Parmi les investisseurs du réseau social X.com, outre Elon Musk, on retrouve également de puissants (et parfois décriés) investisseurs américains, un prince saoudien, Jack Dorsey et même Sean « Puff Daddy » Combs.
C'était il y a bientôt deux ans, Elon Musk rachetait Twitter pour « le futur de la civilisation » contre la coquette somme de 44 milliards de dollars, débarquant dans la foulée son patron, Parag Agrawal, ainsi que diverses autres têtes pensantes du groupe. Rapidement, le réseau social se transforme, pour le meilleur et (surtout) pour le pire.
Du « beau » monde aux commandes du réseau X.com
Aujourd'hui, par le biais d'un juge fédéral de Californie, la plateforme X.com a été contrainte de révéler l'identité de ses investisseurs, ce dans le cadre d'un procès intenté par d'anciens employés, qui réclament le paiement de divers frais à la suite de l'achat par Elon Musk de celui que l'on appelait jadis Twitter.
Et parmi la centaine de propriétaires du réseau X.com figurent des noms très familiers, tant dans le monde de l'investissement et de la finance, que dans l'univers musical.
Des stars de l'investissement, un prince saoudien et… Puff Daddy
Parmi ceux-ci, on retrouve notamment Bill Ackman, 57 ans, milliardaire fondateur du fonds Pershing Capital, qui a notamment fait tomber la tête de la présidente de Harvard, Claudine Gay. À cela s'ajoute Larry Ellison, un autre homme d'affaires américain, principal cofondateur de la société Oracle Corporation.
La liste fournie par X.com permet également de mettre en lumière un autre investisseur, à savoir le rappeur américain Puff Daddy, par le biais de sa société Sean Combs Capital. Le prince (et homme d'affaires) saoudien Al-Waleed bin Talal bin Abdelaziz Al Saud fait également partie de la liste des investisseurs, ce dernier détenant également des parts au sein de Lyft.
Le fondateur de Twitter, Jack Dorsey, est lui aussi présent sur la précieuse liste, au travers de Jack Dorsey Remainder LLC. De plus, tout récemment, Elon Musk et Donald Trump ont clairement affiché leur rapprochement, à tel point que le patron de X.com pourrait faire partie du gouvernement Trump en cas de victoire de ce dernier.
Toutefois, malgré toutes les gesticulations d'Elon Musk, les finances du réseau social X.com seraient en chute libre. Une chute libre pour le moins vertigineuse, puisque celle-ci afficherait une baisse de l'ordre de 80 %, la faute à des revenus publicitaires qui se sont rapidement effondrés à la suite (entre autres) des prises de position de son dirigeant.
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Source : Fortune