Plutôt discret dans le line up de MSI, le Cyborg 14 s'invite à la table des ultraportables gaming avec quelques compromis lui offrant un prix de départ très attractif. Mais sous ses airs d'outsider séduisant, l'engin ne pourra finalement s'adresser qu'à une petite portion des joueurs en quête de compacité. Dans ce test, on vous explique pourquoi l'appareil déçoit… mais aussi comment il pourrait vous convaincre.
- Une configuration suffisante pour jouer en Full HD+
- Machine compacte et légère, plutôt bien conçue
- Qualité d'affichage honnête
- Prix attractif
- Les performances GPU limitées
- Un système de dissipation sous dimensionné
- Autonomie anecdotique
Lancé au CES 2024, le MSI Cyborg 14 (A13V) est un PC portable gaming de 14 pouces doté d'un écran Full HD+ et d'un tandem Core i7 de 13e génération et RTX 4060, le tout dans un châssis compact et partiellement translucide de 1,6 kilo seulement. L'appareil nous avait fait bonne impression à Las Vegas, puis à Taïwan où nous l'avions également aperçu dans le cadre du Computex. Il souffre néanmoins d'un défaut majeur : sa carte graphique est limitée à une enveloppe thermique riquiqui… et souffre donc d'un potentiel réduit.
Nous allons voir si le Cyborg 14 peut quand même être conseillé, mais avant toute chose, voici la fiche technique du modèle que MSI France nous a fait parvenir en prêt :
Fiche technique MSI Cyborg 14 (A13V)
Processeur | Intel Core i7-13620H |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | Nvidia GeForce RTX 4060 |
Mémoire vidéo | 8Go |
Taille de l'écran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 144Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Intel Core i7-13620H |
Type de processeur | 10 coeurs, 16 threads, 24 Mo de cache, jusqu'à 4,90 GHz |
Fréquence du processeur | 2.7GHz |
Finesse de gravure | 10nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 5,200MHz |
Nombre de barrettes | 2 |
Carte graphique | Nvidia GeForce RTX 4060 |
Max-Q | Oui |
Mémoire vidéo | 8Go |
VR Ready (réalité virtuelle) | Oui |
Type mémoire vidéo | GDDR6 |
Taille de l'écran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 144Hz |
Type de dalle | Dalle IPS |
Type d'écran | LED |
Résolution d'écran | Full HD+ |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Oui |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 1 To |
Disque secondaire | 1 slot M.2 NVMe |
Lecteur optique | Aucun |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Aucun |
Connectiques disponibles | Ethernet - RJ45 Femelle, USB 3.2, USB 3.2 Type C, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, HDMI 2.1 |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.3 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Non |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Épaisseur | 2.2cm |
Longueur | 31.4cm |
Largeur | 23.3cm |
Poids | 1.6kg |
En version de base, le Cyborg 14 s'en tient à un Core i5-13420H, 16 Go de RAM et à une simple GeForce RTX 3050. Il se négocie alors dès 1 139 euros (voire bien en dessous lors des soldes). Une version i5 et RTX 4060 existe en parallèle, au même titre qu'une mouture i7 et RTX 4060, aux prix respectifs de 1 250 euros et 1 200 euros. Affiché à 1 450 euros, le modèle qui nous intéresse aujourd'hui (Core i7 et RTX 4060) est le mieux équipé.
Design : une bonne petite machine, étonnamment légère et bien pensée
Proche visuellement de son grand frère, le Cyborg 15, que nous testions l'année dernière, le Cyborg 14 offre peu ou prou la même qualité d'assemblage et le même niveau de finition, mais sur un format forcément beaucoup plus ramassé. À défaut d'être le plus fin des ultraportables gaming du marché (2,2 centimètres d'épaisseur), l'appareil s'avère tout de même suffisamment compact (31,4 x 23,3 centimètres, soit le format d'une BD) et léger (1,6 kilo) pour être agréable à transporter partout avec soi.
