
L’année dernière, le Samsung S95D s’imposait comme l’un des meilleurs téléviseurs OLED du marché, grâce à une image éclatante et un traitement anti-reflet innovant. Pour 2025, Samsung entend aller encore plus loin avec le S95F, un modèle qui promet une luminosité en hausse, un revêtement anti-reflet optimisé et une interface revue où l'intelligence artificielle occupe une place centrale. La marque sud-coréenne veut-elle simplement peaufiner une formule déjà gagnante ou redéfinir les standards de l’OLED ? Nous avons mis ce téléviseur à l’épreuve pour voir s’il mérite vraiment sa place au sommet.
- Luminosité en net progrès
- Contraste, noirs et colorimétrie
- Des traitements d'image qui gagne en finesse
- Revêtement Glare Free idéal pour un usage en journée
- Boitier One Connect et connectivité large
- Nouvelles fonctionnalités IA pratiques
- Toujours pas de Dolby Vision ni de DTS chez Samsung
- Toujours une légère altération en cas de reflets
- Risques de burn-in inhérents à l'OLED
- (Dalle W-OLED sur le modèle de 83 pouces)
Le Samsung S95F se positionne comme un modèle haut de gamme, selon nos informations, son prix de lancement sera compris entre 2 899 et 3 199 euros pour la version 55 pouces, et entre 3 699 et 3 999 euros pour la version 65 pouces. Nous ne connaissons pas encore les tarifs des modèles de 77 et 83 pouces. Le Samsung S95F devrait être disponible d'ici à la fin du mois d'avril, comme ce sera le cas du Samsung S90F.
En 2022, Samsung faisait une entrée fracassante sur le marché de l’OLED avec ses premiers téléviseurs QD-OLED, une technologie hybride alliant le contraste absolu de l’OLED classique et les couleurs éclatantes des Quantum Dots. Depuis, la marque n’a cessé d’affiner sa recette, et le Samsung S95D, lancé en 2024, s’était imposé comme une référence. Son traitement OLED Glare Free avait fait excellente impression, bien que nous eussions pointé du doigt son impact sur la profondeur des noirs et le contraste en environnement lumineux.
Avec le S95F, Samsung veut franchir un nouveau cap en gommant les faiblesses relevées sur son prédécesseur, mais aussi avec des fonctions toujours plus pertinentes pour l'utilisateur. Plus lumineux, plus intelligent, plus rapide, ce modèle promet une hausse significative de la luminosité. La marque met également en avant son nouveau revêtement anti-reflet OLED Glare Free 2.0 qui se veut plus efficace, tandis que le processeur NQ4 AI Gen 3 s'annonce six fois plus puissant que son prédécesseur. Pensé aussi pour les joueurs, le téléviseur grimpe à 165 Hz en 4K, un argument séduisant pour les joueurs PC.
Dans cette course à l’innovation, la concurrence se fait également plus rude. Cette année, Samsung devra faire face au LG OLED G5, au Panasonic Z95B, et à d'autres téléviseurs à venir chez des fabricants comme Philips et peut-être Sony dont les annonces sont prévues au début du mois prochain. En attendant, c'est le S95F qui retient notre attention, nous l'avons passé au crible pour vous donner notre avis.
Performances et qualité d'image : une avancée notable
Samsung S95F : nos mesures
Avec son S95F, Samsung introduit une quatrième génération de sa technologie QD-OLED, optimisée pour une meilleure luminosité et une gestion plus efficace de l’énergie. Contrairement à une simple évolution incrémentale, cette nouvelle génération repose sur une architecture repensée à cinq couches, intégrant trois couches bleues et deux vertes.
C'est ce changement structurel, que l'on retrouvera également dans les nouveaux moniteurs QD-OLED d'Asus et MSI, qui permet à Samsung de progresser par rapport au S95D. Les promesses du constructeur sont proches de la réalité, nous avons calculé un net progrès, avec un gain de luminosité de l'ordre de 26,6 %, par rapport au S95D, avec une mesure sur une fenêtre de 10 %.
