© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
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Souvent attaqué sur le prix (parfois insolent) de ses PC portables gamer, Alienware annonçait en début d’année un tout nouveau modèle m16 redoutablement bien équipé, mais disposant, pourtant, d’un placement tarifaire raisonnable. Nous l’avons testé et il nous a séduits.

8 /10
Alienware m16

Meilleurs prix

Les plus
  • Construction sérieuse du châssis, belles finitions
  • Bon clavier, connectique suffisamment fournie
  • Le système de refroidissement efficace
  • De solides performances, y compris en QHD+
  • Placement tarifaire "raisonnable" pour un Alienware
Les moins
  • Coloris gris-noir tristounet
  • Un écran peu lumineux
  • Autonomie médiocre (2 à 3 heures maximum)

Si la tendance est depuis de longs mois aux tarifs prohibitifs sur le marché des PC portables gaming, quelques modèles tirent leur épingle du jeu en marge de machines toujours plus inaccessibles. Après les très bons Medion Erazer Major X20 et Asus ROG Strix G16, que nous testions récemment, Alienware nous a proposé d’essayer l’une de ses dernières fiertés : l’Alienware m16. Derrière ce nom pétaradant, un modèle affriolant, équipé des derniers composants d’Intel, AMD et Nvidia (au choix), capable de s’aventurer sur le marché à un prix de départ de 2 100 €. De quoi surprendre chez Alienware, plutôt habitué aux envolées tarifaires pas toujours très contrôlées.

Nous allons voir ce que vaut précisément ce nouvel Alienware m16, mais avant toute chose, voici la fiche technique complète du modèle que la filiale de Dell nous a fait parvenir en prêt :

Fiche technique Alienware m16

Résumé
ProcesseurAMD Ryzen 9 7845HX
Taille de la mémoire32Go
Carte graphiqueNvidia GeForce RTX 3040
Mémoire vidéo8Go
Taille de l'écran16 pouces
Taux de rafraîchissement240Hz
OS
Système d'exploitationWindows 11
Processeur
ProcesseurAMD Ryzen 9 7845HX
Type de processeur12 coeurs / 24 threads
Fréquence du processeur5.2GHz
Finesse de gravure6nm
Mémoire vive
Taille de la mémoire32Go
Type de mémoireDDR5
Fréquence(s) Mémoire4,800MHz
Nombre de barrettes2
Graphismes
Carte graphiqueNvidia GeForce RTX 3040
Max-QOui
Mémoire vidéo8Go
VR Ready (réalité virtuelle)Oui
Type mémoire vidéoGDDR6
Écran
Taille de l'écran16 pouces
Taux de rafraîchissement240Hz
Type de dalleDalle IPS
Type d'écranLED
Résolution d'écranQHD+
Format de l'écran16/10
Dalle mate / antirefletOui
NVIDIA G-SYNCOui
Écran tactileNon
Stockage
Configuration disque(s)SSD
Disque principal1 To
Lecteur optiqueAucun
Emplacement mSATA/M.2M.2 (libre), M.2 (occupé)
Connectique
Connectiques disponiblesEthernet - RJ45 Femelle, USB 3.2, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, DisplayPort, HDMI 2.1, USB 3.2 Type C
Réseau sans-fil
Wi-FiOui
Version Wi-Fi6
BluetoothOui
Version Bluetooth5.2
Équipement
WebcamOui
Haut-parleursIntégrés
ClavierAzerty
Clavier rétroéclairéOui - RGB
Pavé numériqueNon
Lecteur d'empreinte digitaleNon
Caractéristiques physiques
Épaisseur2.3cm
Longueur36.89cm
Largeur28.99cm
Poids3.3kg

Dans cette version QHD+ 100 % DCI-P3 / Ryzen 9 / 32 Go / RTX 4070, l’Alienware m16 est affiché à 2 589 € sur le site officiel de Dell. Comme évoqué plus haut, la configuration AMD la plus accessible débute néanmoins à 2 100 € « seulement », avec cette fois un écran QHD+ 100 % sRGB, un Ryzen 7, 16 Go de RAM et une RTX 4060. Des configurations Intel « Raptor Lake » (13ᵉ génération) sont aussi proposées, avec un prix de départ montant par contre à 2 349 €, et ce pour une configuration un peu moins avantageuse qui nous limite notamment à 512 Go en SSD. D’entrée de jeu, nous pouvons donc dire que les variantes AMD sont les plus attractives sur le papier. Voyons maintenant à quel point.

