Pourtant, une enquête avait bien été engagée à l'encontre des pratiques de Google et de ses voitures chargées du programme Street View. Début mai, le journal The Telegraph indiquait que Google avait déjà répertorié la quasi-totalité des réseaux Wi-Fi dans un but commercial... La justice devait donc trancher. En principe.
Selon le ministre britannique de la Communication, l'amende infligée à la firme ne pourra être supérieure à 500 000 livres sterling (plus de 570 000 euros). Motif invoqué : les faits reprochés sont antérieurs à la législation qui donne le pouvoir d'infliger cette sanction financière.
Seule véritable obligation. A l'avenir, Google devra adopter un code de bonne conduite s'il désire à nouveau collecter des informations publiques...