Est-on vraiment obligé d’utiliser les derniers composants disponibles pour lancer un nouveau PC portable gamer ? Si à cette question, la plupart des constructeurs choisissent de répondre oui, MSI tente une approche différente pour son entrée de gamme avec son dernier Cyborg 15. Annoncé au CES 2023 et lancé récemment, l’appareil adopte des processeurs Intel d’ancienne génération pour réduire le montant de l’addition, sans pour autant nous priver des excellentes RTX 4000. Voyons si cette petite feinte s’avère efficace.
- Design réussi et châssis pas trop encombrant
- CPU efficace et performances honnêtes (grâce au DLSS 3.0)
- Assez bon clavier dans l'ensemble, haut-parleurs valables
- Prix contenu
- La RTX 4060 atrophiée (45 watts seulement)
- Système de dissipation sous-dimensionné
- Qualité d'affichage perfectible
- Autonomie faiblarde (PC gamer oblige)
Toutes les marques ou presque se livrent à l’exercice délicat de maîtriser les coûts pour aboutir à des PC portables plus abordables. Et les géants du gaming ne sont pas en reste. Acer a sa gamme Nitro, ASUS sa lignée TUF, Dell ses modèles « G »… et MSI ses derniers Katana et Cyborg. C’est le Cyborg 15 qui nous intéresse aujourd’hui, car contrairement à la plupart de ses rivaux annoncés en début d’année sur l’entrée de gamme, ce modèle se contente de processeurs Intel d’ancienne génération (Alder Lake) pour entrer sur le marché à un tarif le plus raisonnable possible.
Une approche pertinente sur le papier quand on connaît les bonnes performances obtenues par la 12ème génération de processeurs Intel, et un risque mesuré pour MSI, comme nous allons le voir (la firme utilise d’ailleurs ce même stratagème sur d’autres modèles, comme le Vector GP68 HX 12V). Mais avant d’aller plus loin, voici la fiche technique complète du modèle de Cyborg 15 (A12VF) que MSI France nous a fait parvenir en prêt.
Fiche technique MSI Cyborg 15 A12VF
Processeur | Intel Core i5-12450H |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | Nvidia GeForce RTX 4060 |
Mémoire vidéo | 8Go |
Taille de l'écran | 15.6 pouces |
Taux de rafraîchissement | 144Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Intel Core i5-12450H |
Type de processeur | 8 coeurs / 16 threads |
Fréquence du processeur | 2GHz |
Finesse de gravure | 10nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 4,800Hz |
Nombre de barrettes | 2 |
Carte graphique | Nvidia GeForce RTX 4060 |
Max-Q | Oui |
Mémoire vidéo | 8Go |
VR Ready (réalité virtuelle) | Oui |
Type mémoire vidéo | GDDR6 |
Taille de l'écran | 15.6 pouces |
Taux de rafraîchissement | 144Hz |
Type de dalle | Dalle IPS |
Type d'écran | LED |
Résolution d'écran | Full HD |
Format de l'écran | 16/9 |
Dalle mate / antireflet | Oui |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 512 Go |
Disque secondaire | 1 slot M.2 NVMe |
Lecteur optique | Aucun |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Aucun |
Connectiques disponibles | Ethernet - RJ45 Femelle, USB 3.1, USB 3.1 Type C, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, HDMI 2.1 |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.2 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Oui |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Épaisseur | 22.9mm |
Longueur | 359.36mm |
Largeur | 250.34mm |
Poids | 1.98kg |
Dans cette configuration, le MSI Cyborg 15 est proposé à 1299 euros en France. Chez certains revendeurs, l’appareil profite toutefois régulièrement de promotions et autres offres lui permettant de tomber à 1199 euros. Un tarif plutôt accessible pour un produit équipé d’une RTX 4060, mais vous allez voir que le diable se cache dans les détails. Notez par contre que ce modèle existe avec une configuration un peu plus musclée, équipée d’un Core i7-12650H, de 32 Go de RAM et 1 To de SSD. Le reste des composants (écran et GPU, notamment) est identique à notre modèle de prêt.