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Design : le sérieux à la sauce Alienware…

Quelle que soit la configuration choisie, l’Alienware m16 est proposé avec un châssis commun et un coloris unique baptisé « Dark Metallic Moon ». Ce design n’est pas très original, il se contente de draper l’appareil d’aluminium gris foncé sur l’extérieur, et d’y installer du plastique noir à l’intérieur. Les reposes-poignet et les abords du clavier héritent quant à eux d’un revêtement soyeux, peu sensible aux traces de doigts, qui rappelle un peu ce que l’on trouve sur la gamme XPS… la fibre de carbone tressée en moins.

Extrêmement sobre, le m16 reprend pour le reste des lignes auxquelles nous sommes désormais plus qu’habitués chez Alienware. De prime abord, il est même difficile de faire la différence entre le modèle qui nous intéresse aujourd’hui et son aïeul, l’Alienware m15 R5, que nous testions il y a presque deux ans. Cette relative stagnation n’est toutefois pas gênante dans l’immédiat. Non seulement les modèles d’Alienware restent élégants, mais ils ont su s’adapter aux attentes des utilisateurs en 2023.

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Par rapport au m15 d’il y a deux ans, notre m16 passe par exemple au format 16 pouces et au ratio 16:10 pour permettre une plus grande surface d’affichage dans un châssis qui, lui, reste relativement compact : 368,90 x 289,90 x 23 mm. Attention par contre au poids de l’ensemble. Ici Alienware se laisse un peu trop aller d’après nous. Avec 3,30 kg sur la balance, le m16 est lourd, plus lourd que son prédécesseur et plus lourd que certains de ses concurrents de même format. Cet embonpoint fait de lui, en dépit d’un format relativement « compact » (notez bien les guillemets, on reste sur un laptop gaming), un produit que l’on peine souvent à transporter.

Cela étant, les finitions sont de leur côté irréprochables, comme toujours avec Alienware, et la marque a choisi de déporter l’essentiel des connectiques de son m16 sur la tranche arrière. Seuls un connecteur Ethernet, une prise casque et un port USB-A restent accessibles sur le flanc gauche, en dépannage.

Dans l’ensemble on profite d’ailleurs d’une sélection de ports assez généreuse, avec un port USB 3.2 Gen 1 (avec PowerShare), un port USB 3.2 Gen 1, deux ports USB-C 3.2 Gen 2 (avec affichage en DisplayPort), une prise Ethernet RJ45, une prise jack 3,5 mm, une sortie HDMI 2.1, une sortie Mini DisplayPort, un lecteur de cartes SD et une prise d’alimentation. Un sans-faute, ou presque : nous aurions quand même aimé trouver un port USB-A supplémentaire pour gagner encore en confort.

Pour trancher avec la monotonie de sa coque toute noire, l’Alienware m16 peut quoi qu’il en soit compter avec des effets RGB configurables. Un liseré rétroéclairé souligne notamment l’arrière du châssis, complété par des logos RGB (bouton de mise sous tension et capot) et un clavier RGB configurable touche par touche depuis l’utilitaire Alienware Command Center.

Quant au clavier, justement, il s’avère très au point, avec une belle profondeur de course et des touches bien espacées les unes des autres. La frappe n’est pas particulièrement silencieuse, mais elle est très précise, aussi bien en utilisation courante qu’en jeu. Nous n’avons donc rien de particulier à reprocher à ce clavier… même si l’on regrette qu’Alienware ne propose toujours pas, en option, de clavier mécanique AZERTY. La seule version disponible à l’achat est, en effet, limitée au format QWERTY, peu pratique en France.

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Une large grille d’aération étant installée au-dessus du clavier, ce dernier est par contre positionné assez bas sur le châssis, ce qui laisse peu d’espace pour le trackpad. Ce pavé tactile est par conséquent trop petit pour être réellement agréable, mais il s’avère toutefois précis et dépanne assez bien la plupart du temps.

