En parallèle des ROG Strix Scar 16, 17 et 18, ASUS dévoilait en début d'année son Strix G16. Un peu plus abordable, ce PC portable gamer revendique une hybridation étonnante entre milieu et haut de gamme en reprenant à son compte le châssis et certains éléments de ses cousins plus huppés. Il se serre toutefois un peu la ceinture côté composants pour aller chercher un rapport équipement-prix plus attractif. Reste à savoir si ce mélange des genres est réussi, et s'il s'avère réellement pertinent. Réponse dans notre test.
- Bon châssis et finitions sérieuses
- Le Core i5 vraiment performant
- Un écran 16:10 et 165 Hz bien calibré…
- Pas trop de bruit et chauffe contenue
- Autonomie respectable (7 heures)
- La RTX 4050 efficace, mais intrinsèquement limitée
- Pas d'identification biométrique
- … mais malheureusement peu lumineux
Dans l'ombre des Strix Scar, qui ont occupé le devant de la scène lors des annonces gaming d'ASUS au CES 2023, le Strix G16 s'était pour sa part fait discret. C'est donc avec un intérêt tout particulier que nous recevions il y a quelques semaines une proposition de test d'ASUS France pour ce modèle. Avec lui, la promesse d'un produit relativement accessible, disposant pourtant de certains atours habituellement réservés aux modèles premium du constructeur taïwanais (format d'écran, finitions, effets RGB, etc.). Nous allons voir si l'équilibre parfait a été trouvé, mais avant d'entrer dans le vif du sujet, voici la configuration détaillée du Strix G16 que nous avons reçu en prêt.
Fiche technique ASUS ROG Strix G16
Processeur | Intel Core i5-13450HX |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | Nvidia GeForce RTX 4050 |
Mémoire vidéo | 6Go |
Taille de l'écran | 16 pouces |
Taux de rafraîchissement | 165Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Intel Core i5-13450HX |
Type de processeur | 10 coeurs / 16 threads |
Fréquence du processeur | 2.4GHz |
Finesse de gravure | 10nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 4,800MHz |
Nombre de barrettes | 2 |
Carte graphique | Nvidia GeForce RTX 4050 |
Max-Q | Oui |
Mémoire vidéo | 6Go |
VR Ready (réalité virtuelle) | Oui |
Type mémoire vidéo | GDDR6 |
Taille de l'écran | 16 pouces |
Taux de rafraîchissement | 165Hz |
Type de dalle | Dalle IPS |
Type d'écran | LED |
Résolution d'écran | Full HD+ |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Oui |
NVIDIA G-SYNC | Oui |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 512 Go |
Disque secondaire | 1 slot M.2 NVMe |
Lecteur optique | Aucun |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (libre), M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Aucun |
Connectiques disponibles | Ethernet - RJ45 Femelle, Thunderbolt 4/USB-C, USB 3.2, HDMI 2.1, Micro (Jack 3.5mm Femelle), USB 3.2 Type C |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.3 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - RGB |
Pavé numérique | Non |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Épaisseur | 22.6mm |
Longueur | 354mm |
Largeur | 264mm |
Poids | 2.5kg |
Dans cette version Full HD+, Core i5 et RTX 4050, l'ASUS Strix G16 (G614JU-N3018W) se négocie en ligne aux environs de 1 600 euros, selon nos observations. D'autres modèles existent, avec écran « Nebula » QHD+ à 240 Hz, processeur Intel Core i9-13980HX et carte graphique RTX 4070… pour un tarif cette fois nettement moins accessible, avoisinant les 3 200 euros sur le site officiel d'ASUS. En entrée de gamme, l'appareil est toutefois affiché à un prix de départ de 1 499 euros, avec une configuration équivalente à la nôtre, mais restreinte à 8 Go de RAM au lieu de 16 Go.