Design : MSI fait-elle bien avec peu de moyens ?
En dépit d’un châssis en plastique tout ce qu’il y a de plus modeste, le Cyborg 15 fait globalement bonne impression au sortir du carton. L’appareil profite d’un niveau de finitions supérieur à la moyenne à ce niveau de prix, mais aussi de matières plastiques de qualité. Le dessus du capot est pour sa part orné d’une plaque d’aluminum qui ajoute du cachet supplémentaire à un ensemble loin d’être vilain.
La partie clavier est par exemple couverte d’un plastique gris foncé aux reflets légèrement bleutés, tandis que les flancs et le dessous du châssis arborent un plastique translucide qui n’est pas sans évoquer les appareils transparents de la fin des années 90. Le châssis s’avère par ailleurs solide. Rien ne craque, rien ne paraît fragile, et l’on apprécie également la possibilité de déployer complètement l’écran vers l’arrière, jusqu’à 180 degrés.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Autre avantage en faveur du Cyborg 15 : son format. Avec 359.36 x 250.34 x 22.9 mm pour 1.98 kg, l’appareil profite d’un gabarit plutôt fluet pour un PC portable gamer. Il s’avère d’ailleurs à peine plus épais qu’un modèle bureautique traditionnel de 15,6 pouces. Une compacité fort bienvenue mais qui a des conséquences sur le clavier.
Ce dernier souffre en effet d’une course des touches un chouia trop courte, du moins par rapport aux autres modèles gaming. Cela ne s’avère heureusement pas trop handicapant au quotidien, même si en jeu certains utilisateurs pourront trouver à redire.
Équipé d’un rétroéclairage à couleur unique (bleu clair), ce clavier peut par contre compter sur un bon espacement des touches, offrant une excellente précision. Le retour des touches est quant à lui agréable, et MSI est parvenu à loger un pavé numérique sur le côté droit sans trop décaler le reste du clavier ou en perturber le placement. Ce bon clavier dans l’ensemble gagnerait cependant à être plus silencieux, surtout au niveau de la barre d’espace.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le trackpad peut pour sa part tout à fait être oublié, ce qu'il est d’ailleurs très vite. Malgré une surface de glisse honorable, il s’avère insuffisamment précis, notamment pour les clics appuyés, et se montre bruyant (avec un son très creux). Il s’agit toutefois d’un demi-problème, puisqu’une souris externe sera vite branchée sur un produit de ce type.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
De son côté, la webcam est beaucoup moins mauvaise qu’attendu. Sa définition 720p l’empêche de délivrer une qualité d’image optimale, mais tout n’est pas à jeter, et globalement, ce capteur fait l’affaire pour quelques échanges vidéo occasionnels. On regrette néanmoins l’absence d’identification biométrique sur le Cyborg 15, qui se dispense d’un capteur d’empreinte. Rien de surprenant toutefois sur une machine lancée à moins de 1 300 euros, il faudra faire sans… et taper son mot de passe à l’ancienne.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Petite déception également en matière de connectiques. On retrouve un port USB-C 3.1 Gen 1 (avec affichage en DisplayPort), deux ports USB-A Gen 1, une prise Ethernet RJ45, une sortie HDMI 2.1 et une prise casque jack de 3,5 mm. L’essentiel est là, mais le port USB-C ne prend pas en charge l’alimentation (ce qui aurait pourtant été très pratique), et il manque d’après nous un port USB-A ou deux pour être réellement à l’aise, l’une des deux prises présentes étant perpétuellement utilisée pour connecter une souris externe.
En matière d’accès aux composants, rien de bien difficile. Retirer 9 vis cruciformes permet d'enlever la plaque inférieure du châssis. Comme sur la plupart des PC portables gaming, l’évolutivité permise est satisfaisante. Il est possible de remplacer la mémoire vive (barrettes de DDR5 au format SO-DIMM) et le SSD (M.2) ainsi que la batterie. Les autres composants sont en revanche soudés à la carte mère.