Son poids est d'ailleurs particulièrement attrayant, puisqu'il est presque aussi léger que l'ASUS ROG Zephyrus G14 2024 (1,5 kilo) et nettement moins lourd que le Razer Blade 14 2024 (1,84 kilo). Un bon point que MSI doit aux matériaux employés pour la construction du châssis : du plastique translucide pour le dessous et les côtés du carénage, un épais plastique noir pour le clavier et une plaque d'aluminium sur le capot. Pas vraiment de matériaux nobles au menu donc, mais compte tenu du prix de l'appareil, nous sommes globalement satisfaits du rendu que cette combinaison plastique/alu nous offre.
Bien qu'un peu rustique, l'appareil se montre en effet solide et bien conçu, même si le cadre de son écran, légèrement trop fin, résiste mal à la torsion… et qu'il faudra par conséquent éviter les manipulations trop brutales sur cette zone. Les charnières sont néanmoins robustes, et la base du châssis suffisamment rigide. Rien à signaler de ce côté.
On apprécie par ailleurs la présence de connectiques suffisamment variées. Le flanc gauche accueille ainsi un port USB-A 3.2 Gen 1 et une prise casque, le côté gauche une prise USB-C 3.2 Gen 2, une prise USB-A 3.2 Gen 1, une sortie HDMI 2.1 et la prise d'alimentation, tandis qu'un port Ethernet RJ45 (rarissime sur les appareils de 14 pouces) est installé à l'arrière. Sur un produit entrée de gamme, difficile de trouver tellement mieux.
Les différents ports à droite et à gauche du PC © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Dans la même veine, nous n'avons aucun grief particulier à l'égard du clavier. Ce dernier profite de touches rétroéclairées en bleu (couleur unique en l'absence de RGB) offrant un cliquetis agréable et une bonne profondeur de course. Certes, l'ensemble aurait sûrement gagné à être un chouia plus silencieux, mais l'écartement des touches est suffisant, leur positionnement agréable, et la frappe se montre aussi bien confortable au quotidien que précise en jeu. Rudimentaire et bruyant, le trackpad est pour sa part convaincant en dépannage.
Dans le large encart visible au-dessus de l'écran (qui sert aussi d'encoche pour faciliter l'ouverture du capot à une main), un petit capteur 720p a été logé au centre. Cette webcam n'est pas compatible avec Windows Hello, ce qui n'a rien d'étonnant à ce niveau de prix, mais nous propose une qualité d'image exploitable lorsque les conditions de lumière lui sont favorables. Résolution limitée oblige, le piqué reste en revanche très modeste.
Le rendu de la webcam est très modeste © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Notre petit Cyborg 14 fait par ailleurs l'impasse sur un lecteur d'empreinte digitale. Privé de tout moyen d'identification biométrique, l'appareil se contente de nous demander un code PIN ou un mot de passe à l'ouverture de session. Dommage, mais ce n'est pas vraiment surprenant sur un produit aussi accessible.
L'appareil dispose enfin de deux petits haut-parleurs, de 2 watts chacun, logés sous le châssis, et donc au pire endroit. À l'instar du trackpad, ces derniers font un travail correct en dépannage, mais clairement, n'en attendez rien de plus.
L'accès aux composants se fait enfin dans la douleur. Retirer la plaque inférieure du châssis requiert patience et doigté, tant l'assemblage est serré. Cela dit, une fois cette dernière hors de vue, la batterie nous tend les bras, au même titre que le modem Wi-Fi et le SSD M2, que l'on peut changer sans difficulté. La mémoire vive est quant à elle dissimulée par un petit couvercle en métal, mais elle reste accessible, sous la forme de deux barrettes DDR5 au format SO-DIMM.