Notons enfin la présence, sur notre modèle de prêt, d’une webcam 1080p offrant une qualité d’image honnête, doublée des capteurs nécessaires à la reconnaissance faciale. Une double bonne nouvelle, d’autant que certains PC portables gaming concurrents font toujours l’impasse sur tout système d’identification biométrique. C’est notamment le cas sur l’ensemble des ASUS ROG Strix, pour ne citer qu’eux, en cette année 2023.

Avant de passer à la suite, un mot sur l’accès aux composants. La chose se fait assez facilement sur l’Alienware m16. Il suffit de retirer une petite dizaine de vis cruciformes à l’aide d’un tournevis de précision pour être en mesure d’enlever la plaque inférieure du châssis. On découvre alors un total de quatre ventilateurs (étrangement disposés), mais aussi une batterie plutôt facile d’accès, deux barrettes de mémoire vive au format SO-DIMM, un SSD M.2 2280 installé et un emplacement pour SSD M.2 2230 laissé vacant sur certaines configurations, dont la nôtre.

© Mash IT

Écran : une bonne dalle IPS, prête à l’action ?

L’Alienware m16 que Dell nous a fait parvenir en prêt était équipé d’une dalle IPS QHD+ (2560 par 1600 pixels) de 16 pouces, capable de monter à 240 Hz, pour 3 ms de temps de réponse, tout en offrant une couverture à 100 % du spectre DCI-P3. Sur le papier, il s’agit d’une dalle LCD plutôt haut de gamme, et effectivement, elle fait bonne impression au déballage… et donc à l’œil nu, même si la luminosité paraît d’entrée de jeu un peu trop juste dans certaines conditions. Voyons ce qu’il en est avec nos outils de mesure et le logiciel Calman Ultimate.

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Notre impression se confirme avec une luminance maximale typique de 276,7 cd/m² et un pic de luminosité mesuré à 316,4 cd/m². L’écran de notre m16 manque donc bien de luminosité, et même si son revêtement mat permet d’éviter les reflets les plus gênants, il vaudra mieux éviter de l’utiliser en extérieur. Cette luminosité passable est compensée par un contraste à peu près honnête, estimé à 1140:1 par nos outils. Nous avons déjà vu mieux sur la technologie IPS, mais aussi bien pire. Avec cette valeur, la dalle de notre m16 se classe mollement dans la moyenne des PC portables gamer équivalents.

La fidélité des couleurs est par contre idéale, avec un DeltaE de 2,2. Idéalement, cette valeur est censée être égale ou inférieure à 3. Nous y sommes. La température des couleurs est également plutôt au niveau, avec 6 348 kelvins au compteur. Nous sommes néanmoins en dessous des 6 500 kelvins du standard vidéo, ce qui traduit des couleurs un peu trop chaudes par défaut. Rien de trop méchant pour autant.

La couverture des principaux espaces colorimétrique est enfin de bon niveau, avec un espace sRGB supporté à 99,9 % et une prise en charge à 97,5 % du spectre DCI-P3. En résumé, on profite donc d’une dalle IPS réactive et bien calibrée, qui souffre en revanche d’un contraste correct sans plus, et d’une luminosité trop faible. Un défaut que l’on peut malheureusement imputer à de nombreux appareils concurrents sur cette gamme de prix.

Performances : les derniers blockbusters en QHD+ et sans trembler ?

Avec son processeur AMD Ryzen 9 7845HX (12 cœurs et 24 threads cadencés entre 3,00 et 5,2 GHz, 64 Mo de cache L3 et 55 W de TDP), ses 32 Go de DDR5 et sa RTX 4070 configurée pour atteindre les 140 W de TGP, l’Alienware m16 dispose d’une configuration milieu de gamme solide. Suffisamment en tout cas pour jouer en Full HD+, ou en QHD+, définition native de notre modèle de prêt.