Design : un châssis soignée à tout point de vue
Le Strix G16 ressemble à s'y méprendre au Strix Scar 16, son cousin plus haut de gamme. Cela ne vous évoque peut-être pas grand-chose dit comme ça, mais retenez simplement qu'en dépit d'un prix de départ attractif, l'appareil s'offre un châssis très proche de ceux que l'on trouve actuellement sur le segment premium d'ASUS en matière de PC portable gaming. On gagne donc au change sur un produit qui reste par ailleurs assez compact pour un 16 pouces voué au jeu : 354 x 264 x 22,6 millimètres pour 2,5 kilos. En clair, il rentre sans trop de problèmes dans un sac à dos.
Comme évoqué plus haut, la qualité d'assemblage est inattaquable pour un produit proposé à ce prix. Les finitions sont peu ou prou au même niveau que ce que l'on trouve sur le haut de gamme du constructeur taïwanais. Les différentes pièces du châssis sont assemblées avec minutie, rien ne craque, rien ne bouge, ni ne dépasse. Du bon travail. Les matériaux sont également de bonne facture, avec un capot en aluminium et un châssis exploitant différents plastiques de qualité. Ces derniers sont toutefois beaucoup plus faciles à tolérer sur un appareil proposé dès 1 500 euros… que sur le Strix Scar 17 que nous testions il y a peu. Ce dernier adopte en effet pratiquement le même châssis en plastique, mais pour presque trois fois le prix.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Pour les amateurs, ASUS ne mégote pas non plus sur les LED multicolores, avec la présence, comme sur le Scar 17, d'un clavier RGB offrant par ailleurs des effets de transparence amusants. En parallèle, l'avant du châssis est aussi orné d'une longue bande RGB pour ajouter toujours plus de couleurs à un ensemble que certains pourront toutefois trouver trop chargé. D'autant que le châssis est également frappé de nombreux slogans et autres motifs relativement superflus.
Toutes ces couleurs chatoyantes peuvent quoi qu'il en soit être configurées un peu plus en détail dans l'utilitaire Armoury Crate, toujours aussi bien conçu et agréable à utiliser. ASUS soigne par ailleurs le clavier RGB en lui-même. Il s'avère silencieux, redoutablement précis en bureautique et suffisamment réactif en jeu. Les touches sont bien espacées les unes des autres, leur profondeur de course est généreuse, et leur retour est ferme sans être trop raide. Rien à redire ici, tout est au point. Bien qu'un peu petit, le trackpad est lui aussi convaincant dans l'ensemble. Silencieux et cliquable sur toute sa surface, ce pavé tactile ne change pas la vie, mais il dépanne efficacement quand aucune souris externe n'est branchée.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Réparties sur les flancs du châssis, les connectiques sont pour leur part nombreuses et appropriées. On retrouve en effet deux ports USB-A 3.1, un port USB-C 3.2, un port Thunderbolt 4, une prise casque jack de 3,5 millimètres, une entrée RJ45 Ethernet et une sortie HDMI 2.1. De quoi vaquer à ses occupations sans adaptateur, sauf pour une éventuelle carte SD.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
ASUS rate cependant une occasion de nous séduire totalement en ne nous proposant aucune méthode d'identification biométrique : pas de lecteur d'empreinte digitale en vue… et pas d'identification faciale. Dommage, mais logique, puisque la marque ne propose rien de ce genre non plus sur ses modèles plus onéreux. Bien que limitée par sa définition et dépourvue des capteurs requis pour la reconnaissance par Windows Hello, la webcam offre néanmoins une qualité d'image honnête pour des échanges vidéo ponctuels.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Pour finir, l'accès aux composants se fait sans encombre. Il suffit de retirer une petite dizaine de vis cruciformes pour pouvoir déclipser la plaque inférieure du châssis. On découvre alors trois ventilateurs, cinq caloducs et plusieurs composants faciles à remplacer au besoin. Parmi eux, on trouve le SSD (un emplacement M.2 est en outre laissé vacant sur certaines configurations), les barrettes de mémoire vive et la batterie. Pour changer cette dernière, il faut toutefois démonter le plus petit des trois ventilateurs au préalable.
