perceptible sur les titres les plus rapides, comme le tout récent Forza Horizon 5. Hisense propose un mode jeu qui fait descendre l’input lag à 14 ms, une excellente valeur pour profiter de nos jeux sans être en proie à la latence.

Consommation électrique

La consommation électrique du Hisense 50A7GQ est assez élevée, en fonction du mode d’image choisi. Avec le mode « ciné jour », nous calculons une consommation de 136 W/m², cette valeur descend à 97 W/m² dans le mode « ciné nuit ».

Hisense 50A7GQ : l'avis de Clubic

Conclusion
Note générale
6 / 10

Au quotidien, l’A7GQ se révèle être un assez bon compagnon pour regarder la télévision, des évènements sportifs, et ponctuellement pour s’adonner aux jeux vidéo. Pour les films, c’est autre chose. Ce téléviseur montre quelques lacunes pour rendre honneur et proposer une image cinéma digne de ce nom. Le manque de dynamisme et de détails, notamment dans les zones sombres, débouche sur une image sans réelle saveur, malgré le bon contraste de la dalle. Le rendu HDR est quant à lui futile, l’A7GQ ne dispose pas des capacités nécessaires en raison d’une luminosité bien trop faible et de l’absence de local dimming.

OK, et une fois replacé dans son contexte ? C’est-à-dire en prenant en compte qu’il s’agit d’un téléviseur QLED abordable qui, finalement, ne se destine pas aux passionnés et autres esthètes.

Il faut bien avouer que l’A7GQ propose une expérience solide compte tenu de son prix ; nous serions bien curieux de voir si les autres fabricants s’en sortent aussi bien sur cette fourchette de prix. Après tout, ce modèle se prête bien à un quotidien et familial avec une qualité d’image convenable lorsqu’il ne s’agit pas de visionner des films dans l’obscurité. Avec un système Vidaa amélioré, des traitements vidéo corrects pour un usage ordinaire, une fidélité imparfaite, mais suffisante dans ce cas de figure, ou encore une bonne expérience avec les jeux vidéo et le sport, difficile de demander la lune à un téléviseur qui a pour principale cible le rapport qualité/prix. Sur ce point, Hisense affine ses produits d’année en année, et ça se ressent avec l’A7GQ.

Les plus
  • Vidaa OS est meilleur que l'an passé ...
  • Bonne expérience de jeu ...
  • Image convaincante en SDR
  • Du mieux sur l'upscaling
  • Rétroéclairage homogène
  • Image agréable pour le sport
Les moins
  • ... malgré l'absence d'un paquet d'applications
  • ... limitée à 60 Hz
  • Manque de détails dans les zones sombres
  • Gestion de mouvements en retrait
  • HDR sans grand intérêt
  • Angles de vision médiocres (dalle VA)
Sous-notes
Qualité d'image
6
Jeux vidéo
7
Audio
6
Design et ergonomie
7
Système d'exploitation
7