Contrairement au premier accord qui avait finalement capoté, c'est cette fois le studio qui se chargera de la monétisation de ses contenus et qui versera une partie de ses revenus à YouTube, comme le font les autres partenaires. C'est en revanche le propre lecteur vidéo de Time Warner qui serait cette fois utilisé, une première pour le service en ligne de Google. Les premières vidéos sont attendues avant la fin de l'année mais ne devraient être accessibles que depuis une connexion américaine.
Time Warner rejoint ainsi Sony Pictures, Disney, MGM ou encore la major Universal Music au rang des partenaires qui proposent des extraits de leurs contenus. Toujours déficitaire depuis son rachat par Google en 2006, YouTube reste confronté à la féroce concurrence d'Hulu, qui diffuse quant à lui des programmes dans leur intégralité.