Écran : une dalle à oublier (ou à pardonner)
Pour l’écran de son Cyborg 15, MSI fait le choix du service minimum. Quelle que soit la configuration choisie, on y trouve en effet une dalle IPS Full HD (1 920 x 1 080 pixels) de 15,6 pouces, au ratio 16:9, capable de monter à 144 Hz. Le constructeur ne s’étend que très peu sur les spécifications de cet écran fabriqué par AU Optronics, ce qui n’est jamais bon signe. Voyons ce qu’il en est avec Calman Ultimate et nos outils de mesure.
Premier écueil : la luminance. On relève en effet une luminosité maximale de 224,4 cd/m2, avec un pic de luminance de 266,2 cd/m2. C’est très insuffisant, le revêtement antireflet de l’écran ne suffira pas à limiter la casse dans une pièce très éclairée, en extérieur, ou simplement lorsque l’on joue à contre-jour. En clair, on plisse souvent les yeux devant le Cyborg 15.
La colorimétrie est en revanche moins mauvaise que l’on pourrait le penser. On relève notamment un Delta E presque parfait, avec une valeur de 3,1. Idéalement, cette donnée est censée être égale ou inférieure à 3 pour offrir des couleurs fidèles, nous n’en sommes pas loin. La température des couleurs est toutefois à revoir, avec 6 322 kelvins au sortir du carton, en lieu et place des 6 500 kelvins que l’on devrait normalement approcher. Les couleurs de l’écran sont donc beaucoup trop chaudes, ce qui sautera à n’importe quel œil un tant soit peu exercé.
La couverture des principaux espaces colorimétriques n’est pas non plus à la fête, avec un spectre sRGB supporté à 64,7 % seulement et un gamut DCI-P3 limité à 48,4 %. Sur une machine de ce type, nous aurions vraiment aimé trouver un écran 100 % sRGB, comme sur de plus en plus de modèles chez la concurrence. Il faudra faire sans.
À cette succession de lacunes s’ajoute un contraste trop faible, avec un ratio mesuré à 567:1 par nos outils. La technologie IPS est capable de faire bien mieux, et l’on regrette globalement que MSI n’ait pas veillé à nous proposer une qualité d’image supérieure. Il faut ici se contenter d’une dalle LCD perfectible, qui n’a pour elle qu’une colorimétrie partiellement valable et une fréquence 144 Hz appropriée sur un PC portable gaming.
Performances : quel dommage (mais le DLSS 3 sauve la mise) !
La capacité du chargeur nous avait en quelque sorte avertis : avec ses 120 W seulement, l’enveloppe thermique des composants qu’il alimente s’avère fatalement frugale, surtout en ce qui concerne la RTX 4060 embarquée. Anémique, cette dernière doit ici se contenter d’un TGP particulièrement réduit. Trop réduit ? C’est ce que l’on va voir.
Pour rappel, notre Cyborg 15 de prêt regroupait un CPU Intel Core i5-12450H (8 cœurs et 16 threads cadencés à 4,40 GHz en boost, 12 Mo de cache, 45 W de TDP), 16 Go de DDR5 (à 4 800 MHz) et une RTX 4060 8 Go limitée à 45 W de TGP seulement, et ce, avec la technologie Dynamic Boost activée. Pour rappel, la RTX 4060 mobile est censée pouvoir atteindre un maximum de 115 W et peut même atteindre théoriquement le cap des 140 W avec le Dynamic Boost. La puce est donc particulièrement sous-exploitée sur le PC portable de MSI.
Cela s’en ressent en jeu, où le combo 1080p et 60 FPS n’est pas toujours atteint, notamment sur des jeux très gourmands en ressources comme Cyberpunk 2077. Sur le titre de CD Projekt RED, le framerate se limite ainsi à une grosse trentaine d’images par seconde lorsque l’on pousse l’ensemble des réglages graphiques à leur niveau maximum. On subit même des scènes à 20 FPS seulement. Heureusement, les RTX 4000 bénéficient d’une technologie d’interpolation d’image par IA redoutable pour pallier ce type de situations : le DLSS 3.0. Avec lui, et sans rien changer aux autres réglages, on passe instantanément à presque 60 FPS sur Cyberpunk. L’expérience gagne alors beaucoup en intérêt… mais sans DLSS 3, le Cyborg 15 souffre sérieusement quand il est confronté à ce genre de jeux.