En bref : nos mesures sur le Samsung S95F | |
Mode "Filmmaker" | |
Pic lumineux SDR (APL 10 %) | 1 073 cd/m² |
Pic lumineux HDR (APL 10 %) | 2 135 cd/m² |
Pic Lumineux HDR (APL 100 %) | 432 cd/m² |
Contraste natif | Infini |
Température de couleurs | 6 310 K |
Delta E moyen / max SDR | 1.61 / 3.22 |
Delta E moyen / max HDR | 1.63 / 3.55 |
Le tableau ci-dessus présente un résumé des résultats obtenus avec notre sonde Calibrite Display Plus HL sur ce Samsung S95F. Pour une analyse plus approfondie, incluant les courbes et graphiques associés à chaque mesure, nous vous invitons à explorer les deux encarts ci-dessous.
Cliquez ici pour voir nos mesures SDR
Dans son Filmmaker Mode, le Samsung S95F propose une image juste et se montre même plus précise que ce que nous avions mesuré l'an passé sur le S95D.
La température de couleurs est relativement proche de la cible et montre surtout une bonne stabilité, idem pour la courbe gamma dont les quelques décrochages restent légers. De son côté, l'échelle de gris est excellente et ne montre aucune dérive, nous garantissant des dégradés parfais.
La colorimétrie est presque parfaite dans ce Filmmaker Mode et, une nouvelle fois, bien meilleure que sur son prédécesseur. Le Delta E moyen s'établit à 1,61, bien en dessous du seuil où les dérives chromatiques deviennent visibles. Seul le rouge montre une très légère dérive avec un Delta E max de 3,22.
La suite de nos mesures en HDR
Le Samsung S95F supporte la plupart des signaux HDR (HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive, HDR HLG, HGiG). En revanche, comme d’habitude avec Samsung, le Dolby Vision n’est pas pris en charge, ce qui signifie que certains contenus HDR, notamment sur Netflix et Apple TV+, ne seront pas affichés avec la gestion dynamique des métadonnées propre à ce format.
Avec un signal HDR, le mode Filmmaker parvient une nouvelle fois à rendre une colorimétrie globalement juste. Le Delta E moyen est ici de 1,63, tandis que le Delta E max ne dépasse que de peu le seuil de référence avec une valeur de 3,55.
Le S95F profite d'une courbe EOTF qui suit presque à la perfection le signal de référence, nous mesurons un pic lumineux record pour une dalle OLED avec 2 135 cd/m² sur une fenêtre de pleine taille.
La gestion de la luminosité est malgré tout différente en fonction de la balise MaxCLL du signal HDR. Le S95F met donc en pratique plusieurs approches suivant le contenu. En maintenant une luminosité élevée sur les petites fenêtres HDR (jusqu’à 10 %), avant une baisse progressive contrôlée par l’ABL (Auto Brightness Limiter), ou avec un tone mapping plus agressif pour compenser l’écart entre les capacités du téléviseur et les exigences du contenu. Dans les deux cas, nous avons mesuré un pic lumineux supérieur à 2 300 cd/m² sur des fenêtres de 1 à 2 % et jusqu'à 432 cd/m² sur des fenêtres occupant toute la surface de l'écran.
Du côté de la couverture colorimétrique, peu d'évolution à noter par rapport au S95D de l'an passé. L'exigeant espace BT.2020 est couvert à 87,7 %, tandis que l'UHDA-P3, très proche du DCI-P3, est couvert à 99,98 %.
Pour en savoir plus sur la manière dont nous testons les téléviseurs chez Clubic, vous pouvez consulter notre protocole de test ci-dessous.
Nos impressions sur le rendu à l'image
Dès les premières images, le gain de luminosité du Samsung S95F saute aux yeux, aussi bien en HDR qu’en SDR. Les hautes lumières gagnent en intensité et en détail, sans donner l’impression d’une surexposition excessive.
En HDR, la meilleure gestion du tone mapping permet de préserver les dégradés lumineux et d’éviter l’écrêtage des zones très claires, même sur les contenus masterisés avec une haute luminosité. L’augmentation globale de la luminance rend l’image nettement plus lisible en pleine journée, un atout qui se conjugue avec le revêtement Glare Free dont nous parlerons ensuite.
L'expérience cinéma proposée sur le Samsung S95F, notamment via son mode Filmmaker, bénéficie largement des avancées de cette dalle de nouvelle génération. Outre la palette de couleurs, riche et équilibrée, les excellents angles de vision, le piqué de l'image et la foule de détails, le S95F brille surtout dans sa gestion des basses et hautes lumières avec un rendu qui se rapproche encore un peu de ce que les réalisateurs souhaitent nous montrer. Nous l'avons notamment remarqué en diffusant des films comme Dune : Deuxième Partie, un bon sujet qui mêle des scènes à la fois sombres et lumineuses, ou encore dans Premier Contact, où les détails dans les basses lumières apportent un supplément d'âme au film.