Écran : grand écart entre luminance et contraste, mais un ensemble honnête
Quelle que soit la configuration choisie, le Cyborg 14 est équipé d'un écran IPS Full HD+ (1 920 par 1 200 pixels) de 14 pouces, montant à 144 Hz et couvrant à 100 % l'espace sRGB, selon MSI. Armés de notre sonde et du logiciel de mesure DisplayCAL, voyons ce que vaut cette dalle fabriquée par la firme chinoise BOE dans le feu de l'action.
Nous mesurons pour commencer la luminance maximale de l'écran. Ici, le pic de luminosité est estimé à 472 cd/m2 par nos outils. Nous sommes donc sur une valeur tout à fait suffisante pour assurer une bonne lisibilité dans la majorité des cas, d'autant qu'un traitement antireflet efficace est appliqué à la dalle. Le contraste est toutefois nettement moins enthousiasmant, avec un ratio de 1090:1, ce qui est loin d'impressionner. Ce ratio de contraste se situe en effet dans la moyenne basse par rapport aux autres écrans LCD IPS testés par nos soins ces derniers mois.
Comme promis, la couverture de l'espace de couleurs sRGB est complète, ou presque. Nous relevons en effet une prise en charge à 95,1 % de ce gamut, tandis que l'espace DCI-P3 n'est pour sa part supporté qu'à hauteur de 67,4 %. Rien d'anormal ou de surprenant à ce niveau de prix. Retenez simplement que cet écran ne s'adresse pas du tout aux utilisateurs créatifs (graphisme, retouche photo, étalonnage…).
La calibration de cette dalle IPS souffle enfin le chaud et le froid, avec d'un côté un Delta E des plus respectables, établi à 2,3 selon nos mesures, et de l'autre une température bien trop élevée par défaut, mesurée à 7 206 kelvins. Pour rappel, le Delta E doit idéalement être égal ou inférieur à 3, tandis que la température des couleurs est censée s'approcher le plus possible des 6 500 kelvins du standard vidéo.
Si le Delta E est très correct, les températures des couleurs, elles, ne sont pas au top © Nathan le Gohlisse pour Clubic
Terminons par un point sur l'homogénéité de la dalle et ses angles de vision. Nous n'avons pas remarqué de souci de halo ou de fuite de lumière sur notre exemplaire de prêt. Les angles de vision sont quant à eux bien ouverts : pas besoin de se tenir pile en face de l'écran pour y voir quelque chose.
Performances : la RTX 4060 outragée ?
Nous l'avons évoqué brièvement en début d'article, le MSI Cyborg 14 (A13V) embarque une RTX 4060 largement bridée. Aux côtés d'un Core i7-13620H (10 cœurs et 16 threads cadencés à un maximum de 4,9 GHz, 24 Mo de cache et 45 watts de TDP) et de 16 Go de DDR5 à 5 200 MHz, la puce de NVIDIA semble à première vue outragée, pour ne pas dire sacrifiée.
Et pour cause, elle se limite ici à un TGP minuscule : 45 watts seulement. Pour rappel, la RTX 4060 peut monter beaucoup plus haut, même sur un ultraportable. NVIDIA permet en effet aux constructeurs de PC de la configurer, en fonction des châssis, entre 35 et 115 watts (hors Dynamic Boost, qui permet de réaffecter de manière dynamique la puissance du CPU vers le GPU).
Avec ses 45 watts, notre NVIDIA GeForce RTX 4060 développe donc seulement une fraction de son potentiel. Heureusement, le Cyborg 14 se contente d'une définition Full HD+ qui, en l'occurrence, lui sauve sérieusement la mise. Voyons dans le détail comment l'appareil s'en sort côté performances, et pourquoi MSI s'en tient à une enveloppe thermique si faible pour le GPU.
Mais commençons par parler des performances du CPU. Nous l'avons dit, notre modèle de prêt est équipé d'une puce d'ancienne génération, le Core i7-13620H. Ce processeur « Raptor Lake », lancé l'année dernière, offre encore de bonnes performances, même s'il se montre fortement limité en multi-core par le système de dissipation modeste, nous allons y revenir, du Cyborg 14.