La situation est cela dit un peu différente sur des softs moins gourmands (ou mieux optimisés, c’est selon) comme Dying Light 2. Sur le titre post-apo, le framerate médian se positionne d’emblée à un peu plus de 70 images par secondes en 1080p et avec les réglages les plus demandeurs en puissance graphique. On passe en outre à près de 100 FPS lorsque le DLSS 3.0 est activé. L’expérience de jeu est donc bonne en dépit des limitations induites par les arbitrages de MSI en matière d’enveloppe thermique et de puissance accordée au nouveau GPU milieu de gamme de NVIDIA.
Nous sommes à nouveau confrontés à ces limites en benchmark. Sur 3D Mark Time Spy Extreme, la RTX 4060 a du mal à briller lorsqu’on la restreint de la sorte. Elle se limite en effet à un score graphique de 3 464 points, nettement inférieur aux 4 408 points marqués par la petite AMD Radeon RX 7600S (95 W) d’un modèle concurrent : le dernier ASUS TUF Gaming A16, qui est cependant un peu plus coûteux.
Heureusement, tout n’est pas décevant sur le Cyborg 15. Le choix de conserver des processeurs Intel Alder Lake (12e génération) s’avère par exemple payant. Le petit Core i5-12450H de notre unité de test est toujours capable de belles choses. Le CPU totalise ainsi 9 632 points en multi-core sous CineBench R23, contre 1 616 points en calcul single-core. Pas mal du tout !
À titre de comparaison, le Ryzen 7 7735HS, plus haut de gamme, montait à 13 864 points en indice multi-core et 1 512 points en calcul single-core, toujours sur le TUF Gaming A16 2023. Le Core i7-12700H de l’Acer Nitro 5 (2022) récoltait pour sa part 1 732 points en calcul single-core et 13 970 points en multi-core. Avec son « petit » Core i5 et son prix plus abordable, le Cyborg 15 n’a donc pas à rougir sur le plan des performances CPU.
Reste à savoir pourquoi MSI a limité sa RTX 4060 à 45 W seulement. La réponse est à chercher du côté du système de dissipation… limité à un seul ventilateur, vraisemblablement pour réduire les coûts de fabrication du Cyborg. Ce dernier fait ce qu’il peut, mais il ne sait très vite plus où donner de la tête. La puissance de la RTX 4060 semble donc avoir été réduite pour éviter la surchauffe. En stress test, le thermal throttling est d’ailleurs bien visible, côté CPU cette fois, et au bout de quelques minutes d’essai à peine, avec des températures qui tutoient les 100 °C et un bruit de soufflerie bien difficile à ignorer. On regrette par ailleurs que ce ventilateur soit pratiquement tout le temps actif, ce qui nuit au confort en utilisation quotidienne, bureautique ou multimédia.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Un point rapide sur le SSD avant de passer à la suite. Ce dernier offre des vitesses de transfert modestes, mais suffisantes dans la plupart des cas, avec 4 321,34 Mo/s relevés en lecture et 1 814,14 Mo/s en écriture.
Autonomie : une petite batterie pour une petite endurance ?
Avec une batterie de 53,5 Wh et des composants gourmands en énergie, le MSI Cyborg 15 ne nous réserve aucune surprise côté autonomie. L’appareil aura en effet bien du mal à atteindre ne serait-ce que 4 heures d’endurance sur batterie. Preuve en est dans le cadre de notre test d’autonomie habituel.
En lecture vidéo sur YouTube, avec le rétroéclairage du clavier désactivé, la luminosité de l’écran poussée à 100 %, un casque branché avec le volume à 30 % et les paramètres d’alimentation réglés sur la meilleure efficacité énergétique, nous avons assisté à une extinction des feux en règle au bout de 3 heures et 15 minutes de lecture continue.