De son côté, l’amélioration de la puissance de traitement avec le NQ4 AI Gen 3 se traduit d'une part par une mise à l’échelle des contenus basse définition extrêmement convaincante, avec une gestion plus fine des contrastes et des textures qui gagnent en précision.
Sur les contenus 24p, souvent sujets aux saccades, Samsung semble avoir amélioré la gestion du motion processing. Le S95F propose plusieurs niveaux d’interpolation d’image, permettant d’atténuer le judder (saccades inhérentes aux films en 24 images par seconde) sans générer d’artefacts excessifs ni l’effet "caméscope" trop prononcé.
Nous n'avons, par exemple, pas rencontrés d'artefacts particuliers sur les scènes de 1917 sur lesquelles le S95D nous avait laissé sur notre faim l'an passé. L'idéal reste d'opter pour le mode Filmmaker, qui désactive les traitements superflus. Dans ce cas précis, la gestion du mouvement nous paraît naturelle. Dans les scènes aux travellings lents ou les scènes d’action, le S95F parvient à maintenir une fluidité convaincante pour une image cinéma qui donne aussi satisfaction sur ce point.
Enfin, le nouveau revêtement Glare Free apporte un réel progrès par rapport au S95D. Si la première génération de ce filtre réduisait efficacement les reflets, elle avait tendance à dégrader le contraste perçu en environnement lumineux en relevant légèrement les noirs. Sur le S95F, cette problématique est nettement atténuée : les noirs restent plus profonds en journée, et les reflets sont très largement dilués.
Comme vous pouvez le constater sur nos deux images capturées en diffusant Blade Runner 2049 lors d'une après-midi très ensoleillée, on remarque une réduction significative des reflets, mais certains effets secondaires demeurent. Un léger voile est ainsi perceptible sur certaines parties sombres et l’uniformité des noirs est légèrement altérée. Toutefois, l’image reste bien lisible et détaillée, y compris dans les zones sombres, ce qui fait du S95F une option plus adaptée aux pièces lumineuses qu’un OLED classique à dalle brillante. Si la suppression des reflets est plus efficace, elle s’accompagne toujours d’un compromis sur l’uniformité, typique des traitements matifiés.
Enfin, les optimisations de l'image par IA comme l'ajustement du gamma, associée au capteur de luminosité ambiante, débouchent sur une image tout à fait convaincante pour ceux qui souhaitent que le téléviseur s'adapte à leur environnement sans avoir à mettre le nez dans les réglages. Un nouveau menu est d'ailleurs de la partie avec le Mode AI, nous y reviendrons dans un prochain article.
Expérience au quotidien
Audio : un son ample et détaillé, mais qui mérite d’être renforcé
Le Samsung S95F n'a pas trop à rougir face à ses concurrents, grâce à son système audio 4.2.2 canaux d'une puissance de 70 W et ses haut-parleurs latéraux et verticaux. Il offre une scène sonore suffisamment large et bien définie et nous profitons de dialogues clairs et d'une spatialisation qui est assez convaincante pour un téléviseur. Samsung mise d'ailleurs sur sa technologie Object Tracking Sound pour renforcer la sensation d’immersion.
On obtient au final un rendu précis, notamment dans les médiums et les aigus, mais il est clair que le son manque d’assise dans les basses, un point commun aux téléviseurs OLED, finesse oblige…. L'ajout d'une barre de son ou d'un système home cinéma avec un caisson de basses est tout indiqué avec un téléviseur comme celui-ci, d'autant qu'il supporte le Dolby Atmos et permet une connexion sans fil avec une barre de son Samsung.
Par ailleurs, comme c'est le cas chez d'autres marques, l'écosystème Samsung renforce l'expérience audio grâce à Q-Symphony 3.0, qui permet de synchroniser les haut-parleurs du téléviseur avec une barre de son Samsung. Terminons en précisant que, comme sur les modèles précédents, Samsung ne propose pas le DTS sur ses téléviseurs.
Interface et fonctionnalités : un Tizen repensé
Le Samsung S95F adopte la nouvelle version de Tizen OS, qui se veut plus intuitive et mieux intégrée à l’écosystème de la marque. L’interface a notamment été repensée avec un menu de paramètres plus compact, qui occupe désormais une petite portion de l’écran, permettant de modifier les réglages sans masquer totalement l’image en cours.