En jeu, nous obtenons ainsi des performances satisfaisantes. Cyberpunk 2077 et Dying Light 2 sont animés de manière fluide, en QHD+ sur le m16, avec l’ensemble de leurs réglages graphiques poussés en ultra (Ray Tracing compris). Sur le titre de CD Projekt, nous avons notamment mesuré une moyenne de 50 FPS dans ces conditions, sans DLSS 3.0. Une fois ce dernier activé, la moyenne montait cette fois à un peu plus de 70 FPS sans toucher aux autres paramètres. Sur Dying Light 2, le bilan est même meilleur encore, avec une moyenne supérieure à 70 FPS, toujours en QHD+ / Ultra et sans DLSS 3.0, tandis que l'on monte entre 90 et 100 FPS une fois la technologie de génération d’images signée Nvidia activée.

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En benchmark aussi, l’Alienware m16 profite d’un bilan honorable. Sur Cinebench R23, son Ryzen 9 7845HX obtient par exemple 1 861 points en calcul single-core contre 25 271 points en multi-core. Un excellent résultat qu’il convient toutefois de mettre en perspective : son grand frère le Ryzen 9 7945HX obtenait pour sa part un score de 33 977 points en multi-core, contre 1 908 points en single-core sur l’ASUS ROG Strix Scar 17. L’écart entre les deux puces s’explique, entre autres, par la différence de cœurs d’une référence à l’autre. Malgré une appellation « Ryzen 9 » commune, les deux CPUs d’AMD ne jouent pas tout à fait à armes égales, le premier se « limitant » en effet à 12 cœurs et 24 threads ; contre 16 cœurs et 32 threads pour le second.

Côté Intel, le Core i9-13900HX (24 cœurs et 32 threads) installé à bord du Medion Erazer Major X20 récoltait de son côté quelque 25 808 points en calcul multi-core et 2 061 points en single-core. Notre Ryzen 9 7845HX reste donc un cran derrière pour se placer, tout du moins en single-core, au niveau d’un Core i7-13700H.

Sur le plan GPU cette fois, la RTX 4070 140 W de notre m16 récolte pour sa part 5 538 points en indice graphique et 5 838 points en score global sur 3D Mark Time Spy. Nous sommes ici sur des résultats honnêtes, mais légèrement décevant. Avec une enveloppe thermique de 140 W, la RTX 4070 peut faire encore mieux. Preuve en est avec celle installée à bord du Medion Erazer Major X20, qui parvenait à glaner un indice graphique de 5 902 points, et 6 260 points globaux, sur le même outil, avec la même enveloppe thermique allouée.

Alors pourquoi cet écart ? Probablement parce que l’Alienware m16 est sensiblement plus fin que son concurrent allemand (2,3 cm ici contre 3,3 cm sur le Medion). Le système de refroidissement de notre m16 est donc fatalement plus compact… et donc un peu moins efficace pour dissiper la chaleur. Cela dit, compte tenu de la finesse du produit, le dispositif concocté par Alienware est loin de démériter.

Avec ses quatre ventilateurs, ce système de dissipation s’avère relativement silencieux (plus que certains dispositifs équivalents de la concurrence en tout cas), et globalement les capacités de refroidissement sont au rendez-vous.

Parfois un peu chaud au toucher, notamment au niveau de la charnière, le châssis reste ainsi globalement au frais, même si certains flux d’air chaud ont tendance à nous caresser les mains en cours de partie. Cela pourra gêner certains utilisateurs. Quant aux composants, Alienware évite l’embrasement : nous n’avons pas relevé de thermal throttling notable ici, ce qui permet au Ryzen 9 et à la RTX 4070 de s’exprimer dans de bonnes conditions sur de longues périodes, en dépit de la relative finesse du châssis dans lequel ce duo CPU / GPU est logé.

Terminons cette partie en abordant les capacités du SSD installé à bord de notre m16. Cette barrette M.2 PCIe 4.0 de 1 To nous offre 7046,81 Mo/s en lecture et 5370,48 Mo/s en écriture. Ces vitesses de transferts se situent plutôt dans la bonne moyenne pour un PC portable gaming en 2023.

