Lancé au printemps, l’Alienware m18 R2 constitue la première « révision » du grand modèle gaming d’Alienware après la commercialisation, l’année dernière, d’un m18 « R1 » encombrant, mais globalement apprécié. Armé de ce qui se fait de mieux ou presque en 2024, cette nouvelle mouture veut marcher dans les pas de son prédécesseur, mais en développant encore plus de puissance dans un châssis inchangé. Voyons si la filiale de Dell réussit à nous donner le sourire.
- Probablement le gamer XXL le mieux refroidi du marché
- Les perfs stratosphériques du tandem Core i9 / RTX 4090
- Positionnement tarifaire pas aussi exubérant qu’on l’aurait cru
- Connectiques nombreuses, bon clavier, bonne évolutivité
- Appareil très lourd et réellement encombrant
- Luminosité et contraste un peu justes de l’écran
- Trackpad, haut-parleurs et webcam négligés
- Toujours pas de version française pour le clavier méca CherryMX !
La gamme de PC portables gaming Alienware a le mérite d’avoir gagné en simplicité ces dernières années. Désormais limitée à trois modèles seulement, du moins en France, elle s’articule à l’heure actuelle autour de deux modèles de 16 pouces : l’Alienware x16 R2 et l’Alienware m16 R2 (que nous testions cet été) ; et d’un grand modèle de 18 pouces : l’Alienware m18 R2. Modèle le plus puissant du catalogue, c’est lui qui nous intéresse aujourd’hui.
Présenté au CES 2024 et commercialisé au printemps dernier, l’appareil couple dans sa meilleure configuration le plus gros processeur basse consommation d’Intel, à la plus grosse carte graphique mobile de NVIDIA. C’est justement cette configuration très haut de gamme que Dell France nous a fait parvenir en prêt. Elle regroupe en l’occurrence un écran QHD+, un processeur Intel Core i9-14900HX, 32 Go de DDR5 et une NVIDIA GeForce RTX 4090… le tout dans un châssis pesant un peu plus de 4 kg.
Ce beau bébé n’est pourtant pas aussi coûteux qu’on aurait pu le penser. Disons en tout cas que tout est relatif, surtout face à une concurrence désormais habituée à approcher (voire carrément dépasser) la barre des 5 000 euros pour la même fiche technique.
Notre modèle est ainsi affiché à un tarif recommandé de 4 069,50 euros sur le site officiel de Dell. Hors promotion, l’appareil débute du reste à 2 149,50 euros si l’on opte pour la configuration de base, cette fois restreinte à un Core i7 de 14e génération, 16 Go de DDR5 et une RTX 4060.
Maintenant que les présentations sont faites, voyons ce que vaut cet imposant Alienware m18 R2 en conditions réelles d’utilisation.
Design : lourd, encombrant… mais convaincant
Nous l’avons dit, l’Alienware m18 s’était déjà illustré l’année dernière par son poids et son encombrement. Un an plus tard, le constructeur américain s’en tient toutefois au même châssis, et donc à des mensurations inchangées : 41,3 x 31,9 x 2,7 cm pour 4,23 kg. Avec ce gabarit, le grand (et gros) modèle d’Alienware réussit « l’exploit » d’être plus épais et surtout plus lourd qu’un ROG Strix Scar 18 (3,10 kg) ou un MSI Titan GT77 (3,6 kg) par exemple. C’est dire.
Dans ces conditions, et selon la formule consacrée, notre m18 R2 boxe donc dans la catégorie des PC « transportables » plus que portables. Ce n’est clairement pas lui que vous vous amuserez à emmener en cours ou au travail. Sa place à lui, elle est surtout sur votre bureau, et pas tellement ailleurs.
Cela étant dit, difficile de prendre Alienware en défaut sur la qualité d’assemblage, ou plus globalement sur le design de son m18 R2. L’engin s’inscrit dans la plus pure tradition cosmétique de la marque ; et malgré un châssis moins sobre que ceux de Razer, l’appareil reste élégant, agréable à l’œil, autant qu’à manipuler, notamment grâce à une conception tout en courbes et en rondeur.