La charge se fait pour sa part en plus ou moins 1 heure et 30 minutes à l’aide du chargeur de 120 W fourni. Ce dernier s’appuie toutefois sur une connectique d’alimentation propriétaire, et comme évoqué plus haut, le port USB-C présent sur le flanc droit du Cyborg 15 ne prend pas en charge l’alimentation. Un point à garder en tête.
Audio : meilleur que ce que l'on aurait pu croire…
Sur le plan audio, on retrouve deux petits haut-parleurs sous le châssis… et donc braqués vers notre bureau plutôt que vers nos oreilles. Il s’agit toutefois du principal défaut de ces haut-parleurs, très honnêtes pour le reste. À défaut d’être irréprochable, le son diffusé est à la fois rond et équilibré, les médiums ne prennent pas toute la place, et l’on entend même des graves, devenus trop rares sur les PC portables récents. En fin de compte, et en dépit d’une perte de précision à plein volume, on profite d’une expérience audio très convenable pour regarder des contenus en SVoD ou sur YouTube. Une bonne surprise, donc.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Rien à signaler de particulier en ce qui concerne la prise casque. Cette sortie jack de 3,5 mm offre un signal clair et puissant qui offrira une bonne immersion. Du moins si vous disposez d’un bon casque gaming.
MSI Cyborg 15 : l’avis de Clubic
Avec son Cyborg 15, MSI utilise malheureusement un peu trop la technologie DLSS 3.0 de NVIDIA comme une variable d'ajustement pour une RTX 4060 présentement bridée. La principale lacune de ce nouveau PC gamer d'entrée de gamme est d'ailleurs à chercher ici, sa carte graphique dédiée est loin de pouvoir développer son plein potentiel. Une explication à cela : un TGP étonnamment bas, sciemment choisi pour ménager un système de dissipation sous-dimensionné.
Il n'empêche que l'appareil suffit à jouer dans d'assez bonnes conditions en 1080p, et qu'il recèle d'autres qualités. Son design soigné et sa bonne qualité de conception peuvent notamment être portés à son crédit, et le prix de ce Cyborg 15 a, il faut l'avouer, de quoi séduire. Si vous cherchez une machine abordable, capable de jouer ponctuellement à des jeux récents, il pourrait convenir.
- Design réussi et châssis pas trop encombrant
- CPU efficace et performances honnêtes (grâce au DLSS 3.0)
- Assez bon clavier dans l'ensemble, haut-parleurs valables
- Prix contenu
- La RTX 4060 atrophiée (45 watts seulement)
- Système de dissipation sous-dimensionné
- Qualité d'affichage perfectible
- Autonomie faiblarde (PC gamer oblige)
Concurrence : quelles alternatives au MSI Cyborg 15 ?
- Performances en jeu excellentes
- Écran mat aux contrastes prononcés
- Clavier réactif et rétroéclairé
- Connectique fournie
- Son des haut-parleurs médiocre
- Pavé tactile désagréable au toucher
- Ventilateurs bruyants en charge
- De solides performances en 1080p
- Système de dissipation efficace…
- Un châssis plus élégant et mieux conçu que par le passé
- Bon clavier RGB et connectique complète
- Emplacements M.2 et 2,5 pouces disponibles
- Un écran IPS pas assez lumineux, aux couleurs trop froides
- … mais très bruyant
- Webcam, haut-parleurs et trackpad vraiment anecdotiques
- Autonomie dérisoire (3 à 4 heures seulement)
- Performances satisfaisantes pour jouer aux AAA en Full HD+
- Le nouveau format 16:10
- Le nouveau coloris "Sandstorm" et les finitions sérieuses
- Dissipation efficace et raisonnable côté décibels
- Un Ryzen 7 7735HS puissant mais dépassé
- Répartition étrange des connectiques
- Faible luminosité de l'écran
- Pas de lecteur d’empreinte, webcam 720p, clavier non RGB