L’esthétique générale s’inspire du design One UI, que l’on retrouve sur les smartphones et autres produits Samsung, l'objectif étant ici d'offrir une expérience plus unifiée et familière pour les utilisateurs habitués aux produits de la marque. En contrepartie, notez que la connexion avec un compte Samsung reste obligatoire
Tizen a surtout été repensé grâce à de nouvelles fonctionnalités, regroupées dans ce que Samsung nomme Vision AI. L’IA est principalement là pour faciliter l’ergonomie, avec des recommandations et des ajustements qui s’adaptent aux habitudes de l’utilisateur.
Parmi les nouvelles options, la fonction "Click to Search" permet d’identifier des acteurs et des contenus à l’écran via IMDB. De son côté, la fonction "Live Translate" permet d'afficher des sous-titres en temps réel grâce à l'IA. Six langues sont pour le moment au menu, dont le français, mais cette fonction devrait s'étoffer avec le temps. Notez que ces fonctions d'IA sont disponibles via des flux broadcast (TNT, câble et satellite), Live Translate fonctionne par ailleurs entièrement en local, sans nécessité d’une connexion Internet permanente. Cette approche garantit une réactivité immédiate et une continuité de cette fonctionnalité, même hors ligne.
Samsung a également amélioré son assistant vocal, Bixby 3.0, désormais épaulé par ChatGPT, le rendant plus naturel, plus contextuel et capable de mémoriser vos interactions pour une expérience plus fluide et intuitive.
Enfin, bonne nouvelle de côté de l'offre de contenus. Les utilisateurs seront sans doute ravis d'apprendre que l'application Canal+ va faire son grand retour sur les téléviseurs Samsung, dès la sortie du nouveau catalogue TV de Samsung, prévu pour fin avril.
Gaming
Côté gaming, Samsung continue naturellement de miser sur son Gaming Hub avec des services de cloud gaming comme Xbox Cloud Gaming, GeForce Now et Boosteroid. Pour le reste, on retrouve la Game Bar, fidèle à elle-même, et des fonctions gaming qui font de ce téléviseur un excellent modèle pour jouer sur consoles et sur PC.
L'input lag sur le Samsung S95F | ||
Mode Jeu | Mode Standard | |
Input lag mesuré (à 60 Hz) | 9.4 ms | 83 ms |
On profite ainsi d'un taux de rafraichissement de 165 Hz, d'une prise en charge VRR avec FreeSync Premium Pro qui est également reconnu G-Sync Compatible par les cartes graphiques NVIDIA, et un mode jeu avec un input lag très faible, que nous avons mesuré à 9,4 ms.
Consommation électrique
Notre exemplaire du Samsung S95F affiche une consommation relative maitrisée, avec une valeur d’environ 87 W/m², un résultat plutôt contenu pour un téléviseur OLED. Grâce aux optimisations de sa dalle QD-OLED et à une meilleure gestion de l’énergie, ce modèle parvient à maitriser sa consommation d'énergie, un point intéressant pour ceux qui recherchent un dont l'impact énergétique n'est pas excessif.
Design et connectiques
Comme sur la génération précédente, le Samsung S95F s’appuie sur le boîtier déporté One Connect, qui regroupe toute l’électronique et les connectiques du téléviseur. Relié à l’écran par un unique câble, ce boîtier permet de conserver un design parfaitement plat et épuré, facilitant ainsi l’installation, notamment en fixation murale. Deux câbles de longueur différente sont fournis suivant si vous préférez fixer le boitier au pied du téléviseur, ou en lé déportant plus loin.
Côté connectique, on retrouve quatre ports HDMI 2.1, prenant en charge la 4K jusqu’à 165 Hz, avec compatibilité VRR (Variable Refresh Rate), ALLM (Auto Low Latency Mode) et eARC sur le port HDMI 2 pour un retour audio vers une barre de son. Le téléviseur dispose également d’une prise antenne, une entrée satellite, deux ports USB, un port Ethernet et une sortie audio optique, mais pas de prise casque.