Preuve en est sur Cinebench R23, où la puce obtient 1 795 points en calcul single-core et seulement 11 979 points en multi-core. À titre de comparaison, le Core i7-13650HX (14 cœurs et 20 threads) du Gigabyte Aorus 16X 2024, développait 19 800 points en multi-core et 1 799 points en single-core sur le même benchmark. Et si l'on regarde cette fois les performances obtenues par le Ryzen 9 8945HS (8 cœurs et 16 threads) sur le Razer Blade 14 2024, un modèle à peu près aussi compact que notre Cyborg 14, la dynamique est la même, avec un net avantage en multi-core. La puce AMD y obtenait en effet 16 182 points en multi-core, contre 1 771 points en single-core.
Continuons avec les performances GPU cette fois, tout d'abord sur 3D Mark Time Spy Extreme. Ce que l'on remarque ici, c'est que la RTX 4060 du Cyborg 14 paye cash son TGP réduit. Sur cet outil, la carte milieu de gamme de NVIDIA ne dépasse pas les 3 520 points en indice de performances graphiques. La RTX 4060 140 watts du Gigabyte Aorus 16X 2024 montait pour sa part, et sans mal, à 5 018 points sur le même utilitaire. Le jour et la nuit. Quant à la RTX 4070 65 watts du HP OMEN Transcend 14 (14 pouces lui aussi), elle développait 4 010 points, toujours sur Time Spy Extreme.
En jeu, le bilan est toutefois plus flatteur. En Full HD+, définition native de l'écran, notre RTX 4060 s'en sort bien. Ses 45 watts suffisent en effet dans la plupart des cas pour motoriser sans encombre les derniers jeux AAA… à condition de se borner au 1200p. En ultra, avec le DLSS 3.0 désactivé, Cyberpunk 2077 et Dying Light 2 sont par exemple animés respectivement à 38 et 55 FPS en moyenne. Dans les deux cas, la barre des 60 FPS est même facilement atteinte une fois la technologie Frame Generation de NVIDIA activée. Cette dernière nous permet d'ailleurs d'apprécier à quel point l'apport logiciel de NVIDIA est précieux sur les appareils dotés de « petites » configurations sous RTX 4000.
En gérant les réglages graphiques de manière plus subtile (quelques concessions requises ici et là, et DLSS 3 indispensable), Alan Wake 2 est également jouable sans baisse de régime notable en 1200p et 60 FPS sur le Cyborg 14. Quant à Horizon Forbidden West, il tient le cap des 60 FPS lui aussi, cette fois avec tous les réglages en ultra et le supersampling activé (DLSS ou FSR, les deux offrant ici des résultats satisfaisants).
Quoi qu'il en soit, si le tandem CPU/GPU est en bonne partie bridé sur le Cyborg 14, c'est parce que MSI a fait des économies sur le système de dissipation de son petit PC gamer. Ici, pas de caloducs en pagaille, de chambre à vapeur ou de ventilateurs dernier cri, le dispositif de refroidissement est spartiate : trois caloducs couplés à un seul et unique ventilateur.
En bridant ses composants, le Cyborg 14 peut se contenter d'un système de dissipation minimaliste et éviter la surchauffe. Cette stratégie fonctionne la plupart du temps (aucun thermal throttling CPU à signaler sur AIDA64 par exemple), mais elle affiche tout de même ses limites en jeu, lorsque le CPU et le GPU sont fortement sollicités. Dans ce contexte, la chauffe se fait sentir au bout d'un moment sur le châssis, avec, caméra thermique en main, une zone à 64 °C mesurée juste au-dessus du clavier.
C'est certes un exemple, mais il illustre de manière probante les lacunes du système de dissipation auxquelles nous sommes souvent confrontés sur l'ultraportable gaming de MSI. En revanche, il faut admettre que ce dernier est (relativement) silencieux. Malgré le mode boost activé, le ventilateur ne dépasse pas les 50 décibels (à 40 centimètres de l'écran). C'est très supportable pour un modèle gamer.