Écran : du Full HD de bonne facture, à un détail près
Sur l'entrée de gamme, le Strix G16 s'équipe d'une dalle LCD IPS Full HD+ (1 920 par 1 200 pixels) de 16 pouces. Cette dernière profite d'un format 16:10, monte à 165 Hz, offre une prise en charge de la technologie NVIDIA G-SYNC et dispose enfin d'une couverture à 100 % du spectre sRGB selon ASUS. Aidés de nos outils de mesure et du logiciel Calman Ultimate, nous avons passé au crible cet écran… et à une exception près, il fait son devoir très honorablement.
Commençons par la calibration de cet écran IPS, globalement excellente. En dépit de couleurs un peu trop chaudes par défaut (6 308 kelvins au lieu des 6 500 attendus idéalement), la fidélité de l'image est impeccable, avec un Delta E mesuré à 1,8 seulement. Idéalement, cette valeur est censée être inférieure ou égale à 3. Nous sommes donc parfaitement là où il faut être. Comprenez que cet écran s'avère très juste d'un point de vue colorimétrique. Quant à la température des couleurs, elle peut être corrigée assez facilement à l'aide de l'utilitaire Armoury Crate. Un quasi-sans-faute, donc.
La couverture des principaux espaces colorimétriques est pour le reste satisfaisante pour cette gamme de prix, avec une prise en charge à 98,1 % du gamut sRGB (proche des 100 % annoncés par ASUS) et une couverture à 75,2 % du spectre DCI-P3. Notons en outre que sur les versions plus haut de gamme du Strix G16, ASUS passe cette fois à une dalle QHD+ gérant intégralement l'espace de couleurs DCI-P3.
Continuons avec le contraste, satisfaisant lui aussi. Nos outils mesurent un ratio de 1475:1, ce qui est très convenable pour un écran IPS. On sait toutefois que cette technologie d'affichage est capable de faire un peu mieux, mais dans l'ensemble, cette dalle est suffisamment contrastée pour offrir de la profondeur à l'image. Sortie de route en revanche sur la luminosité. On relève cette fois 263,6 cd/m2 de luminance maximale typique et 308 cd/m2 en pointe. Pas de quoi sabrer le champagne : nous sommes sur le strict minimum pour y voir quelque chose.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
En dépit du revêtement mat de l'écran, cette luminosité perfectible pourra donc poser des problèmes dans certains contextes, notamment si vous utilisez l'appareil dans une pièce très éclairée, à contre-jour ou en extérieur.
Performances : un Core i5 solide doublé d'un GPU… qui voyage léger
Processeur Intel Core i5-13450HX (10 cœurs et 16 threads cadencés à un maximum de 4,60 GHz, 20 Mo de cache et 55 watts de TDP), 16 Go de DDR5 à 4 800 MHz et carte graphique NVIDIA GeForce RTX 4050 (6 Go de GDDR6) : sur le papier, la configuration de notre Strix G16 n'envoie pas forcément du lourd, et pourtant, l'appareil s'avère surprenant… même si les limites de la RTX 4050 sont vite atteintes.
Dans le détail, le Core i5 choisi par ASUS offre des performances généreuses et une bonne efficacité énergétique, ce qui donne lieu à un échauffement modéré. Il faut dire que le CPU d'Intel est aidé en cela par le très bon système de dissipation du Strix G16, axé sur trois ventilateurs. En stress test, ce dispositif se conduit fort bien en parvenant à maintenir des températures suffisamment contrôlées pour que les performances de cette puce « Raptor Lake » ne s'émoussent pas. Sur le test de stabilité système d'AIDA64, qui a pour effet de pousser à 100 % et en continu l'ensemble des cœurs du CPU, nous restons ainsi aux environs de 4,30 à 4,40 GHz tout au long de la charge, sans thermal throttling apparent et avec des températures moyennes approchant les 80 °C seulement au niveau du processeur.