Les finitions sont en outre irréprochables, avec un sens du détail appréciable et des matériaux de qualité (aluminium sur le dessus et le dessous du châssis, plastique noir pour le cadre d’écran et plastique doux au toucher pour la partie clavier). On apprécie par ailleurs le coloris Dark Metallic Moon, proche d’un gris anthracite, qui nous évite la rigueur d’un carénage complètement noir.
Les amateurs d’effets lumineux apprécieront en parallèle l’intégration — pas trop exubérante — de LEDs RGB, dans le bouton de mise sous tension, dans le logo centré sur la partie supérieure du capot, mais aussi au niveau du liseré qui vient encercler « l’arrière-train » du PC pour former une sorte de halo. Bien entendu, le clavier est RGB lui aussi, avec des touches configurables indépendamment au travers de l’utilitaire AlienFX.
Ce clavier, parlons-en, car il est excellent. Alienware nous propose ici une frappe toute douce, mais aussi une belle profondeur de course, et un rebond très souple. Ce qui marque, c’est aussi l’aspect onctueux de ce clavier et le relatif silence lors de la saisie. Trop petit, le trackpad est par contre beaucoup moins marquant. Il s’avère en effet bruyant et peu confortable à l’usage, mais il a au moins le mérite de dépanner et d’être précis. De toute façon, ce type d’appareil est fait pour être utilisé avec une souris externe.
On regrette en revanche qu’Alienware ne commercialise toujours pas de version française pour le clavier mécanique CherryMX proposé en option avec ce m18 R2. Nous l’avions testé sur un précédent modèle, il y a quelques années… et il s’avérait absolument divin.
L’Alienware m18 R2 profite de son grand format pour intégrer un large panel de connectiques. En la matière, il y a vraiment de tout. On retrouve en effet deux ports USB 3.2 Gen 1, un port USB 3.2 Gen 1 avec PowerShare, un port USB-C 3.2 Gen 1, deux ports Thunderbolt 4 Gen 2 Type-C, un port Ethernet RJ45, une prise casque jack 3,5 mm, une sortie HDMI 2.1, une sortie Mini DisplayPort, et enfin un lecteur de cartes SD. De quoi satisfaire à peu près n’importe quel usage ou type d’utilisateur. C’est parfait.
On ne peut pas en dire autant de la webcam 1080p logée au-dessus de l’écran. Cette dernière délivre une image brouillonne et des couleurs livides, mais a par contre l’avantage de permettre l’identification faciale via Windows Hello, essentielle, en l’absence de lecteur d’empreintes digitales.
Quant aux deux haut-parleurs de 2 W logés sous le châssis, ils s’en tiennent à un rendu très plat, marqué par une sur-représentation des aigus et des médiums. Franchement criard, avec en prime un léger effet de boîte, l’ensemble a uniquement pour avantage d’offrir un volume suffisant pour couvrir le bruit des ventilateurs en jeu. Peu importe, on aura vite fait de brancher un casque sur ce type de produit.
L’accès aux composants est quoi qu’il en soit aisé. Retirer la plaque inférieure du châssis permet de se retrouver en quelques minutes face à la batterie, mais aussi face à la mémoire vive (sous forme de barrettes SO-DIMM). Le SSD, ou encore le module Wi-Fi, sont aussi accessibles rapidement. Ces différents éléments pourront être remplacés sans encombre sur l’Alienware m18 R2, qui nous offre par conséquent un assez beau potentiel d’évolutivité et de réparabilité sur le temps long. On apprécie par ailleurs la présence de trois emplacement pour SSD M2 2230 laissés vacants.
Écran : le bon équilibre pour éviter l’envolée tarifaire
Pour son m18 R2, Alienware cherche avant tout à maîtriser les coûts. Le constructeur ne propose ainsi qu’une seule option d’affichage. Et inutile de vous attendre à une dalle OLED, Mini LED ou à une quelconque technologie affriolante : on se limite ici à une « simple » dalle LCD… qui fait correctement le job. Du moins à un ou deux soucis près.