Autonomie : ne vous faites aucune illusion

On ne cessera de le répéter, l’autonomie est (très) rarement le point fort d’un PC portable gaming… et l’Alienware m16 échoue malheureusement à échapper à cette règle. En dépit d’une batterie de 86 Wh assez conséquente (le maximum sur PC portable est en général de 100 Wh), l’appareil ne parvient pas à atteindre ne serait-ce que 3 heures d’autonomie en utilisation polyvalente. Dans les faits, nous sommes d’ailleurs limités à tout juste 1 heure 40 minutes en lecture vidéo. Nous enchaînions alors les épisodes d’une série sur Netflix avec le rétroéclairage du clavier coupé, un casque audio branché et la luminosité de l’écran à 100 %.

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Pour ce qui est de la recharge, il faut passer par le gros bloc de 330 W fourni. Ce dernier prendra près de deux heures pour recouvrer les 100 % de batterie après un déchargement complet.

Audio : du dépannage et pas grand-chose de plus

Plutôt que de placer bêtement ses haut-parleurs sous le châssis, l’Alienware m16 les orientent légèrement vers les côtés, ce qui améliore au moins un peu leur capacité à se faire entendre. Voilà toutefois le seul « atout » à signaler en la matière. Ces deux speakers de 2 W chacun souffrent en effet de médiums surreprésentés, d’aigus criards et de graves totalement oubliés. Leur puissance maximale est suffisante pour couvrir le son des ventilateurs en pleine activité, mais la perte de précision s’avère malheureusement importante à plein volume, avec en prime une « résonance » assez désagréable passé un certain volume.

En clair, ce n’est pas sur l’Alienware m16 qu’il faut compter pour écouter de la musique sans casque, même si ses haut-parleurs restent corrects pour regarder une vidéo YouTube en dépannage. La prise Jack 3,5mm installée sur le flanc gauche de l’appareil offre pour sa part une bonne qualité audio, comme souvent, avec un signal particulièrement puissant et agréable à l’écoute — à condition d’avoir un bon casque.

Alienware m16 : l’avis de Clubic

Conclusion
Note générale
8 / 10

Pour un peu plus de 2 500 euros en prix officiel, l'Alienware m16 s'avère être un digne successeur de l'ancien modèle m15. Il parvient même à être plus ambitieux et à offrir une expérience globale convaincante en corrigeant plusieurs défauts de son prédécesseur.

Si Alienware pèche sur l'affichage en nous limitant à une dalle IPS pas assez lumineuse (offrant par ailleurs un contraste honnête, sans plus), et que l'appareil souffre d'une autonomie proprement médiocre, nous ne pouvons pas nous plaindre de grand-chose d'autre.

Ce modèle m16 dispose en effet d'une belle qualité de construction, de solides performances, d'un clavier convaincant et d'un système de dissipation efficace. Il remplit donc, d'après nous, l'essentiel de son contrat.

Les plus
  • Construction sérieuse du châssis, belles finitions
  • Bon clavier, connectique suffisamment fournie
  • Le système de refroidissement efficace
  • De solides performances, y compris en QHD+
  • Placement tarifaire "raisonnable" pour un Alienware
Les moins
  • Coloris gris-noir tristounet
  • Un écran peu lumineux
  • Autonomie médiocre (2 à 3 heures maximum)
Sous-notes
Design
8
Écran
7
Performances
8
Autonomie
2
Prix
8

Concurrences : quelles alternatives à l’Alienware m16

Les plus
  • Rapport équipement-prix impressionnant
  • Les solides performances en jeu
  • Système de dissipation pas trop bruyant
  • Le clavier mécanique low profile
  • Reconnaissance faciale, lecteur SD, éclairage RGB…
Les moins
  • Un produit pas forcément facile à trouver
  • Design peu inspiré, finitions basiques
  • Écran honnête, mais peu lumineux et mal contrasté
  • Autonomie à la ramasse (2 à 3 heures maximum)
Les plus
  • Bon châssis et finitions sérieuses
  • Le Core i5 vraiment performant
  • Un écran 16:10 et 165 Hz bien calibré…
  • Pas trop de bruit et chauffe contenue
  • Autonomie respectable (7 heures)
Les moins
  • La RTX 4050 efficace, mais intrinsèquement limitée
  • Pas d'identification biométrique
  • … mais malheureusement peu lumineux
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