Le bruit des ventilateurs (qui s'enclenchent au bout de 5 à 10 minutes de charge intensive) reste quant à lui supportable, voire négligeable lorsque l'on évolue dans un environnement légèrement sonore. Quant aux températures sur le GPU, nous relevons environ 70 °C en moyenne après un stress test en 1200p/Ultra sur Cyberpunk 2077. Au toucher, et quel que soit le contexte d'utilisation, les températures sont par ailleurs très contenues aux endroits clés (charnière, haut du clavier, dessous du châssis…). Notons enfin que sur batterie ou en utilisation bureautique légère, le système de dissipation est la plupart du temps complètement éteint et n'émet donc plus aucun bruit.
Mais qu'en est-il des performances ? On y vient. En benchmark sur Cinebench R23, le Core i5-13450HX obtient 15 974 points en multi-core, contre 1 692 en single-core. À titre de comparaison, le Core i7-12700H du Lenovo Legion 5i Pro 2022 (d'ancienne génération) cumulait pour sa part 17 839 points en multi-core et quelque 1 771 points en calcul single-core. Notre Core i5 n'est donc pas très loin derrière. Comprenez qu'en jeu et en utilisation avancée (montage, calcul…), les performances d'un Core i5 « HX » de 2023 sont finalement assez proches de celles développées par un Core i7 « H » de 2022. Une progression gratifiante.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
La RTX 4050 est pour sa part un peu moins prometteuse. Positionnée sur l'entrée de gamme de NVIDIA, elle a toutefois pour avantage d'être « boostée » à 140 watts de TGP sur le Strix G16. En d'autres termes, ASUS lui donne tout ce qu'il faut pour pouvoir s'exprimer à son plein potentiel. Sur 3D Mark Time Spy, la petite carte de NVIDIA obtient quoi qu'il en soit un score « modeste » reflétant bien les limites qui sont les siennes, avec un indice graphique de 4 011 points. Cela lui permet néanmoins de se placer devant la RTX 3060 mobile des anciens modèles de Dell G15, par exemple (3 840 points sur le même outil, mais avec 125 watts de TGP seulement).
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Sans être ébouriffant, ce niveau de performances permet déjà de belles choses sur les derniers AAA en définition Full HD ou Full HD+. Sur Dying Light 2, en Full HD+ et avec l'ensemble des réglages en ultra, nous obtenons ainsi entre 50 et 60 FPS. Sur Cyberpunk 2077, dans les mêmes conditions, le constat est toutefois un peu moins reluisant, avec une moyenne de 45 FPS et des chutes à 11 FPS problématiques. Avec elles, difficile de jouer dans de bonnes conditions. Il faudra alors abaisser la qualité graphique ou activer le DLSS 3 pour profiter d'un framerate plus stable. Attention en revanche avec le DLSS 3.0, puisqu'il s'agit d'une solution principalement viable sur les jeux solos.
Dernier point : le stockage. Ici, pas de surprise. En dépit du standard PCI-e 4.0, les vitesses de transfert obtenues sur CrystalDiskMark sont celles d'un SSD abordable : 4 335,10 Mo/s en lecture et seulement 1 838,11 Mo/s en écriture. Les capacités de ces 512 Go de stockage sont donc suffisantes pour le tout-venant, mais loin d'être mémorables.
Autonomie : plus d'endurance que prévu ?
Avec sa batterie de 90 Wh, le Strix G16 ne mégote pas. À cette grosse capacité s'ajoutent par ailleurs l'efficacité énergétique honorable du Core i5-13450HX et l'utilisation de la technologie NVIDIA Optimus, qui permet d'activer ou de couper de manière dynamique le GPU. Dans le cadre de l'utilisation sur batterie qui nous intéresse, le GPU est désactivé, au profit de la partie graphique intégrée au processeur, pour limiter autant que possible la consommation.