En l’occurrence, on se retrouve ici face à un écran IPS de 18 pouces, doté d’une définition QHD+ (2560 par 1600 pixels), d’une fréquence 165 Hz, et d’un temps de réponse annoncé à 3 ms. Alienware évoque par ailleurs une certification NVIDIA G-Sync, ainsi qu’une prise en charge à 100 % du gamut DCI-P3.
Sous notre sonde, nous relevons en premier lieu ce qui constitue le principal défaut de ce panneau LCD : sa luminosité maximale trop faible. On se limite en effet à 334 cd/m2 en pic de luminance, ce qui s’avère trop timide. Heureusement, le revêtement mat de l’écran permet de pallier la plupart des reflets, et l’appareil se destine (notamment en raison de son format) uniquement à une utilisation en intérieur. De quoi limiter la casse.
À regret, nous mesurons également un contraste trop juste, réduit à un taux de 1047:1. Nous sommes ici dans la moyenne basse pour une dalle IPS. On relève enfin un problème de fuite de lumière dans les coins de l’écran, et donc une mauvaise homogénéité de la dalle lorsque des couleurs sombres sont affichées. Un problème qui n’est peut-être présent que sur notre exemplaire de prêt, mais qu’il nous fallait mentionner.
Cela étant dit, l’écran choisi par Alienware se rattrape sur tout le reste. La calibration est globalement au point avec 6 372 kelvins au compteur (soit juste en dessous des 6 500 kelvins attendus), et un DeltaE estimé à 2,1 par nos outils (signe d’une bonne restitution des couleurs, puisque cette valeur est censée être idéalement égale ou inférieure à 3). La couverture des principaux espaces de couleur est également au niveau avec une prise en charge à 146 % de l’espace sRGB et à 103 % de la norme DCI-P3.
Dans l’ensemble, pour jouer et travailler, cet écran (sans réelle folie, il faut l’admettre) s’avère très suffisant. Il contribue au tarif plutôt « raisonnable » (notez bien les guillemets) de l’appareil face à ses concurrents immédiats chez ASUS ou encore MSI.
Performances : l’un des modèles les plus puissants que vous trouverez en 2024
Nous l’avons dit plus haut, le modèle de m18 R2 qu’Alienware nous a fait parvenir en prêt n’est autre que la mouture la plus performante de l’engin. Elle regroupe un puissant processeur Intel Core i9-14900HX (24 cœurs et 32 threads cadencés à un maximum de 5,8 GHz, 36 Mo de cache, 55 W de TDP), 32 Go de RAM (via deux barrettes SO-DIMM DDR5 de 16 Go, à 5600 MHz) et la non moins performante GeForce RTX 4090 de NVIDIA (ici configurée en 175 W).
Pour maintenir tout ce beau monde au frais, Alienware mise sur son dispositif de refroidissement « Cryo-tech ». Ce dernier combine de la pâte thermique « Element 31 » (du métal liquide encapsulé), une chambre à vapeur, pas moins de quatre ventilateurs embarqués, et un circuit de caloducs relativement imposant. Nous verrons plus loin que ce système est d’une efficacité redoutable, mais attaquons d’abord par les performances obtenues par l’Alienware m18 R2 en jeu et dans les benchmarks.
Sur Cinebench R24, l’Intel Core i9-14900HX ne nous surprend guère. Il obtient l’un des scores les plus solides de l’année sur le plan CPU… malgré une prestation sur un seul cœur qui sera sans doute vite dépassée par les puces de 2025. Nous obtenons en effet 121 points en single-core, contre 1 557 points en multi-core. À titre de comparaison, le Core Intel Core i7-14700HX du dernier Lenovo Legion 5i Pro obtenait pour sa part 121 points en single-core et 1 159 points en multi-core sur le même outil.
Chez AMD, le gros Ryzen 9 7945HX3D du ASUS ROG Strix Scar 17 2023 parvenait par contre à faire mieux pour les calculs sur plusieurs cœurs avec un total de 116 points en single-core et 1 746 points en multi-core. Toutefois, un « simple » Snapragon X Elite X1E-78-100 glanait pour sa part 107 points en single-core et 1 123 points en multi-core sur le dernier Vivobook S15 OLED d’ASUS. De quoi nous donner un peu de recul.