Les températures du PC © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Terminons par un point sur les vitesses de transferts du SSD de 1 To. Ce dernier atteint 3 673 Mo/s en lecture et 3 027 Mo/s en écriture. Des performances honnêtes pour un produit vendu, rappelons-le, à 1 500 euros maximum.
Autonomie : pas de miracles, hélas…
Pas de folie côté batterie. Là aussi, MSI fait des économies. On doit donc se contenter d'une capacité de 53,5 Wh, équivalente à celle d'un ultraportable classique. L'autonomie, vous l'aurez compris, est donc loin d'être un point fort sur le Cyborg 14.
En lecture vidéo, dans le cadre de notre test d'autonomie habituel (lecture de vidéos YouTube sur Edge, en 1080p, avec la luminosité de l'écran à 100 %, le rétroéclairage du clavier coupé, un casque branché et les paramètres d'alimentation les plus favorables à l'économie d'énergie), on tient difficilement plus de 3 heures sur batterie. En utilisation plus polyvalente, le cap des 4 heures est parfois atteint, mais du bout des doigts, et sans jamais pouvoir espérer plus.
La recharge se fait pour sa part en un peu moins de 2 heures, à l'aide d'un bloc secteur 120 watts compact, mais orné d'une connectique propriétaire. Nous aurions aimé de l'USB-C (qui peut, quand les conditions sont réunies, délivrer jusqu'à 240 watts), mais à ce niveau de prix, difficile d'être trop regardant.
MSI Cyborg 14 (A13V) : l'avis de Clubic
Archétype de la « bonne petite machine », le MSI Cyborg 14 est plutôt une bonne surprise dans l'ensemble. L'appareil concurrence des ultraportables gaming nettement plus chers avec les moyens du bord, mais sans jamais démériter, et parvient même à trouver un point d'équilibre intéressant pour 1 500 euros.
Cela étant dit, il ne faut pas oublier où on met les pieds avec ce produit. Ses performances graphiques sont modestes, elles ne vous permettront pas d'espérer aller au-delà de la Full HD+, et son système de dissipation s'avère aussi rudimentaire que sa batterie. Mais si vous vous voulez un gamer compact et abordable, ce modèle est contre toute attente une option viable. À condition de savoir se contenter… de ce qu'il peut offrir.
- Une configuration suffisante pour jouer en Full HD+
- Machine compacte et légère, plutôt bien conçue
- Qualité d'affichage honnête
- Prix attractif
- Les performances GPU limitées
- Un système de dissipation sous dimensionné
- Autonomie anecdotique
Concurrence : quelles alternatives au MSI Cyborg 14 ?
- Jouer en QHD sur un 14 pouces…
- La beauté de l'OLED enfin sur le G14
- Design plus sobre, plus mature, et finitions impeccables
- Autonomie viable (7 à 8 heures)
- … mais un couple CPU/GPU forcément (un peu) bridé
- Chauffe tout de même élevée
- L'évolutivité qui régresse (RAM désormais soudée)
- Trackpad perfectible et rétroéclairage non RGB
- Un remarquable concentré de puissance
- Chauffe bien maîtrisée
- La "Razer Qualität" : finitions impeccables
- Connectiques en nombre, bon trackpad, webcam 1080p
- Aucun changement de look
- Écran IPS "seulement"
- Le clavier et son rétroéclairage partiel insupportable
- Prix salé face à une concurrence bien positionnée
- Un gamer discret… et qui ne chauffe pas
- Excellent clavier
- La qualité d'image offerte par l'écran OLED
- Design réussi et finitions impeccables
- Moins puissant qu'espéré (RTX 4070 méchamment bridée)
- Le coloris noir hyper salissant
- Écran brillant et pas parfaitement calibré
- Mémoire vive soudée