La combinaison de ces trois facteurs nous permet d'obtenir au bout du compte une autonomie décente sur le Strix G16. En lecture vidéo 1080p, sur YouTube (avec Edge), avec la luminosité de l'écran à 100 %, le rétroéclairage du clavier désactivé, le mode silencieux et un casque branché, nous avons en effet réussi à tenir un peu plus de 7 heures sur batterie en lecture continue avant que l'écran ne s'éteigne. Rien de renversant, mais pour un PC portable gaming, cette endurance est plutôt généreuse. Le MSI Cyborg 15 (testé récemment sur Clubic) tenait ainsi moins de 4 heures dans les mêmes conditions et avec une configuration équivalente.
La recharge se fait pour sa part à l'aide d'un chargeur de 280 watts permettant de faire le plein d'énergie en un peu moins de 1 heure et 50 minutes, selon nos observations. Notons enfin que le Strix G16 prend en charge l'alimentation par USB-C, ce qui peut s'avérer pratique dans certaines situations, quand bien même ce mode d'alimentation ne suffira pas en jeu.
Audio : des haut-parleurs honnêtes
Sur le plan audio, le Strix G16 fait également bonne impression. En dépit du placement de ses deux petits haut-parleurs (sous le châssis, au pire endroit), l'appareil délivre un son plutôt propre et un volume maximal suffisant pour couvrir le bruit des ventilateurs. Si les médiums (et donc les voix) ressortent le plus, les aigus ne sont pas nasillards. On manque en revanche de graves pour apporter du relief à l'ensemble.
La prise casque est pour sa part de qualité, avec un son puissant et précis, qui ne perd pas de sa superbe à plein volume. Si vous disposez d'un bon casque audio, vous devriez profiter par ce biais d'une expérience sonore immersive.
ASUS ROG Strix G16 : l’avis de Clubic
Inutile de faire durer un suspense de toute façon assez chancelant : le ROG Strix G16 est un très bon PC portable gamer. Il fait à peu près tout ce que l'on attend de lui, le fait bien et le fait à un prix raisonnable dans le cas de notre exemplaire de test.
L'appareil parvient à offrir des finitions sérieuses, un niveau d'équipement satisfaisant, une bonne qualité d'affichage globale et des performances suffisantes pour jouer en Full HD+ aux derniers AAA. Ajoutez à cela une chauffe contenue et une autonomie tout à fait respectable pour ce type de machine, et vous aboutissez à un produit que nous pouvons vous recommander sans sourciller.
- Bon châssis et finitions sérieuses
- Le Core i5 vraiment performant
- Un écran 16:10 et 165 Hz bien calibré…
- Pas trop de bruit et chauffe contenue
- Autonomie respectable (7 heures)
- La RTX 4050 efficace, mais intrinsèquement limitée
- Pas d'identification biométrique
- … mais malheureusement peu lumineux
Concurrence : quelles alternatives au ROG Strix G16 ?
- De solides performances en 1080p
- Système de dissipation efficace…
- Un châssis plus élégant et mieux conçu que par le passé
- Bon clavier RGB et connectique complète
- Emplacements M.2 et 2,5 pouces disponibles
- Un écran IPS pas assez lumineux, aux couleurs trop froides
- … mais très bruyant
- Webcam, haut-parleurs et trackpad vraiment anecdotiques
- Autonomie dérisoire (3 à 4 heures seulement)
- Design réussi et châssis pas trop encombrant
- CPU efficace et performances honnêtes (grâce au DLSS 3.0)
- Assez bon clavier dans l'ensemble, haut-parleurs valables
- Prix contenu
- La RTX 4060 atrophiée (45 watts seulement)
- Système de dissipation sous-dimensionné
- Qualité d'affichage perfectible
- Autonomie faiblarde (PC gamer oblige)