Côté GPU, la RTX 4090 ne surprend pas : elle frappe très fort sur 3D Mark Time Spy Extreme, notre benchmark GPU de référence. En score graphique, cette dernière parvient en effet à récolter pas moins de 10 672 points. C’est le deuxième score le plus élevé obtenu parmi toutes les cartes graphiques mobiles dédiées testées récemment sur Clubic. Seule la RTX 4090 (175 W de TGP elle aussi) du ROG Strix Scar 17 2023 parvenait à faire légèrement mieux avec 10 781 points sur le même utilitaire.
Ce qu’il faut surtout retenir, c’est qu’avec de pareils scores, la mouture haut de gamme du m18 R2 ne fait qu’une bouchée de la définition QHD+ offerte par l’écran. Avec le tandem Core i9/RTX 4090, jouer en 2,5K se fait dans les meilleures conditions, avec les réglages graphiques les plus exigeants. Preuve en est sur les trois titres que nous avons lancés sur l’appareil : Cyberpunk 2077, Dying Light 2 et Alan Wake 2.
- Cyberpunk 2077 y est animé 88 FPS en QHD+, avec les préréglages « Ray Tracing Ultra », le Path Tracing actif et le DLSS 3 activé ; à 80 FPS dans les mêmes conditions, mais avec le Path Tracing et le DLSS 3 désactivés ; et à 122 FPS en moyenne, toujours en ultra, sans Path Tracing, mais avec le DLSS 3 activé.
- Dying Light 2 y monte à un maximum de 195 FPS en QHD+, avec les réglages en Ultra et le DLSS 3 actif ; contre « seulement » 120 FPS en moyenne lorsque le DLSS 3 était désactivé. Excusez du peu.
- Alan Wake 2 y tient enfin la barre des 50 à 60 FPS (à quelques anicroches près) avec les réglages les plus élevés, le path tracing actif, le DLSS 3 activé et la résolution de rendu en préréglage « qualité ».
Les différents résultats sous Cyberpunk 2077 // © Clubic
Les différents résultats sous Cyberpunk 2077 // © Clubic
Les performances stratosphériques de notre Alienware m18 R2 et de sa RTX 4090 nous ont même permis de nous amuser en définition 5K sur un moniteur Apple Studio Display. Il fallait alors se montrer un peu plus attentif aux réglages, mais les trois titres évoqués plus haut restaient jouables dans de très bonnes conditions. Comprenez par là que si vous voulez utiliser de temps à autre l’appareil sur un téléviseur 4K, ou si vous prévoyez de le connecter à un moniteur de bureau WQHD+, il ne rechignera pas à la tâche.
Sur le plan thermique, le constat est là aussi très positif, pour ne pas dire exceptionnel. L’Alienware m18 R2 est, à ce stade, le PC portable gaming de 18 pouces le plus frais que nous ayons testé en 2024. Après environ 40 minutes de jeu sur Alan Wake 2, nous avons mesuré un pic de température à un peu moins de 55 degrés au-dessus du clavier. Ce qui est appréciable pour ce type de machine, souvent confronté à une chauffe bien plus féroce.
Nous sommes d’autant plus séduits que les quatre ventilateurs de l’appareil sont beaucoup moins bruyants que nous l’aurions pensé : 54 dB au maximum en jeu avec le mode performances actif sous Cyberpunk 2077. Et ça, c’est dans le pire des cas, car sur Alan Wake nous nous limitons par exemple à 49 dB en moyenne. Dans ces conditions, les ventilateurs s’entendent, c’est indéniable, mais l’on est loin du sifflement assourdissant de certains modèles concurrents. Par ailleurs, ce quatuor tourne à très faible allure en utilisation bureautique, et s’avère alors très discret.