Enfin, le Samsung S95F gagne en connectivité sans fil, avec le Wi-Fi 7, garantissant des débits plus élevés avec les box compatibles et le Bluetooth 5.3. La compatibilité avec les technologies de partage d’écran permet d’envoyer facilement du contenu audio et vidéo depuis un appareil mobile. Cette configuration assure une connectivité complète et optimisée pour les usages modernes, que ce soit en multimédia, en gaming ou en streaming.
Test Samsung S95F : l'avis de Clubic
Avec le Samsung S95F, la marque sud-coréenne affine encore un peu plus sa technologie QD-OLED, en améliorant les points qui faisaient débat sur son prédécesseur. La hausse de la luminosité est indéniable, avec un pic record qui repousse encore les limites de l’OLED, sans sacrifier la richesse des couleurs ni le contraste parfait qui fait la force de cette technologie. À cela s’ajoute un traitement d’image plus fin, une interface Tizen qui gagne en fonctionnalités, et un revêtement Glare Free 2.0 qui améliore encore la lisibilité en pleine journée.
Cependant, si le Samsung S95F progresse sur plusieurs aspects, il ne gomme pas toutes ses faiblesses. L’absence de Dolby Vision et DTS, une constante chez Samsung, reste regrettable face à la concurrence. De plus, l’uniformité des noirs est encore légèrement impactée par le revêtement anti-reflet, même si cette génération s’en sort mieux que la précédente. Enfin, son positionnement tarifaire ne bouge pas, ou peu, et est équivalent à son prédécesseur et à son principal concurrent, le LG OLED G5. Nous vous invitons également à ne pas prendre ce test pour argent comptant concernant le modèle de 83 pouces. En effet, celui-ci n'est pas équipé de la même dalle ; notre test est en revanche valable pour les modèles de 55, 65 et 77 pouces.
En somme, le Samsung S95F reprend le flambeau de son prédécesseur en s'affichant comme le meilleur téléviseur OLED produit par Samsung à ce jour. Il séduira en particulier ceux qui recherchent une image éclatante et une expérience polyvalente et complète, aussi bien pour le cinéma que pour le gaming.
- Luminosité en net progrès
- Contraste, noirs et colorimétrie
- Des traitements d'image qui gagne en finesse
- Revêtement Glare Free idéal pour un usage en journée
- Boitier One Connect et connectivité large
- Nouvelles fonctionnalités IA pratiques
- Toujours pas de Dolby Vision ni de DTS chez Samsung
- Toujours une légère altération en cas de reflets
- Risques de burn-in inhérents à l'OLED
- (Dalle W-OLED sur le modèle de 83 pouces)
Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde Calibrite Display Plus HL et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.
Fiche technique Samsung S95F
Diagonale | 65 pouces |
Résolution d'écran | 3840 x 2160 pixels - 4K UHD |
Technologie d'écran | QD-OLED |
Compatibilité HDR | HLG, HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive, HGiG |
Fréquence de rafraîchissement | 165 Hz |
Puissance des haut-parleurs (watts) | 70 |
Système d'exploitation | Tizen |
Diagonale | 65 pouces |
Résolution d'écran | 3840 x 2160 pixels - 4K UHD |
Technologie d'écran | QD-OLED |
Processeur vidéo | NQ4 AI Gen 3 |
Compatibilité HDR | HLG, HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive, HGiG |
Fréquence de rafraîchissement | 165 Hz |
Autres | Mode Filmmaker |
Puissance des haut-parleurs (watts) | 70 |
Nombre de haut-parleurs | 8 |
Dolby Atmos | Oui |
DTS:X | Non |
Synchronisation audio | Q-Symphony |
Nombre de ports HDMI | 4 |
Standard HDMI | HDMI 2.1 |
ARC / eARC | ARC, eARC |
ALLM | Oui |
Synchronisation dynamique | VRR, FreeSync Premium Pro |
Autres entrées | 2 x USB 2.0 (Type A), 1x Ethernet, 1x CI+, 1x composite, 1x Antenne TV |
Autres sorties | 1x optique (SPDIF), 1x HDMI ARC/ eARC |
Autres fonctions | CEC |
Système d'exploitation | Tizen |
Bluetooth | Oui |
Norme Bluetooth | 5.3 |
Wi-Fi | Oui |
Norme Wi-Fi | 7 (BE) |
Assistant vocal | Google Assistant, Alexa, Bixby |
Airplay 2 | Oui |
Interopérabilité | SmartThings |
Pied amovible | Oui |
Compatibilité VESA | Oui |