Tout reste encore très incertain, un brevet n'engageant en rien la concrétisation industrielle qu'il protège, en imaginant plusieurs scénario. Mais quelques points sont décrits avec une précision qui ne laisse peu de place à l'imagination. L'intitulé du brevet porte sur un « accessoire portable qui englobe un écran flexible couplé à un ressort bi-stable ». Ce tadem permet à l'appareil « d'être porté facilement dans nombre d'endroits (ndlr: du corps) pratiques »... dont le poignet. Le produit est supposé se connecter en sans fil à un autre appareil (iPhone) pour afficher des informations sur un écran flexible qui ferait le tour complet du poignet.
Ce qui est décrit là, c'est un écran-bracelet, rigide et plat quand il n'est pas porté et qui vient s'enrouler autour du poignet (ou d'un bras ou une cheville) lorsqu'on le choc sur ledit membre. Comme les fixations de pantalons des cyclistes urbains. Un mécanisme spécial permettrait à l'appareil de détecter l'endroit où l'écran-bracelet se chevauche quand il est enroulé autour du poignet de sorte à adapter l'affichage. L'écran est supposé tactile.
Dans le bracelet, on trouverait l'écran (402), le dispositif cinétique produisant de l'énergie (502), les antennes wireless (506), la connectique (508) et la batterie (504)
Derniers points évoqués : l'utilisation de mini panneaux solaires dans le bracelet ou/et de dispositifs de production cinétique d'énergie. Ainsi, la batterie intégrée au bracelet se rechargerait toute seule, avec les mouvements et la lumière ambiante. Mais une connectique reste toutefois mentionnée, pour charger l'appareil, effectuer des mise à jour de firmware ou reconfigurer le dispositif.