Terminons par un point rapide sur les performances du SSD embarqué. Notre barrette M2 NVMe PCIe Gen 4 de 2 To affiche 6941 Mo/s en lecture et 5188 Mo/s en écriture. Rien à redire ici, ce résultat est tout à fait dans l’axe de ce que l’on attend d’un SSD en 2024.
Autonomie : la catastrophe évitée ?
L’Alienware m18 R2 est équipée d’une grosse batterie de 97 Wh, soit pratiquement le maximum qu’un PC portable peut embarquer. Avec un tandem aussi puissant et gourmand en énergie que duo Core i9/RTX 4090, il était néanmoins évident que notre m18 R2 n’aurait rien d’un champion de l’autonomie… et cela se vérifie en pratique.
Dans le cadre d’une utilisation polyvalente, mêlant bureautique, lecture vidéo et navigation Web, on parvient en effet à tenir 4 à 5 heures sur batterie avant que le chargeur ne nous soit demandé. C’est peu, mais ce n’est pas nécessairement la débâcle à laquelle nous nous attendions.
La recharge se fait par contre en un peu plus de 2 heures et 30 minutes sur secteur, à l’aide d’un bloc de 360 W, lourd et volumineux, comme vous pouvez vous en douter.
Alienware m18 R2 : l’avis de Clubic
Son écran n’est pas le meilleur du marché et son encombrement en fait un appareil éminemment sédentaire, mais l’Alienware m18 R2 tire son épingle du jeu grâce à des performances quasi imbattables en 2024, ainsi que par une prestation admirable sur le plan du refroidissement.
Fort d’un placement tarifaire maîtrisé pour un produit Alienware, l’appareil se positionne comme un gamer incontournable pour tous ceux qui aiment pousser tous les potards à fond… sans trop se poser de question.
- Probablement le gamer XXL le mieux refroidi du marché
- Les perfs stratosphériques du tandem Core i9 / RTX 4090
- Positionnement tarifaire pas aussi exubérant qu’on l’aurait cru
- Connectiques nombreuses, bon clavier, bonne évolutivité
- Appareil très lourd et réellement encombrant
- Luminosité et contraste un peu justes de l’écran
- Trackpad, haut-parleurs et webcam négligés
- Toujours pas de version française pour le clavier méca CherryMX !
Concurrence : quelles alternatives à l’Alienware m18 R2 ?
- Performances monstrueuses de la RTX 4090
- Quatre ventilateurs pour une dissipation au cordeau
- L’écran Mini-LED, son excellent contraste et sa forte luminosité
- La puissance du Ryzen 9 7945HX (sensationnel en multi-core)
- La puissance de la RTX 4090 (magistrale en jeu)
- Moins cher que certains concurrents à performances équivalentes
Fiche technique Alienware m18 R2 (2024)
Processeur | Intel Core i7 ou i9 14è génération |
Carte graphique | Nvidia GeForce RTX 4060, 4070 ou 4090 |
Taille de l'écran | 18 pouces |
Taux de rafraîchissement | 165Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Intel Core i7 ou i9 14è génération |
Finesse de gravure | 10nm |
Type de mémoire | DDR5 |
Nombre de barrettes | 2 |
Carte graphique | Nvidia GeForce RTX 4060, 4070 ou 4090 |
Max-Q | Oui |
VR Ready (réalité virtuelle) | Oui |
Type mémoire vidéo | GDDR6 |
Taille de l'écran | 18 pouces |
Taux de rafraîchissement | 165Hz |
Type de dalle | Dalle IPS |
Type d'écran | LED |
Résolution d'écran | QHD+ |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Oui |
NVIDIA G-SYNC | Oui |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 1 ou 2 To |
Lecteur optique | Aucun |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Carte SD |
Connectiques disponibles | Ethernet - RJ45 Femelle, Thunderbolt 4/USB-C, USB 3.2, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, Mini DisplayPort, USB 3.2 Type C |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 7 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.4 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - RGB |
Pavé numérique | Oui |
Épaisseur | 26.7mm |
Longueur | 410.3mm |
Largeur | 319.9mm |
Poids | 4.23kg |
02 janvier 2025 à 11h20